son portrait robot
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Re: son portrait robot
le PR ne peut être d'un grand secours compte tenu qu'il s'est passé 28 ans depuis le 1er PR; un menton prononcé et le nez dévié..la couleur des yeux serait marron, mais une barbe, une calvitie ...changent un visage;
Invité- Invité
Re: son portrait robot
espérons que cela rafraîchisse la mémoire à une personne.
autant de temps après il a du beaucoup changer et certainement de façon volontaire
autant de temps après il a du beaucoup changer et certainement de façon volontaire
Re: son portrait robot
ACTUALITÉ REUTERS
Une "révolution" ADN pour trouver un assassin des années 1980
- Publié le 28/06/2012 à 11:32
1
par Thierry Lévêque
PARIS (Reuters) - Un quart de siècle après une série de meurtres mystérieux à Paris et dans ses environs, dont celui d'une fillette de 11 ans, une technique révolutionnaire de recherche génétique va être employée pour tenter de retrouver le tueur en série.
L'empreinte génétique de cet homme n'ayant pas permis jusqu'ici une identification directe, un juge d'instruction de Paris a ordonné au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) d'isoler toutes les personnes susceptibles d'appartenir à sa famille proche ou éloignée, a-t-on appris de source judiciaire.
Le FNAEG, créé en 1998 et rattaché au ministère de l'Intérieur, regroupe plus de 2,2 millions d'empreintes d'auteurs ou de suspects de crimes ou de délits. Sollicité par le juge, le ministère de la Justice a donné son feu vert à la nouvelle méthode en estimant qu'elle ne violait pas les règles de procédure puisque la loi, estime-t-il, autorise des tentatives d'identification "directes ou indirectes".
Jusqu'à huit ingénieurs vont travailler sur cette demande, qui doit aboutir d'ici septembre ou octobre, par la règle des probabilités mathématiques, à fournir au juge une liste de personnes pouvant compter plusieurs centaines de noms.
Il est possible mais pas certain que des personnes ayant un lien familial direct avec le tueur - ses parents, son frère, sa soeur, ses enfants - apparaissent dans cette liste. A défaut, des investigations seront menées sur l'environnement des personnes dont les noms sortiront.
"Après autant de temps, c'est la dernière chance de retrouver cet homme, qu'il soit mort ou vivant aujourd'hui", a dit à Reuters une source proche du dossier.
C'est seulement la troisième fois que cette technique, expérimentée à l'étranger, est utilisée en France. Fin 2011, la gendarmerie a pu ainsi remonter jusqu'à l'un des auteurs du meurtre d'une jeune femme, Elodie Kulik, en 2002 dans la Somme. Le criminel était mort depuis les faits dans un accident.
La technique vient par ailleurs d'être utilisée pour tenter de résoudre un viol à Paris.
UNE TRAQUE DE 26 ANS
La brigade criminelle de Paris n'a jamais renoncé à identifier le "tueur au visage grêlé" , ainsi surnommé par la presse en raison d'un portrait-robot établi après le meurtre et le viol le 5 mai 1986 dans le XIXe arrondissement de Paris de Cécile Bloch, 11 ans.
Le même homme, qui était alors décrit comme jeune, plutôt grand, aux cheveux châtains et au teint pâle, avait laissé pour morte une autre fillette agressée de manière identique un mois avant dans la capitale. Elle avait survécu à un étranglement.
L'enquête n'a rien donné et a été refermée une première fois en 1992 mais l'extraction tardive en 1996 de l'empreinte génétique du tueur avait relancé l'enquête. Il est alors apparu qu'il était aussi l'auteur de l'enlèvement et du viol d'une autre fillette de 11 ans le 29 juin 1994 dans le Val-de-Marne.
La justice a ensuite établi en 2001, toujours par la génétique, que le "grêlé" était aussi l'auteur du double meurtre d'une fille au pair allemande, Irmgard Müller et de son propriétaire, Gilles Politi, torturés et étranglés dans un logement du IVe arrondissement de Paris en avril 1987.
La brigade criminelle a établi au fil des recherches des correspondances avec plusieurs autres viols ou meurtres, avérées dans certains cas, ou probables dans d'autres.
Ainsi, même s'il n'y a pas de preuve génétique, il est très possible que le suspect soit l'auteur en 1983 et 1987 de cinq meurtres de fillettes enlevées dans le Val-de-Marne.
La brigade criminelle a travaillé sans relâche durant 26 ans pour le retrouver, passant au "révélateur" génétique des centaines de suspects, auditionnant des centaines de personnes, explorant en vain des fichiers carcéraux, passant au crible 10.000 voitures Volvo du type de celle employée dans l'enlèvement de 1994, enquêtant jusque dans la police.
En effet, le "grêlé" se faisait passer pour un policier pour approcher ses victimes. Il a exhibé deux fois une carte tricolore, a sorti une fois une arme, d'autres fois des menottes, un talkie-walkie. Il semblait selon les témoins maîtriser le jargon des contrôles policiers.
Aucun fait ne peut lui être imputé depuis 1994. "Mon intime conviction est qu'il n'est plus de ce monde", a dit à Reuters une source proche de l'enquête. La justice veut pourtant en être sûre et, s'il est mort, savoir qui il était.
Edité par Yves Clarisse
Une "révolution" ADN pour trouver un assassin des années 1980
- Publié le 28/06/2012 à 11:32
1
par Thierry Lévêque
PARIS (Reuters) - Un quart de siècle après une série de meurtres mystérieux à Paris et dans ses environs, dont celui d'une fillette de 11 ans, une technique révolutionnaire de recherche génétique va être employée pour tenter de retrouver le tueur en série.
L'empreinte génétique de cet homme n'ayant pas permis jusqu'ici une identification directe, un juge d'instruction de Paris a ordonné au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) d'isoler toutes les personnes susceptibles d'appartenir à sa famille proche ou éloignée, a-t-on appris de source judiciaire.
Le FNAEG, créé en 1998 et rattaché au ministère de l'Intérieur, regroupe plus de 2,2 millions d'empreintes d'auteurs ou de suspects de crimes ou de délits. Sollicité par le juge, le ministère de la Justice a donné son feu vert à la nouvelle méthode en estimant qu'elle ne violait pas les règles de procédure puisque la loi, estime-t-il, autorise des tentatives d'identification "directes ou indirectes".
Jusqu'à huit ingénieurs vont travailler sur cette demande, qui doit aboutir d'ici septembre ou octobre, par la règle des probabilités mathématiques, à fournir au juge une liste de personnes pouvant compter plusieurs centaines de noms.
Il est possible mais pas certain que des personnes ayant un lien familial direct avec le tueur - ses parents, son frère, sa soeur, ses enfants - apparaissent dans cette liste. A défaut, des investigations seront menées sur l'environnement des personnes dont les noms sortiront.
"Après autant de temps, c'est la dernière chance de retrouver cet homme, qu'il soit mort ou vivant aujourd'hui", a dit à Reuters une source proche du dossier.
C'est seulement la troisième fois que cette technique, expérimentée à l'étranger, est utilisée en France. Fin 2011, la gendarmerie a pu ainsi remonter jusqu'à l'un des auteurs du meurtre d'une jeune femme, Elodie Kulik, en 2002 dans la Somme. Le criminel était mort depuis les faits dans un accident.
La technique vient par ailleurs d'être utilisée pour tenter de résoudre un viol à Paris.
UNE TRAQUE DE 26 ANS
La brigade criminelle de Paris n'a jamais renoncé à identifier le "tueur au visage grêlé" , ainsi surnommé par la presse en raison d'un portrait-robot établi après le meurtre et le viol le 5 mai 1986 dans le XIXe arrondissement de Paris de Cécile Bloch, 11 ans.
Le même homme, qui était alors décrit comme jeune, plutôt grand, aux cheveux châtains et au teint pâle, avait laissé pour morte une autre fillette agressée de manière identique un mois avant dans la capitale. Elle avait survécu à un étranglement.
L'enquête n'a rien donné et a été refermée une première fois en 1992 mais l'extraction tardive en 1996 de l'empreinte génétique du tueur avait relancé l'enquête. Il est alors apparu qu'il était aussi l'auteur de l'enlèvement et du viol d'une autre fillette de 11 ans le 29 juin 1994 dans le Val-de-Marne.
La justice a ensuite établi en 2001, toujours par la génétique, que le "grêlé" était aussi l'auteur du double meurtre d'une fille au pair allemande, Irmgard Müller et de son propriétaire, Gilles Politi, torturés et étranglés dans un logement du IVe arrondissement de Paris en avril 1987.
La brigade criminelle a établi au fil des recherches des correspondances avec plusieurs autres viols ou meurtres, avérées dans certains cas, ou probables dans d'autres.
Ainsi, même s'il n'y a pas de preuve génétique, il est très possible que le suspect soit l'auteur en 1983 et 1987 de cinq meurtres de fillettes enlevées dans le Val-de-Marne.
La brigade criminelle a travaillé sans relâche durant 26 ans pour le retrouver, passant au "révélateur" génétique des centaines de suspects, auditionnant des centaines de personnes, explorant en vain des fichiers carcéraux, passant au crible 10.000 voitures Volvo du type de celle employée dans l'enlèvement de 1994, enquêtant jusque dans la police.
En effet, le "grêlé" se faisait passer pour un policier pour approcher ses victimes. Il a exhibé deux fois une carte tricolore, a sorti une fois une arme, d'autres fois des menottes, un talkie-walkie. Il semblait selon les témoins maîtriser le jargon des contrôles policiers.
Aucun fait ne peut lui être imputé depuis 1994. "Mon intime conviction est qu'il n'est plus de ce monde", a dit à Reuters une source proche de l'enquête. La justice veut pourtant en être sûre et, s'il est mort, savoir qui il était.
Edité par Yves Clarisse
Re: son portrait robot
Le problème dans cette affaire c' est que l' on a 3 portraits robots qui sont totalement différents. De plus, le premier portrait-robot a été réalisé en 1986 sur base du témoignage du frère de Cécile, son visage a dû changer depuis les faits. Lors d' un reportage, en 2003, la criminologue Carine Hutsebaut a montré ce portrait-robot de 1986 à la dernière victime (1994), cette dernière l' a reconnu mais précisait que lors de son agression, il faisait beaucoup plus vieux que sur le portrait-robot. Il existe des logiciels qui permettent de "vieillir" un portrait -robot, mais apparemment ça n' a jamais été fait. Pour terminer, on s' est trop basé sur les cicatrices de son visage alors que certaines victimes le décrivent avec un visage lisse...
Invité- Invité
Re: son portrait robot
kilimanjarOCTO a écrit:le PR ne peut être d'un grand secours compte tenu qu'il s'est passé 28 ans depuis le 1er PR; un menton prononcé et le nez dévié..la couleur des yeux serait marron, mais une barbe, une calvitie ...changent un visage;
tout a fait.
Invité- Invité
Re: son portrait robot
Non pour le nez dévié, c'est une pure inventionfalco v a écrit:kilimanjarOCTO a écrit:le PR ne peut être d'un grand secours compte tenu qu'il s'est passé 28 ans depuis le 1er PR; un menton prononcé et le nez dévié..la couleur des yeux serait marron, mais une barbe, une calvitie ...changent un visage;
tout a fait.
Profil général de l'individu source: forum de France et et P 56 197 et 226 du livre de Carine Hutsebaut
entre 25 et 30 ans en 87 (né entre 1957 et 1962)
droitier
taille entre 1,80 et 1,85 m
Visage allongé, traits assez fins, sourcils fins, yeux enfoncés et cernés, (couleur marron p56)
joues creuses
Nez fin avec le bout plus épais
oreilles un peu décollées ...........
dents de devant légèrement écartées (p226)
s'exprime dans un français sans accent avec une grosse voix
A conduit une Volvo blanche 340/360 (il en était propriétaire ou l'a empruntée?), immatriculée dans le 77 ou 91
on connait
-son groupe sanguin: A+ sécréteur
-son ADN
-ses empreintes digitales
Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 30 Juil - 17:36, édité 1 fois
Re: son portrait robot
el gringo a écrit:Le problème dans cette affaire c' est que l' on a 3 portraits robots qui sont totalement différents. De plus, le premier portrait-robot a été réalisé en 1986 sur base du témoignage du frère de Cécile, son visage a dû changer depuis les faits.
Quant au 2ème (lié au dossier Politi/Muller), il a été réalisé à partir de languettes pré découpées.
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En fait, Ingrid G a composé un PR dont elle n'était pas satisfaite, mais c'est le PR établi par Marianne N qui correspondait le mieux à son agresseur, c'est-à-dire celui-ciel gringo a écrit:
Lors d' un reportage, en 2003, la criminologue Carine Hutsebaut a montré ce portrait-robot de 1986 à la dernière victime (1994), cette dernière l' a reconnu mais précisait que lors de son agression, il faisait beaucoup plus vieux que sur le portrait-robot.
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el gringo a écrit:
Il existe des logiciels qui permettent de "vieillir" un portrait -robot, mais apparemment ça n' a jamais été fait. Pour terminer, on s' est trop basé sur les cicatrices de son visage alors que certaines victimes le décrivent avec un visage lisse...
Oui, et Dummheit, du forum de France 2 avait réalisé ce travail et obtenu ceci:
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En faisant un morphing des PR connus .....puis en vieillissant le résultat.
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Ce portrait circule maintenant dans la presse: (mais sans explications, .... dommage)
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Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 11 Mai - 23:29, édité 1 fois
Re: son portrait robot
le portrait vieilli qui circule dans la presse:lorsque vous tapez: tueur en série le grêlé sur google,vous obtenez ce portrait robot vieilli sur la première page de google ,les journalistes n ont pas cherché plus loin et ont repris ce PR sans savoir d ou il venait en pensant certainement que c est un PR officiel fait par la police ou autre,fort peu de chance que ce tueur en série le grêlé ressemble à ce portrait si il est encore vivant.
Re: son portrait robot
Ca, ce n'est pas dit, il y a une chose qui ne change pas en vieillissant, c'est le regardAdmin a écrit:le portrait vieilli qui circule dans la presse:lorsque vous tapez: tueur en série le grêlé sur google,vous obtenez ce portrait robot vieilli sur la première page de google ,les journalistes n ont pas cherché plus loin et ont repris ce PR sans savoir d ou il venait en pensant certainement que c est un PR officiel fait par la police ou autre,fort peu de chance que ce tueur en série le grêlé ressemble à ce portrait si il est encore vivant.
Re: son portrait robot
oui mais rien ne dit que son vrai PR soit une réussite,force est de constater que personne ne semble le reconnaître.
Re: son portrait robot
Surtout que les yeux sur le PR vieilli je vois pas trop la ressemblance.
et sur le PR fait par les victimes moi je vois un gars blond châtain aux yeux clairs,pas un brun aux yeux marrons,pas facile d interpréter un PR.
Quand on voit le PR de guy georges fait à l époque!même son voisin l aurai pas reconnu!
et sur le PR fait par les victimes moi je vois un gars blond châtain aux yeux clairs,pas un brun aux yeux marrons,pas facile d interpréter un PR.
Quand on voit le PR de guy georges fait à l époque!même son voisin l aurai pas reconnu!
Re: son portrait robot
1997 : diffusion du portait-robot "raté"
Le 23 novembre 1997, le juge Thiel, chargé du dossier, et la Brigade Criminelle acceptent de diffuser le portrait-robot de 1995. La police reçoit alors plus de 3000 appels qui ne donnent rien. Effrayé par la médiatisation de l'affaire, Guy Gorges prend la fuite. Il ne reviendra à Paris qu'en janvier 1998. Interpellé en février après avoir chuté d'un scooter volé dans le 13e arrondissement, Guy Georges est relâché... De nouveau arrêté pour une bagarre à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), il est de nouveau relâché. Le juge Thiel demande alors aux laboratoires français de comparer les différents ADN. Le 23 mars 1998, sept ans après le premier assassinat, le tueur en série est identifié comme étant Guy Georges.
Le 23 novembre 1997, le juge Thiel, chargé du dossier, et la Brigade Criminelle acceptent de diffuser le portrait-robot de 1995. La police reçoit alors plus de 3000 appels qui ne donnent rien. Effrayé par la médiatisation de l'affaire, Guy Gorges prend la fuite. Il ne reviendra à Paris qu'en janvier 1998. Interpellé en février après avoir chuté d'un scooter volé dans le 13e arrondissement, Guy Georges est relâché... De nouveau arrêté pour une bagarre à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), il est de nouveau relâché. Le juge Thiel demande alors aux laboratoires français de comparer les différents ADN. Le 23 mars 1998, sept ans après le premier assassinat, le tueur en série est identifié comme étant Guy Georges.
Re: son portrait robot
Une des victimes de Guy Georges qui était persuadée de pouvoir le reconnaître, ne la pas reconnu lors d un tapissage...
Dans l affaire du grêlé il y a surement un hic au niveau de sa description,quoi?déjà son surnom a du influencer beaucoup de gens dans la vision de ce tueur.
Dans l affaire du grêlé il y a surement un hic au niveau de sa description,quoi?déjà son surnom a du influencer beaucoup de gens dans la vision de ce tueur.
Re: son portrait robot
Admettons qu' il ait changé de coupe de cheveux, porte des lentilles de couleur ainsi qu' une grosse barbe et vous obtenez un ennemi publique n°1 qui se fond dans la masse...
Quelques exemples de spécialistes en la matière: Jacques Mesrine et Albert Spaggiari.
Quelques exemples de spécialistes en la matière: Jacques Mesrine et Albert Spaggiari.
Invité- Invité
Re: son portrait robot
oui c est pas avec son PR qu il se fera attraper.
Un faux pas,une dénonciation, son adn qui parle sont les seuls espoirs.
Un faux pas,une dénonciation, son adn qui parle sont les seuls espoirs.
Re: son portrait robot
Oui, tout à fait d' accord. Il est certainement connu pour violences, c' est un sanguin, à la moindre contrariété, il pète les plombs!!!
Invité- Invité
Re: son portrait robot
bonjour , il se pourrait que ce soit le contraire, il 'n'y guère de place pour le naturel chez ce genre d'individu, le paraitre est vital c'est un manipulateur permanent.el gringo a écrit:Oui, tout à fait d' accord. Il est certainement connu pour violences, c' est un sanguin, à la moindre contrariété, il pète les plombs!!!
Il adopte une attitude affable ,avenante . Les actes de violence c'est envers ses victimes qu'il l'exprime. Ceux qui ne canalise pas ce trait se font rattrapés,
comme ce pompier 18 ans après avoir violé et tué une adolescente ou ce maçon portugais qui avait assassiné deux jeunes femmes. Les PR peuvent se révélés à
double tranchant, il sont établis sur témoignages et souvent diverge d'un témoin à l'autre, le cas guy george est révélateur, il était question un moment d'un type
nord africain, alors qu'un sdf qui l'avait aperçu lors d'une agression avait signalé un individu plutôt de tendance noir, les enquêteurs n'y ont pas tenu compte.
et que pensé du PR établit .
Seinnheiser
Re: son portrait robot
Didier a écrit: 1997 : diffusion du portait-robot "raté"
Le 23 novembre 1997, le juge Thiel, chargé du dossier, et la Brigade Criminelle acceptent de diffuser le portrait-robot de 1995. La police reçoit alors plus de 3000 appels qui ne donnent rien. Effrayé par la médiatisation de l'affaire, Guy Gorges prend la fuite. Il ne reviendra à Paris qu'en janvier 1998. Interpellé en février après avoir chuté d'un scooter volé dans le 13e arrondissement, Guy Georges est relâché... De nouveau arrêté pour une bagarre à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), il est de nouveau relâché. Le juge Thiel demande alors aux laboratoires français de comparer les différents ADN. Le 23 mars 1998, sept ans après le premier assassinat, le tueur en série est identifié comme étant Guy Georges.
J'ai eu l'occasion de visionner hier le téléfilm "flic tout simplement" qui retrace la carrière de Martine Monteil et la traque de Guy Georges.
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très intéressant.
Il y a eu aussi SK1
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Re: son portrait robot
2016
Je regardais à nouveau complément d'enquête:
J'en retire ceci: le PR dressé par Luc R fait l'unanimité auprès des témoins qui ont croisé le G ce jour-là dans l'ascenseur
Egalement que: le G se serait déjà fait passer pour un policier lorsqu'il agresse Sarah et 1986, mais aussi que le rapprochement avec le meurtre de Cécile, établi par les enquêteurs sur base de la similitude des faits (pas de témoins) est confirmée par l'ADN. D'autres reportages disent qu'il n'y a pas de preuves ADN pour l'agression de Sarah. Donc????
Je regardais à nouveau complément d'enquête:
J'en retire ceci: le PR dressé par Luc R fait l'unanimité auprès des témoins qui ont croisé le G ce jour-là dans l'ascenseur
Egalement que: le G se serait déjà fait passer pour un policier lorsqu'il agresse Sarah et 1986, mais aussi que le rapprochement avec le meurtre de Cécile, établi par les enquêteurs sur base de la similitude des faits (pas de témoins) est confirmée par l'ADN. D'autres reportages disent qu'il n'y a pas de preuves ADN pour l'agression de Sarah. Donc????
Dernière édition par Kassandra88 le Sam 11 Mai - 11:30, édité 2 fois
Re: son portrait robot
Pour Sarah Paris 13 l adn prélevé est celui du grêlé mais c est vrai que dans certains reportages ils disent qu il n y a pas d adn??
Re: son portrait robot
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Au lendemain du drame, Luc, le frère de Cécile, féru de biologie - il est, depuis, devenu généticien, enseigne à Jussieu - s'est enquis des méthodes d'identification par l'ADN pratiquées alors en Grande-Bretagne et en Belgique, mais pas en France. « Il a proposé son aide, donné les clés au juge. Mais les analyses n'ont été effectuées que dix ans plus tard ! Et les comparaisons avec d'autres victimes quinze ans plus tard ! »
Alors, l'ADN a « parlé ». Et l'on apprit que l'assassin de Cécile avait commis d'autres méfaits. Qu'une petite Sarah de 8 ans avait été agressée le 7 avril 1986 à Paris, 13e, au quatrième sous-sol d'un immeuble. Qu'une adolescente, Marianne, avait été attaquée en 1987 à Paris, 14e, par un homme se faisant passer pour un policier, et qui l'a ligotée et violée, sans toutefois tenter de la tuer mais dérobant disques, appareil photo, argent. La même empreinte génétique, toujours. La même aussi, sept ans plus tard, avec Ingrid, 11 ans, menottée, violée à Saclay, en Seine-et-Marne, par un homme exhibant une carte tricolore.
Au lendemain du drame, Luc, le frère de Cécile, féru de biologie - il est, depuis, devenu généticien, enseigne à Jussieu - s'est enquis des méthodes d'identification par l'ADN pratiquées alors en Grande-Bretagne et en Belgique, mais pas en France. « Il a proposé son aide, donné les clés au juge. Mais les analyses n'ont été effectuées que dix ans plus tard ! Et les comparaisons avec d'autres victimes quinze ans plus tard ! »
Alors, l'ADN a « parlé ». Et l'on apprit que l'assassin de Cécile avait commis d'autres méfaits. Qu'une petite Sarah de 8 ans avait été agressée le 7 avril 1986 à Paris, 13e, au quatrième sous-sol d'un immeuble. Qu'une adolescente, Marianne, avait été attaquée en 1987 à Paris, 14e, par un homme se faisant passer pour un policier, et qui l'a ligotée et violée, sans toutefois tenter de la tuer mais dérobant disques, appareil photo, argent. La même empreinte génétique, toujours. La même aussi, sept ans plus tard, avec Ingrid, 11 ans, menottée, violée à Saclay, en Seine-et-Marne, par un homme exhibant une carte tricolore.
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