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Message par mimi 26.02.18 20:51

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Message par mimi 27.02.18 19:58

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Message par mimi 28.02.18 20:00

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Message par mimi 28.02.18 21:32

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Message par mimi 02.03.18 19:37

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Message par Cyclope 18.06.18 22:42

Bonsoir,

Je viens d'écouter cette ancienne émission de l'Heure du crime (2013), consacrée à une affaire dont je n'avais pas entendu parler, celle de l'étrangleur de Robertsau à Strasbourg, en 1986.



En 1986, deux crimes atroces sont commis à Strasbourg, attribués à un même auteur.

Marion V., 10 ans, est étranglée et violée, puis laissée pour morte par son agresseur. Celui-ci rappellera les parents quelques semaines plus tard pour les provoquer.
Puis Martine R. est violée et tuée à 17 ans, tout près de sa soeur Patricia qui dormait dans la chambre adjacente. Cette dernière est agressée à son tour mais met son agresseur en fuit en hurlant, avant que celui-ci ait pu passer à l'acte.

Dans les deux cas, le mode opératoire est assez proche. Intrusion dans des appartement au rez-de-chaussée, de nuit. Dans le cas de Martine R., l'agression semble être bien préparée. Les deux soeurs, colocataires, avait déjà été victime d'un cambriolage en leur absence quelques jours avant l'agression. Le cambrioleur avait cassé le carreau donnant sur les toilettes, mais n'avait presque rien pris... sauf les clés de l'appartement qu'il a utilisé pour entrer quelques nuits plus tard.

Nicolas Charbonnier, arrêté en 2013 à 53 ans, 27 ans après les faits, vit alors à Bordeaux. Son arrestation a été permise par un recoupement entre les empreintes des paumes retrouvées sur l'une des scènes de crime (information tenue secrète par les enquêteurs), et la sienne versée au fichier national suite à une affaire de vol en 2012. Malgré ce dernier délit mineur, Nicolas Charbonnier était en 2013 un homme intégré, passe-partout, père d'une petite fille.

Des articles sur son procès en 2016 : 1 , 2 .

Ca ne peut évidemment être notre G. (pas de correspondance ADN), mais je suis quand même marqué par la comparaison. Un âge sans doute proche, des agressions présentant quelques similitudes à la même époque, mais à Strasbourg. Pour moi le G. doit être un individu du même genre.

Au passage, j'ai vraiment du mal à croire qu'un individu qui commet coup sur coup deux crimes aussi atroces et organisés, appelle les parents d'une victime avant de rester impuni pendant plus de vingt ans, ait pu rester tranquille ensuite. J'espère que les enquêteurs ont essayé de trouver des correspondances avec d'autres cold cases dans les régions où il a séjourné.
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Message par Kassandra88 18.06.18 23:45

Bonsoir Cyclope,
C'est avec beaucoup de satisfaction que nous avions évoqué cette affaire ici:
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Message par Cyclope 19.06.18 12:38

Il y a également eu une autre jeune fille violée par Nicolas Charbonnier en octobre 1985 à Strasbourg, mais les faits étaient prescrits en 2016. 1. Là encore, l'agresseur avait appelé les parents quelques semaines après pour les narguer.

Je vois que Didier pensait comme moi. Dans les articles sur cette affaire, il n'est fait aucune référence à de possibles recherche de la police sur des cold cases qui pourraient être attribués à cet individu. Il frapperait trois fois en quelques mois, de manière de plus en plus violente et maitrisée, puis se tiendrait tranquille pendant 27 ans ???

Comment savoir par exemple si traces du G. que Corinne Herrmann pense entrevoir dans des affaires dans l'Est ou le Nord ne sont pas attribuables à Nicolas Charbonnier ou d'autres prédateurs ?
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Message par Maison 17.01.19 16:51

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Message par Maison 09.02.19 22:46

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Message par Kassandra88 10.02.19 0:12

Maison a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce ne sont pas des faits qui se sont déroulés dans les années 80!
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Message par Kassandra88 07.11.19 13:52

par Gédéon Aujourd'hui à 13:41
U NOM DU PEUPLE FRANCAIS
LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE CRIMINELLE, en son audience publique, tenue au Palais de Justice, à PARIS, le vingt-neuf mars mil neuf cent quatre vingt neuf, a rendu l'arrêt suivant :

Sur le rapport de Mme le conseiller référendaire RACT-MADOUX, les observations de la société civile professionnelle COUTARD et MAYER, avocat en la Cour, et les conclusions de M. l'avocat général PERFETTI ;

Statuant sur le pourvoi formé par :

- X... Fabrice,

contre l'arrêt de la chambre d'accusation de la cour d'appel de PARIS, en date du 21 décembre 1988, qui, dans une procédure suivie contre lui du chef de viol sur mineure de 15 ans, a infirmé l'ordonnance du juge d'instruction le mettant en liberté sous contrôle judiciaire et a dit que le mandat de dépôt du 29 mars 1988 reprendrait effet ;

Vu le mémoire produit ;

Sur le moyen unique de cassation, pris de la violation des articles 144, 147, 593 du Code de procédure pénale ;

"en ce que l'arrêt attaqué a infirmé une ordonnance de mise en liberté sous contrôle judiciaire et a fait reprendre effet au mandat de dépôt du 29 mars 1988 ;

"aux motifs que "le comportement de l'inculpé a gravement troublé l'ordre public et que ce trouble demeure toujours actuel ; que l'état mental de l'inculpé est loin d'être satisfaisant ; qu'il existe, malgré ses rétractations, de lourdes présomptions à son encontre, d'autant plus que les jeunes enfants ont été considérées comme crédibles et non affabulatrices par l'expert ; que la détention provisoire est donc nécessaire pour prévenir le renouvellement de l'infraction compte tenu du comportement antérieur de l'inculpé, tel qu'il résulte du dossier d'instruction" ;

"alors d'une part que en indiquant de manière vague et générale que le trouble causé à l'ordre public par l'infraction demeurait "actuel", sans donner concrètement les raisons expliquant cette prétendue actualité, spécialement pour des faits remontant à plus de huit mois, la cour d'appel a privé sa décision de base légale ;

"alors d'autre part que en s'abstenant d'indiquer quel "comportement antérieur de l'inculpé", résultant prétendument du "dossier d'instruction", était susceptible de faire craindre un renouvellement de l'infraction, la cour d'appel a derechef privé sa décision de base légale ;

"alors enfin que l'"état mental" d'un prévenu, s'il relève éventuellement de telle ou telle mesure médicale, n'est pas susceptible de justifier en France un maintien en détention carcérale" ;

Attendu qu'il résulte de l'arrêt attaqué qu'il est reproché à Fabrice X... d'avoir attiré dans son appartement deux fillettes de 6 et 4 ans qu'il avait rencontrées dans l'ascenseur de son immeuble ; qu'il aurait exigé de l'aînée qu'elle se déshabillât, qu'il lui aurait introduit le doigt dans l'anus puis se serait fait pratiquer une fellation ; que la chambre d'accusation relève que l'inculpé avait

d'abord reconnu les faits puis était revenu sur ses aveux ;

Attendu que pour infirmer l'ordonnance du juge d'instruction ayant mis l'inculpé en liberté sous contrôle judiciaire, la juridiction d'instruction énonce que le comportement de ce dernier a gravement troublé l'ordre public et que ce trouble demeure ; que l'état mental de l'inculpé est loin d'être satisfaisant ; qu'il existe de lourdes présomptions à son encontre et que la détention provisoire est donc nécessaire pour prévenir le renouvellement de l'infraction compte tenu du comportement antérieur de l'inculpé, tel qu'il résulte du dossier de l'instruction ;

Attendu qu'en cet état, les juges ont justifié leur décision dans les conditions prévues par l'article 148 du Code de procédure pénale, par une décision spécialement motivée d'après les éléments de l'espèce, ainsi que l'exige l'article 145 dudit code pour des cas limitativement énumérés par son article 144 ;

Et attendu que l'arrêt est régulier en la forme ;

REJETTE le pourvoi ;

Condamne le demandeur aux dépens ;

Ainsi jugé et prononcé par la Cour de Cassation, chambre criminelle, en son audience publique, les jour, mois et an que dessus ;

Où étaient présents : M. Bonneau conseiller le plus ancien faisant fonctions de président en remplacement du président empêché, Mme Ract-Madoux conseiller référendaire rapporteur, MM. de Bouillane de Lacoste, Jean Simon, Guilloux conseillers de la chambre, Louise, MM. Maron, de Massiac conseillers référendaires, M. Perfetti avocat général, Mme Patin greffier de chambre ;

En foi de quoi, le présent arrêt a été signé par le président, le rapporteur et le greffier de chambre ;

source Légifrance
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Message par Kassandra88 07.11.19 13:53

par Gédéon Aujourd'hui à 13:44
Références
Cour de cassation
chambre criminelle
Audience publique du mercredi 5 février 1997
N° de pourvoi: 96-82209
Non publié au bulletinIrrecevabilité

Président : M. GUILLOUX conseiller, président


Texte intégral
REPUBLIQUE FRANCAISE

AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS


AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE CRIMINELLE, en son audience publique tenue au Palais de Justice à PARIS, le cinq février mil neuf cent quatre-vingt-dix-sept, a rendu l'arrêt suivant :

Sur le rapport de M. le conseiller MASSE, les observations de la société civile professionnelle WAQUET, FARGE et HAZAN, avocat en la Cour, et les conclusions de M. l'avocat général le FOYER de COSTIL ;

Statuant sur le pourvoi formé par :

- X... Bernadette, épouse Z...,

- Z... James, parties civiles, contre l'arrêt de la chambre d'accusation de la cour d'appel de VERSAILLES, en date du 20 mars 1996 qui, dans l'information suivie contre Georges Y... du chef de viol aggravé, a dit n'y avoir lieu à suivre ;

Vu le mémoire produit ;

Sur le moyen unique de cassation pris de la violation des articles 222-23, 222-24 et suivants du nouveau Code pénal, 332 du Codé pénal, 575 alinéa 2, 6° du Code de procédure pénale, 593 du même Code, défaut de motifs, manque de base légale ;

"en ce que l'arrêt attaqué a dit n'y avoir lieu à suivre à l'encontre de Georges Y... du chef de viol sur une personne particulièrement vulnérable, avec la circonstance d'autorité sur la victime ;

"aux motifs que "Georges Y... et Patricia Z... étaient entendus de manière concomitante;

tous deux décrivaient un rapport sexuel unique un soir de décembre, dans la cave de l'immeuble... il (Georges Y...) relatait que ce soir-là, vers 21 heures, il était sorti pour promener le chien et que sa nièce avait voulu l'accompagner;

lorsqu'ils étaient revenus dans le hall de l'immeuble, il avait eu pour elle un désir sexuel subit et dans l'ascenseur, il aurait appuyé sur le bouton du sous-sol;

il l'avait entraînée dans une cave...

Patricia Z... relatait elle-même qu'il l'avait emmenée dans la cave...

elle précisait qu'elle avait voulu crier et qu'il lui avait mis la main sur la bouche et qu'il lui avait maintenu les deux bras...; réentendu au cours de sa garde à vue, Georges Y... reconnaissait qu'il l'avait emmenée dans la cave par surprise alors qu'il avait l'intention d'avoir avec elle un rapport sexuel" (arrêt, pages 5, 6 et 7) ;

"et que, par ailleurs, "l'instruction n'a pas permis d'établir l'hypothèse d'un rapport sexuel unique un soir par surprise dans une cave;

qu'il n'existe pas de charges suffisantes à l'encontre de Georges Y... que les actes de pénétration sexuelle reconnus par lui aient été commis "par violence, contrainte ou surprise" ;

"alors que la chambre d'accusation ne pouvait sans se contredire relever, d'une part, que Georges Y... avait eu avec sa nièce un rapport sexuel unique, un soir de décembre dans la cave de l'immeuble, où il l'avait emmenée par surprise et déclarer, d'autre part, pour fonder sa décision de non-lieu, que l'instruction n'a pas permis d'établir un rapport sexuel unique, imposé par surprise, dans une cave;

qu'en l'état de cette contradiction de motifs équivalant à leur absence, l'arrêt ne satisfait pas en la forme aux conditions essentielles de son existence légale ;

"alors qu'en toute hypothèse, l'existence d'un rapport sexuel unique imposé par surprise dans une cave résulte des propres constatations de l'arrêt attaqué;

qu'en s'abstenant, au terme d'un dispositif contradictoire avec lesdites constatations, de tirer les conséquences légales qui s'en évinçaient, l'arrêt attaqué a violé les textes susvisés" ;

Attendu que les énonciations de l'arrêt attaqué mettent la Cour de Cassation en mesure de s'assurer que, pour dire n'y avoir lieu à suivre du chef de viol aggravé contre Georges Y..., la chambre d'accusation, après avoir analysé les faits dénoncés dans la plainte, a exposé les motifs pour lesquels elle a estimé qu'il n'existait pas de charges suffisantes contre l'intéressé d'avoir commis le crime reproché ;

Attendu que le moyen proposé, qui revient à discuter la valeur des motifs retenus par les juges, ne contient aucun des griefs que l'article 575 du Code de procédure pénale autorise la partie civile à formuler à l'appui de son pourvoi contre un arrêt de non-lieu en l'absence de pourvoi du ministère public ;

D'ou il suit que le moyen n'est pas recevable, et qu'en application du texte susvisé, il en est de même du pourvoi ;

Par ces motifs,

Déclare le pourvoi IRRECEVABLE ;

Ainsi jugé et prononcé par la Cour de Cassation, chambre criminelle, en son audience publique, les jour, mois et an que dessus ;

Etaient présents aux débats et au délibéré : M. Guilloux conseiller le plus ancien, faisant fonctions de président en remplacement du président empêché, M. Massé conseiller rapporteur, M. Fabre, Mme Baillot, MM. Le Gall, Farge, Mme Anzani conseillers de la chambre, Mme Batut, M. Poisot conseillers référendaires ;

Avocat général : M. le Foyer de Costil ;

Greffier de chambre : Mme Mazard ;

En foi de quoi le présent arrêt a été signé par le président, le rapporteur et le greffier de chambre ;



Analyse
Décision attaquée : chambre d'accusation de la cour d'appel de Versailles , du 20 mars 1996


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Message par weltG 26.11.19 16:56

Une affaire de tueur de prostituées dans le Bois de Boulogne entre 1985 et 1986 qui n'a pas dû faire grand bruit à l'époque...
7 crimes en tout quand même.

J'ignore s'il a été arrêté.

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D'autres affaires criminelles de l'époque - Page 2 Empty meurtre de Pierre Prévost

Message par Kassandra88 13.12.19 14:01

par Gédéon Aujourd'hui à 13:54
Dans ce nouveau sujet je souhaiterais d 'affaires de viols ou meurtres élucidées peu connu avant ou après la période du Grêlé (1986 -1994 ) :
De faits criminels commis en France par des personnes pouvant avoir l 'âge du Grêlé :


Pierre PREVOST

1969 - Le sous-brigadier Pierre Prévost est abattu par un individu suspect qu'il transporte jusqu'au commissariat de Libourne pour vérification de son identité. Marié et père de cinq enfants, il était âgé de 48 ans.

Si vous êtes un proche de la victime, merci de me contacter.
Lundi 24 Mars 1969. Deux automobilistes au comportement suspect sont repérés sur la place de la mairie de Libourne (Gironde) par une patrouille de police du commissariat local. Il est environ deux heures du matin lorsque, au terme d'une brève surveillance, les agents décident de procéder au contrôle des maraudeurs. Peu prolixes, les individus dépourvus de documents d'identité sont cependant trouvés en possession d'un parfait outillage pour cambrioleurs. Décision est prise de les transporter jusqu'au commissariat distant de quelques centaines de mètres pour un contrôle plus approfondi. les deux agents ne le savent pas encore, mais le véhicule suspect a été dérobé la veille au soir dans les rues de Libourne. Les suspects sont placés à l'arrière du véhicule administratif.

Alors que la voiture emprunte les allées de Tourny, l'un des malfaiteurs sans doute mal fouillé brandit un pistolet et tire aussitôt sans aucune hésitation sur le conducteur. Le sous-brigadier Pierre Prévost, quarante-huit ans, père de cinq enfants, est atteint d'un projectile mortel à la tête. Le gardien de la paix Raymond Kerbrat saisit le bras armé du malfaiteur et tous deux s'affrontent âprement. Dans le même temps, le véhicule de police percute un arbre à quelques dizaines de mètres seulement du commissariat. S'aidant mutuellement, les deux bandits parviennent à prendre la fuite.
Saisi de l'affaire, le service régional de la police judiciaire de Bordeaux exploite le témoignage du policier survivant et les indices retrouvés dans le véhicule des malfaiteurs. Activant leur réseau d'indicateurs, les enquêteurs du commissaire principal Cabanne mettent la main rapidement sur le principal suspect : Jean-Joseph Portais, soixante ans, originaire de la région nantaise. Un criminel abouti, doté d'une longue expérience dans le domaine des vols à main armée et autres extorsions violentes.

Confronté aux éléments qui l'accablent et à la probabilité d'une condamnation à mort, le bandit remet des aveux et se décharge de quelques responsabilités en livrant le nom de son complice : Fred Viehweger, vingt-deux ans, originaire de Libourne ; le gredin est interpellé dans la foulée à son domicile à Bordeaux.
Trahi, ce dernier indique aux policiers que Portais était l'auteur d'une attaque à main armée sanglante commise à Mâcon le 3 août 1968 dans une bijouterie sise 47, rue Rambuteau. Lors de cette agression, Mlle Hélène Garnier, fille de la bijoutière sauvagement battue et séquestrée, avait été tuée à coups de revolver. Portais a reconnu sa présence sur les lieux les faits mais attribuait la responsabilité du meurtre à un complice décédé depuis.

L'interrogation des deux hommes devait amener l'arrestation d'un troisième complice : Guy Panassac, vingt-quatre ans, domicilié à Bordeaux. Celui-ci avait participé, le 13 février dernier, avec Viehweger et Portais, à une attaque à main armée contre la Banque industrielle et commerciale du Sud-Ouest, dans cette même ville. Des témoignages enfonçaient le clou autour de la personnalité très antipathique du principal accusé, dont seul l'âge plaidait en sa faveur, lui prêtant ces mots : "Pour moi, la vie d'un flic, ça ne compte pas". Le châtiment qui lui était promis ne devait surprendre que peu de monde.

Pour les meurtres de Mlle Garnier et du sous-brigadier Prévost, Portais écopait effectivement de la condamnation à mort le 17 décembre 1977, mais un vice de procédure entraine la cassation de l'arrêt le 22 juin 1978. Rejugé sous l'égide du pénaliste Me Robert Badinter, sa peine passe à la stupéfaction du principal intéressé à la réclusion criminelle à perpétuité aux assises de Côte-d'Or le 28 février 1979.

Libéré, le dangereux malfaiteur Portais décède à Blois le 19 novembre 1997.

Sources et références :
"Le Barreau de Bordeaux à travers les siècles" de Bertrand Favreau, document word non daté.
Le Bien Public, "Regards sur ces années là" - "Jean Portais sauve sa tête à Dijon"
Le Monde du 31/03/1969, "Le meurtrier du policier et son complice ont été arrêtés"
Le Monde du 25/03/1969, "Un sous-brigadier de police est tué par un malfaiteur"
Libellés : 1969, 33 - département de la Gironde, arme à feu, gradés et gardiens de la paix, mars, transport d'individu
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Message par Gédéon 13.12.19 15:45

M. Bernard Pesquet reconnaît avoir tué son épouse et un agent immobilier L'homme qui élevait des paons
C'est, finalement, non pas un (nos dernières éditions) mais deux cadavres qui ont été successivement découverts mercredi 11 août durant l'après-midi dans le sous-sol du domicile de M. Bernard Pesquet, 81, avenue de la Libération à Pierrelaye (Val-d'Oise). Les deux corps, qui étaient enfouis à 1 mètre pour le premier et à 30 centimètres pour le second sous le sol en terre battue de la cave, semblent être ceux de son épouse, Mme Christiane Pesquet, qui était âgée de trente-trois ans, et de M. Henri Francqui, qui était âgé de cinquante-deux ans. Ils n'ont cependant pas encore été formellement identifiés. Mme Pesquet, née Ruaux, originaire de Ronillé (Ille-et-Vilaine), qui s'était mariée le 24 décembre 1963, avait " disparu " du domicile conjugal depuis le 23 novembre 1974. Quant à l'autre victime, un agent immobilier, il était recherché depuis trois mois et demi.M. Bernard Pesquet, qui avait été arrêté le 30 juillet à son domicile après le triple meurtre de Neuilly (Hauts-de-Seine), a reconnu être l'auteur de ce double crime. En revanche, il nie toujours avoir tué dans leur appartement, 54, boulevard Maillot, M. Emile Bergaud, son épouse Alice et leur domestique, Mme Alfeia Borgioni, assassinés le 29 juillet. Mais les policiers ont découvert dans la propriété de M. Bernard Pesquet des bijoux et de l'argent appartenant à l'administrateur de biens de Neuilly ainsi que plusieurs passeports établis en 1949 aux noms des membres d'une même famille dont l'identité n'a pas été révélée.

Par M. B.-R. Publié le 13 août 1976 à 00h00 - Mis à jour le 13 août 1976 à 00h00


Gédéon


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Message par Manneke 09.08.21 16:13

2021

Seine-Saint-Denis : le «violeur des parkings» agressé chez lui à Saint-Denis

Manneke


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Message par weltG 03.10.21 9:05

Le violeur invisible

Une série d'articles parus en avril 2000 dans le Parisien et Libération évoque un violeur de jeunes filles parfois de fillettes qui sévissait en région parisienne à la fin des années 90.
Selon un journaliste de l'époque, l'affaire n'a jamais abouti.
L'âge du violeur varie de 20-25 ans à 30-35 ans, peut-être est-ce dû à des erreurs dans les articles ou directement aux témoignages.



1er article

Vendredi 7 avril 2000
Le Parisien • p. 2 • 210 mots
ENQUETE.

Le « violeur invisible » a déjà fait 24 victimes
Jean-Marc Ducos

Depuis dix-huit mois, un homme se faisant passer pour un policier commet des viols sur des adolescentes à Paris et en Ile-de-France. Il a déjà 24 victimes à son actif et reste insaisissable, faute de portrait-robot suffisamment précis.

LE TEINT MAT, 25 à 30 ans, présentant bien, les cheveux bruns et usant toujours de la même méthode pour agresser les adolescentes (voir page suivante).
Voilà les rares éléments descriptifs dont disposent les enquêteurs de six départements pour traquer celui qu'ils ont baptisé le « violeur invisible », qui a déjà fait, en l'espace de dix-huit mois, 24 victimes à Paris, dans le Val-de-Marne, l'Essonne, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine et le Val-d'Oise. Une esquisse de portrait-robot a déjà pu être dressée, mais il reste encore très vague.
Un portrait, aux dires des enquêteurs, « trop fade » pour permettre de définir un suspect.

Mais les policiers ont cependant engagé d'importants moyens, que « le Parisien » ne détaillera pas pour éviter de gêner le travail des policiers.
C'est toute la difficulté de ce dossier qui mobilise depuis des semaines plusieurs services de police départementaux, ainsi que la brigade des mineurs de Paris. Des services qui s'échangent des informations à chaque agression d'une adolescente pour savoir s'il s'agit bien du « violeur invisible ». Ce travail de fourmi a débuté à l'automne 1998 mais n'a pas encore porté ses fruits. La mobilité de l'agresseur a conduit les enquêteurs à ne pas centraliser l'affaire sous l'autorité d'un seul juge ou d'un seul service de
police pour avoir le meilleur quadrillage du terrain possible et débusquer cet homme qui, pour l'instant, n'apparaît dans aucun fichier.

L'agresseur défie toutes les lois du crime.


2e article

Samedi 8 avril 2000
Le Parisien • p. 12 • 237 mots
TRAQUE.

C'est le violeur en série
Jean-Marc Ducos Stéphane Bouchet

Trois juges et trois services enquêtent sur l'homme soupçonné d'une vingtaine de viols sur des adolescentes. Ses victimes parlent de son regard perçant, de sa démarche traînante, de son aspect passe-partout et de sa connaissance du monde policier.

UN REGARD décrit comme « perçant », voire « pesant » par certaines de ses victimes. Une démarche « traînante » qui pourrait trahir un léger handicap.
Et une allure vestimentaire sans particularité, pour ne pas dire passe-partout. C'est à partir de ce maigre signalement que la police espère mettre la main sur le violeur en série dont le portrait-robot vient d'être diffusé dans tous les commissariats de Paris et de sa proche banlieue. Ce jeune homme brun aux cheveux courts, âgé d'environ 25-30 ans, de type européen et s'exprimant sans accent, est soupçonné d'une vingtaine de viols commis sur des adolescentes entre l'automne 1998 et le 29 mars dernier (lire nos éditions d'hier). Le tout selon un scénario quasi immuable. En se faisant passer pour un policier, le pervers attire des jeunes filles dans des parkings où, prétextant d'une fouille au corps, il finit par abuser d'elles. Trois juges d'instruction et trois services d'enquêteurs sont officiellement chargés de cette traque dont la haute hiérarchie policière n'a été informée qu'hier matin.
Autant dire que la pression est montée d'un cran sur les (DR.)
Les sûretés départementales du Val-de- Marne, de Seine-Saint-Denis, et sur la brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire de Paris, les départements où se sont déroulées la plupart des agressions. Certes, ces services disposent de l'empreinte ADN du
violeur. Mais les comparaisons génétiques n'ont, pour l'instant, rien donné. Pas plus que l'examen des fichiers photographiques des délinquants sexuels présentés aux victimes.
« Il n'apparaît nulle part dans nos archives. Comme s'il n'avait jamais existé
ni commis le moindre faux pas. Bref, c'est le néant »


3e article

Samedi 8 avril 2000
Libération • quotidien deuxième édition • no. 5877 • p. 19 • 441 mots

Le violeur prétend être policier. En 18 mois, il aurait agressé 24 adolescentes dans toute l'Ile-de-France.
PIVOIS Marc

L'homme mobilise, depuis plus d'un an et demi, les polices départementales de la petite couronne et la brigade des mineurs de Paris. Selon le Parisien/Aujourd'hui qui révèle l'affaire, les policiers ne sauraient pas grand chose de lui.
Pourtant, celui que les enquêteurs ont surnommé «le faux policier», aurait agressé au moins 24 adolescentes en Ilede- France.
Toutes ont dressé de leur agresseur un portrait à peu près identique:
une trentaine d'années, bien habillé, brun, le teint mat. Surtout, elles décrivent un modus operandi quasi invariable.
L'homme repère sa victime à la sortie d'un collège ou d'un gymnase, en fin d'après-midi. Ses proies sont des jeunes filles de 12 à 15 ans. Il les suit sans se faire remarquer. Puis lorsqu'elles arrivent devant leur domicile, le plus souvent dans des endroits assez fréquentés, il intervient: «Police, suivez-moi!» affirme-t-il avec un remarquable sangfroid. Prétextant une enquête sur un trafic de stupéfiant, il entraîne la victime dans un endroit isolé, souvent une cave de HLM. Parfois, il va jusqu'à opérer dans l'appartement même des jeunes filles. Il prétexte une «fouille à corps», en se plaçant dans le dos de la victime.

En 18 mois, l'homme aurait ainsi commis sept agressions dans le Val-de-Marne, une dizaine à Paris, trois en Seine-Saint-Denis et s'est aventuré parfois dans les Hauts-de-Seine et en Essonne. Une mobilité étonnante pour les policiers: ce type de malfaiteur est en général casanier.

Identité génétique.
Malgré cette adaptabilité géographique et un portrait-robot «assez vague» dressé grâce aux témoignages des victimes, les enquêteurs disposent cependant de quelques indices. Le plus intéressant étant probablement son identité génétique, obtenue grâce aux tests ADN effectués sur prélèvements.
Ces analyses ont confirmé que le «faux policier» était un seul et même homme, au moins dans neuf des 24 cas. Pour les autres, aucun prélèvement n'a pu être effectué. En l'absence jusqu'à aujourd'hui, de véritable fichier des signatures génétiques des délinquants sexuels, cet élément n'a livré aucun nom. Il a au moins servi à disculper un suspect qui, en Bretagne, avait utilisé par le passé des méthodes assez semblables. Aplomb.

La publication de ces informations, vendredi, a fait bondir plus d'un policier. Il y a d'abord ceux qui n'étaient pas au courant. Quant aux enquêteurs en charge du dossier, ils ne décolèrent pas.
«C'est absolument dégueulasse d'avoir sorti ça, vitupère un commissaire. Ça fout toute l'enquête par terre. Notre profileur (1) est persuadé que l'homme qui n'est apparemment pas idiot, va changer de mode opératoire. Il est même possible qu'il change d'aspect physique.
Maintenant, il va falloir des mois et des mois pour le serrer!» A moins que flatté par cette soudaine notoriété, il ne commette une erreur.

Selon un profileur, il pourrait être «mégalomane et provocateur».
Une fois, il a bien failli se faire prendre, surpris par le père d'une victime.
Mais cette fois encore, le «violeur en série» ne s'est pas départi de son aplomb. «Je suis policier, qui êtes-vous?», avait-il demandé au père. Le temps que celui-ci revienne de sa surprise, le «faux policier» avait disparu.
Une autre hypothèse existe après ce déballage médiatique: qu'il s'évanouisse dans la nature en ne commettant plus de forfait. Dans ce cas, les policiers auront du mal à le retrouver. «C'est peu probable,
affirme un enquêteur. Ce type-là est un malade, il ne pourra s'empêcher de recommencer.».

(1) Un profileur est un expert qui élabore le profil psychologique d'un criminel à partir des indices trouvés sur le terrain.


4e article

Dimanche 9 avril 2000
Le Parisien • p. 11 • 408 mots
Région parisienne

« Les viols continuaient, il fallait parler » La mère d'une des jeunes victimes du violeur en série
Propos recueillis par Christophe Dubois

ALORS QUE le « violeur invisible», suspecté d'avoir commis une vingtaine d'agressions sexuelles ou viols, est toujours recherché activement par les services de police, la mère d'une des victimes, domiciliée à Saint-Maur (Val-de-Marne), explique pourquoi elle a choisi de s'exprimer publiquement sur cette affaire.

Depuis quelques jours, le portrait-robot de l'agresseur (le Parisien d'hier), qui se fait passer pour un policier, est diffusé dans les commissariats parisiens et de la proche banlieue. Trois juges d'instruction et trois services de police sont mobilisés pour arrêter ce jeune homme brun aux cheveux courts, âgé d'environ 25-30 ans, de type européen, ayant une démarche « traînante » et une allure vestimentaire passe-partout. Vous avez décidé de parler de l'agression de votre fille, victime d'un violeur en série, alors que les policiers vous avaient donné des consignes de silence. Pourquoi ?

La première fois, lorsque je suis allée voir les policiers pour le viol de ma fille, j'ai été très surprise d'apprendre qu'elle était au moins la quinzième victime.
J'ai posé la question : « Pourquoi n'en parlez- vous pas ? » Les policiers m'ont dit qu'ils ne voulaient pas provoquer de psychose. Mais les viols continuaient, c'est pourquoi je pense qu'il fallait parler.

Qu'est-ce qui vous a décidé finalement ?
A deux ou trois reprises après l'agression de ma fille, qui s'est déroulée en décembre 1999, nous avons été convoquées à plusieurs confrontations avec d'éventuels suspects. Il y avait d'autres gamines agressées, qui attendaient dans le couloir, y compris une petite fille de 12 ans. Cela faisait au total 9 victimes supplémentaires.
Le fait de parler peut aider d'autres jeunes filles. Il faut qu'elles fassent attention, qu'elles sachent qu'il y a un individu dangereux en circulation. Les policiers estiment que la révélation de cette affaire peut nuire à l'enquête...
Si le fait de se taire avait empêché les agressions de se reproduire, cela aurait été un bon argument.
Mais là, depuis dix-huit mois, ça continue.
Beaucoup de gens m'ont apporté leur soutien.
J'ai parlé avec une autre maman, qui refuse de témoigner, mais m'a dit que c'était bien de l'avoir fait. Je pense que si cette information avait été diffusée plus tôt, ma fille aurait peut-être été plus vigilante. Il faut que les gamines se méfient.
L'agresseur frappe à visage découvert, quand il y a du monde. Il a agressé une jeune fille à la sortie d'un cours de danse, en pleine journée.

Etes-vous informée des avancées de l'enquête ?
Non, mais les policiers font un sacré boulot. C'est une équipe dynamique, qui veut absolument arrêter ce type. Cependant, peut-être faudrait-il mettre encore plus de moyens, car le violeur frappe dans différentes villes.
Pourquoi ne pas surveiller, par exemple, les écoles ?
Il est retourné deux fois dans le même établissement !

Vous êtes pour le moment la seule mère à vous être manifestée publiquement...
Je ne comprends pas pourquoi les familles ne bougent pas et laissent sans complexe d'autres gamines se faire agresser. On ne peut pas ne pas bouger. Certains m'ont dit qu'ils avaient suffisamment souffert et ne voulaient plus entendre parler de cette affaire.
Moi, je pense aux autres gosses.
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D'autres affaires criminelles de l'époque - Page 2 Empty Meurtre rue des Pyrénées en 1983

Message par Invité 16.10.21 18:15

L'immeuble actuel du 259 rue des Pyrénées où avait été trouvé en 1983 le  corps de Raymonde Lefeuvre. Jamais élucidé.
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Message par weltG 16.10.21 18:34

MiYa a écrit:L'immeuble actuel du 259 rue des Pyrénées où avait été trouvé en 1983 le  corps de Raymonde Lefeuvre. Jamais élucidé.

Je remets les articles concernant cette affaire qui ont été postés par Mimi fin 2017 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


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Message par Vas 16.10.21 23:11

weltgeist a écrit:
Une série d'articles parus en avril 2000 dans le Parisien et Libération évoque un violeur de jeunes filles parfois de fillettes qui sévissait en région parisienne à la fin des années 90.
Selon un journaliste de l'époque, l'affaire n'a jamais abouti.
L'âge du violeur varie de 20-25 ans à 30-35 ans, peut-être est-ce dû à des erreurs dans les articles ou directement aux témoignages.

Hallucinant cette histoire. Exit le teint mat et les lieux des crimes (parking c/ hall d'immeuble), c'est exactement l'année 1987 du grêlé (a fortiori).

Cette fois on m'aura plus. Moi je dis que c'est un vrai policier!

Vas


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Message par Kassandra88 16.10.21 23:57

Il y a aussi cette affaire que j'ai découverte à partir de détails donnés par Metsec:

• Sophie Boulay, tuée chez elle à Versailles
Sophie Boulay, 30 ans, a été tuée chez elle, à Versailles, le 5 décembre 1995. Son corps a été retrouvé avec un oreiller posé sur le visage. Cette femme, qui vivait seule, est morte étranglée, à la main et avec un lien, après avoir été rouée de coups. L’autopsie n’a révélé aucune trace de violences sexuelles. Les enquêteurs de la PJ travaillent encore sur cette affaire au mobile nébuleux.
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@ mimi aurais tu des informations sur cette affaire?
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Message par Eudix 17.10.21 1:04

Au sujet de cette dernière affaire, voici ce qui a paru dans la presse régionale de l'époque : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Eudix


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Message par Kassandra88 17.10.21 8:48

Merci Eudix.
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Message par Maison 28.08.22 14:43

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Bonjour,

En 1984, les meurtriers étaient sous les verrous !
A noter, l'agression du Me L ressemble furieusement à celle de GP.
Ce trio diabolique aurait-il inspiré le G?

Rolling Eyes



Maison


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