Le conflit en Ukraine

RSF lance aujourd'hui un nouveau bouquet satellitaire en langue russe.

Le but est de permettre à la population russe d'accéder à des chaînes de radio et de télévision en-dehors de toute propagande. Une prouesse technologique pour le droit à l'information libre et indépendante.

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"Des frappes russes lors du déplacement de Zelensky et du premier ministre grec à Odessa

L'armée russe a effectué mercredi des frappes sur Odessa au moment où le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis étaient en déplacement dans ce grand port du sud de l'Ukraine, a indiqué le dirigeant grec. «À la toute fin (de la visite, ndlr), nous avons entendu le son des sirènes antiaériennes et des explosions tout près de nous. Nous n'avons pas eu le temps de nous mettre à l'abri», a déclaré Mitsotakis à l'issue des bombardements, évoquant «une expérience impressionnante». «Nous comprenons que cette guerre touche tout le monde (...) Elle n'épargne personne», a ajouté Mitsotakis lors d'une conférence de presse conjointe avec Volodymyr Zelensky."

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"Là pour mourir": l'amertume des mercenaires népalais de l'armée russe

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L’ambassade américaine a publié un avertissement sur son site internet jeudi soir. “L’ambassade surveille les informations selon lesquelles des extrémistes envisagent de cibler de grands rassemblements à Moscou, y compris des concerts. Nous conseillons aux citoyens américains d’éviter les grands rassemblements au cours des prochaines 48 heures”, peut-on lire sur le site de l’ambassade.

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Leonid Volkov, ancien bras droit d'Alexeï Navalny, a été agressé devant son domicile en Lituanie
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Les combattants pro-Kiev exhortent les civils russes à évacuer les villes des régions de Koursk et de Belgorod
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“Midi contre Poutine”: devant les bureaux de vote, des électeurs russes rendent un hommage symbolique à Navalny
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Spécial complotistes

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Tiens, ils existent toujours ceux là?

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Pfff   Savent même pas écrire Champs-Élysées

Présidentielle russe : Vladimir Poutine réélu avec 87% des voix, selon un sondage à la sortie des urnes
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C'est légitime, vous pensez ? 🥴🥴

216795ŦTristanduvar a écrit:Présidentielle russe : Vladimir Poutine réélu avec 87% des voix, selon un sondage à la sortie des urnes
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C'est légitime, vous pensez ?  🥴🥴

En tout cas, ce n'est pas demain que Marina rentrera en Russie. Sous bracelet électronique, elle a quitté le pays avec sa fille, abandonnant son fils ainé et sa mère.

Condamnée en Russie, la nouvelle vie en France de Marina Ovsiannikova, la « journaliste à la pancarte »
Trois semaines après le début de la guerre en Ukraine, la journaliste russe brandissait, en plein journal télévisé, un écriteau critiquant l’offensive. Un geste de défi au Kremlin qui lui a valu une condamnation à plus de huit ans de prison et l’a entraînée sur le chemin d’un douloureux exil. Elle se confie au Parisien.

Pour faire « connaître la vérité », elle était prête à passer un ou deux ans derrière les barreaux. Mais elle n’avait pas imaginé que la situation tournerait au cauchemar. Qu’elle vivrait en exil, deviendrait une réfugiée politique, serait séparée d’une partie de sa famille. Le 14 mars 2022, Marina Ovsiannikova brandit une pancarte en anglais et en russe critiquant l’offensive en Ukraine, en plein journal télévisé sur Pervy Kanal, la chaîne la plus regardée de Russie : « Non à la guerre. Ne croyez pas à la propagande. Les Russes contre la guerre. »

« L’opération spéciale » décrétée par Poutine n’a commencé que depuis trois semaines. C’était un geste « sous le coup de l’émotion », reconnaît aujourd’hui la journaliste que des connaissances décrivent volontiers comme « impulsive ».

Arrêtée puis assignée à résidence, elle risque alors jusqu’à dix ans de prison. Le 1er octobre 2022, alors qu’elle est équipée d’un bracelet électronique, Marina Ovsiannikova s’enfuit, sa fille sous le bras. Une course contre la montre s’engage pour sortir du pays. Heureusement, elle peut compter sur les équipes de Reporters sans frontières (RSF).

« C’est dangereux pour tous les opposants en exil »
Lorsqu’elle quitte enfin la Russie, le soulagement prime tant les risques encourus étaient grands. « Tout le monde pensait que c’était improbable qu’elle parvienne à atteindre le territoire européen », se souvient Thibaut Bruttin, adjoint au directeur général de RSF, l’un des premiers à avoir vu cette opposante fatiguée mais combative à son arrivée dans l’Hexagone.

Les premières semaines sont loin d’être simples. Marina Ovsiannikova ne peut pas sortir, car personne ne sait qu’elle est en France. Aujourd’hui encore, sa sécurité est un sujet sensible, et peu d’informations filtrent sur sa vie. « J’essaie de suivre certaines règles, mais c’est dangereux pour tous les opposants en exil », explique-t-elle.

La mère de famille tente malgré tout d’organiser son nouveau quotidien et celui de sa fille, scolarisée en France. Elle s’intègre, se mobilise et continue la lutte, autant qu’il est possible de le faire de l’extérieur. Elle travaille à son propre projet de média et participe à la mise en place d’un satellite qui permettra d’offrir un accès à des chaînes télé et radios indépendantes en territoire russe.

« Je sais que mes anciens collègues continuent de me suivre, de voir ce que je publie sur les réseaux sociaux. Mais bien sûr, ils ne commentent jamais parce qu’ils ont peur », décrit-elle. La répression est telle, en Russie, que le simple fait de partager une publication peut conduire en prison.

L’exil est difficile
Son énergie et sa détermination sont accompagnées d’une grande dose de lucidité. Marina Ovsiannikova, 45 ans, ne sait que trop bien que l’opposition est quasi inexistante chez elle. Ses représentants sont morts, en prison ou en fuite. Regrette-t-elle son geste ? La réponse n’est pas évidente. Car derrière elle, la journaliste a dû laisser son fils aîné et une mère âgée.

« C’est ça, le plus douloureux pour moi, bien au-delà de ma condamnation à huit ans et demi de prison ». L’exil est difficile. Mais elle espère un jour — lointain sans doute, elle ne s’illusionne pas — pouvoir rentrer dans son pays, enfin débarrassé de Poutine.

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Marina Ovsiannikova a 45 ans.
Elle peut donc garder bon espoir de rentrer un jour chez elle quand ce dictateur sera croulant ou mort de vieillesse.

Quand je pense combien la victoire de Stalingrad a compté pour mes GP, mes parents et mes proches , je trouve ça amoral de passer cela sous le tapis . Bien heureusement, dans ma famille multi-culturelle , on est conscient qu'on doit beaucoup au sacrifice des 20 millions de russes.

217085ŦLisetoct a écrit:Quand je pense combien la victoire de Stalingrad a compté pour mes GP, mes parents et mes proches , je trouve ça amoral de passer cela sous le tapis .  Bien heureusement, dans ma famille multi-culturelle , on est conscient qu'on doit beaucoup au sacrifice des 20 millions de russes.

Poutine est un Russe
Tous les Russes ne sont pas Poutine (et heureusement pour nous)

La seule et UNIQUE façon de terminer cette guerre , et de faire en sorte que l'Ukraine en sorte vainqueur , et ça je le dis depuis le
début , c'est d'éliminer physiquement Poutine , ainsi que Medvedev , qui est encore plus fou que lui -

Les services spéciaux savent faire cela.

Bonjour MIKE

Ce n'est peut-être pas aussi facile...

Poutine a pris le temps d'organiser la protection de sa petite personne.
Il peut notamment compter sur :

24 mille enquêteurs (qui enciouragent notamment la délation)
50 mille procureurs (aux ordres du Kremlin)
200 mille agents du FSB (dont le dictateur a été un des chefs il y a 25 ans)
340 mille hommes de la "garde nationale" (une force militaire dédiée à la protection du dictateur).
800 mille policiers (brutaux et aux ordres du pouvoir)

Par ailleurs, Poutine a donné ordre depuis quelque temps d'enseigner dans les écoles aux enfants et aux ados un "patriotisme" fondé sur le principe de la puissance militaire.
C'est la copie quasi conforme de l'organisation des jeunesses hitlériennes dans les années 30 en Allemagne, fondée notamment sur l'idéologie d'une race aryenne "supérieure".
On pourrait parler en l'occurrence de jeunesse poutinienne fondée sur l'idéologie de la "glorieuse Russie", supérieure militairement et moralement à l'"Occident décadent ".

Russie : une femme condamnée à huit jours de détention pour avoir écrit « Non à la guerre » sur son bulletin de vote [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Quand je lis des choses pareilles, je réalise la chance que j'ai de vivre dans un pays libre, ou la critique des décisions de l'État n'est pas passible de prison.

217231ŦCasta a écrit:Bonjour MIKE

Ce n'est peut-être pas aussi facile...

Poutine a pris le temps d'organiser la protection de sa petite personne.
Il peut notamment compter sur :

24 mille enquêteurs (qui enciouragent notamment la délation)
50 mille procureurs (aux ordres du Kremlin)
200 mille agents du FSB (dont le dictateur a été un des chefs il y a 25 ans)
340 mille hommes de la "garde nationale" (une force militaire dédiée à la protection du dictateur).
800 mille policiers (brutaux et aux ordres du pouvoir)

Par ailleurs, Poutine a donné ordre depuis quelque temps d'enseigner dans les écoles aux enfants et aux ados un "patriotisme" fondé sur le principe de la puissance militaire.
C'est la copie quasi conforme de l'organisation des jeunesses hitlériennes dans les années 30 en Allemagne, fondée notamment sur l'idéologie d'une race aryenne "supérieure".
On pourrait parler en l'occurrence de jeunesse poutinienne fondée sur l'idéologie de la "glorieuse Russie", supérieure militairement et moralement à l'"Occident décadent ".

Bonsoir Casta - On est d'accord : c'est loin d'être facile - Il existe bien 2 autres solutions : une vraie révolution GENERALE du peuple Russe , mais on a la désagréable
impression , vu de l'Occident , qu'ils sont anesthésiés , résignés....ou alors les militaires qui prennent le pouvoir et qui renversent Poutine - Tout ça me paraît improbable.

217160ŦMIKE a écrit:La seule et UNIQUE façon de terminer cette guerre , et de faire en sorte que l'Ukraine en sorte vainqueur , et ça je le dis depuis le
début , c'est d'éliminer physiquement Poutine , ainsi que Medvedev , qui est encore plus fou que lui -

Les services spéciaux savent faire cela.

Il faut croire que le diable protège ces ordures. Il y a eu de nombreuses tentatives d'assassinat de Hitler, mais toutes ont échoué.

L'opération militaire spéciale devient désormais la guerre