ADN - FNAEG, portrait robot et généalogie génétique

214470ŦKassandra88 a écrit:

214467ŦCasta a écrit:Bonjour Kassandra

12 mille profils ADN pour un pays de près de 12 millions d'habitants, ça me semble très, très peu.

En comparaison, au 31 décembre 2021, le FNAEG comptait 5 219 947 profils génétiques de personnes dûment identifiées, soit plus de 7,5 % de la population française, plus 805 998 traces non identifiées.

Bonjour Casta,
Moi aussi, j'ai trouvé cela très peu.

bonjour à tous et toutes
En effet bien trop peu encore
Je note aussi ceci:

Le projet de loi a été adopté à l’unanimité, à l’exception de la N-VA et du Vlaams Belang. Les deux groupes ont quitté l’hémicycle, protestant contre la manière dont les votes se sont déroulés.

Toujours du soucis avec l’extrême droite!

https://www.cbsnews.com/news/virginia-man-arrested-elroy-harrison-dna-cold-case-murders-80s/Un homme de Virginie a été arrêté après avoir été lié à deux meurtres non élucidés grâce à des preuves d'ADN.

Le premier meurtre a eu lieu en 1986, selon les autorités. Jacqueline Lard, du comté de Stafford, a été vue pour la dernière fois le 15 novembre 1986, comme le bureau immobilier où elle travaillait a fermé pour la journée. Le lendemain matin, les collègues de Lard ont trouvé une scène de crime au bureau qui, selon le service de police de Stafford, indiquait une "lutte horrible". Les enquêteurs ont déterminé que la jeune femme de 32 ans et son véhicule étaient tous deux portés disparus. Deux mineurs jouant dans une zone boisée ont trouvé le corps de Lard le lendemain sous un tas de tapis mis au rebut.

Le deuxième meurtre s'est produit en mars 1989, lorsqu'une femme du comté de Stafford, Amy Baker, a disparu alors qu'elle rendait visite à sa famille à Falls Church, en Virginie, a déclaré la police du comté de Fairfax. Baker, 18 ans, n'est jamais rentré chez elle après la visite. Sa voiture a été retrouvée inoccupée la même nuit, et sa famille a signalé qu'elle était portée disparue. Sa famille a fouillé la région et a trouvé le corps de Baker dans une zone boisée près d'une rampe de sortie sur l'I-95.
 Des preuves médico-légales des deux meurtres ont été utilisées pour identifier le tueur présumé de Baker et Lard. En 2021, les détectives de l'équipe des cold cases du département de police du comté de Fairfax ont soumis des preuves de la mort de Baker à DNA Labs International. Un profil ADN a été créé et téléchargé dans la base de données de l'État de Virginie. Cela a permis à ceux qui enquêtaient sur la mort de Lard de relier les deux meurtres.

Les détectives ont ensuite utilisé la généalogie génétique médico-légale, avec l'aide de Parabon NanoLabs et de l'équipe de soutien analytique aux crimes violents non résolus et aux  cold cases  de la police de l'État de Virginie, pour identifier le nom de famille d'un éventuel suspect. Grâce à cela, la police a commencé à enquêter sur Elroy Harrison, 65 ans, un résident du comté de Stafford.L'enquête sur Harrison a commencé en février 2024. Le 4 mars, Harrison a été inculpé par un grand jury du comté de Stafford pour de multiples accusations, y compris de meurtre au premier degré, d'enlèvement avec l'intention de s'enndéminer et d'aggraver les blessures malveillantes de Lard. Harrison n'a pas encore été inculpé en relation avec le meurtre de Baker, ont déclaré les responsables du comté de Fairfax, mais une enquête est en cours.

Harrison a été arrêté le 5 mars et reste dans la prison régionale de Rappahannock. On lui a refusé un cautionnement, selon les dossiers de la prison.

"Nos pensées et nos prières accompagnent la famille et les amis de Jacqueline et Amy et nous espérons que cette arrestation pourra leur apporter un peu de paix", a déclaré le bureau du shérif du comté de Stafford. (traduction google)

«Cold case»: manque de moyens, de magistrats… ces freins qui entravent l’élucidation

Par Angélique Négroni / Le FigaroDÉCRYPTAGE - Trop vieux, le matériel qui renferme des milliers de dossiers anciens va lâcher et tout ce qu’il contient risque de disparaître.

La mémoire criminelle de notre pays disparaît. C’est ce que dénonce aujourd’hui Me Didier Seban, un avocat, spécialiste des affaires non élucidées, qui alerte sur un crash informatique imminent. Sauf intervention en urgence, les vieux serveurs utilisés jusqu’en 2018 dans les tribunaux, qui renferment des milliers de dossiers anciens, ne pourront bientôt plus être exploités. Trop vieux, le matériel va lâcher et tout ce qu’il contient va disparaître. Une véritable aberration, selon l’avocat, alors que l’on célèbre cette semaine les deux ans d’existence d’un pôle dédié à la résolution des «cold cases», ces crimes et disparitions non résolus. D’ici quelques mois, les trois magistrats qui animent cette structure basée à Nanterre (Hauts-de-Seine) seront ainsi privés de toute cette matière essentielle à leurs missions. Avec des millions de PV disparus, ils ne pourront plus faire de l’archéologie judiciaire aussi poussée, et nombre de dossiers resteront à jamais ce qu’ils sont aujourd’hui: des énigmes.
Outre la prédiction de ce scénario catastrophe, Me Seban, lors d’une conférence de presse en début de semaine, a passé au crible divers freins qui empêchent le pôle cold case de prospérer, alors qu’il avait «suscité un véritable espoir» au moment de sa création. Une liste de griefs et de suggestions qui figurent dans un courrier, rédigé le 23 février dernier, adressé au garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti. Sous-dimensionné, selon le pénaliste, et manquant autant de magistrats que de moyens, le pôle prend en charge une centaine de dossiers seulement, quand les affaires non élucidées se comptent par milliers, estime Me Seban. Par ailleurs, cette structure de Nanterre resterait assez opaque, à ses yeux, dans son fonctionnement. Pourquoi des familles, des avocats, qui contactent les trois juges spécialisés pour solliciter leurs services, ne reçoivent-ils jamais de réponses? Quels sont les critères retenus pour que telle affaire soit sélectionnée par le trio de magistrats?

Sur ce dernier point, Me Seban a son idée: «C’est quand il y a un avocat emmerdant, qu’il y a des scellés et que l’affaire est médiatique», croit-il.Pour le spécialiste, diverses mesures seraient à prendre pour faciliter l’action des magistrats. Notamment en ce qui concerne la prescription. La récente décision de la Cour de cassation dans l’affaire Bonfanti, en novembre dernier, fait rejaillir cette problématique. Dans ce dossier de meurtre vieux de trente-sept ans, les juges suprêmes ont indiqué que les aveux du suspect, en 2022, suivis de la découverte d’une partie du corps, ne constituaient pas de nouveaux éléments permettant d’interrompre la prescription. Une position qui avait aussitôt fait réagir l’avocat de la famille de la victime, M Bernard Boulloud. «À quoi sert le pôle cold case de Nanterre, que le ministère de la Justice a créé? À quoi sert le travail des magistrats, des enquêteurs, si c’est pour leur dire à la fin que c’est prescrit?», avait-il interrogé. «Il est indispensable que la loi prévoie expressément que la dissimulation du corps soit une cause d’interruption de la prescription des crimes d’homicide», est-il écrit dans la lettre adressée au garde des Sceaux. Plus largement, ce courrier demande une clarification et une simplification de la procédure de réouverture après non-lieu.

Parmi d’autres propositions, Me Seban suggère la création d’un site internet recensant les affaires non élucidées, pour permettre aux citoyens de déposer des informations. Le risque: se perdre dans une multitude de données extravagantes. Mais, dans le lot, l’avocat en est persuadé: il y aura bien un jour, même tardivement, l’information cruciale qui donnerait lieu à un coup de théâtre judiciaire. Il rappelle que, quinze ans après la disparition d’Estelle Mouzin, survenue en 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne), un homme avait fini par signaler qu’il avait vu Michel Fourniret aux abords de la commune. En 2020, «l’ogre des Ardennes», depuis décédé, avait fini par reconnaître l’enlèvement de la fillette de 9 ans, dont le corps n’a jamais été retrouvé.
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/cold-case-manque-de-moyens-de-magistrats-ces-freins-qui-entravent-l-elucidation-20240307

Bretagne , un ADN sur un épi de maïs piège un tireur dans une tentative de meurtre.
Les enquêtes réservent souvent des surprises. Parfois, c’est l’arme du crime qui est déroutante – cela va de la casserole à la laisse du chien –, parfois c’est la nature des scellés qui étonne. On se souvient de l’imposante pièce à conviction déposée sous le nez des jurés lors du procès d’Omar Raddad : une porte de cave ! Au Cambout (Côtes-d’Armor), les gendarmes ont confondu un suspect grâce à un élément de preuve plus petit, mais hautement improbable, qui aurait pu sortir de l’imagination fertile d’Agatha Christie…
17 août 2021. La chaleur est accablante dans cette petite commune bretonne, ce qui n’empêche pas Georges R., éleveur de porcs à la retraite, d’aider son fils, qui a repris l’exploitation. Il vient débroussailler une parcelle en friche, le long d’un champ de maïs, accompagné de ses petits-enfants. Soudain, deux détonations interrompent le silence. Georges s’écroule, terrassé de douleur, un bras fracassé par une balle… Conduit d’urgence à l’hôpital, le blessé survivra, mais les gendarmes sont perplexes. Qui a tiré ? Et pourquoi ? Vérification faite, en tout cas, nul ne chassait dans le coin ce jour-là. Ce n’était donc pas un accident. En creusant, on finit par découvrir que la femme de Georges R. venait de se séparer de son amant, un certain Gilbert. La rupture d’avec ce retraité de 71 ans rencontré lors d’un cours de danse avait été houleuse… Depuis, Gilbert harcelait son ex et la menaçait de « tout déballer » à son mari. Problème : le suspect nie toute implication dans l’agression contre Georges R. et l’on ne dispose d’aucune preuve contre lui.

Chercher une aiguille dans une botte de foin

Mais les gendarmes ne baissent pas les bras. Tout porte à croire que les coups de feu ont été tirés du champ de maïs. A priori, autant chercher une aiguille dans une botte de foin… Mais grâce à une étude balistique fine, on réussit à localiser exactement l’endroit d’où les tirs sont partis, ce que confirment des tiges cassées et le sol piétiné. La chance et l’obstination vont faire le reste, car on finit par relever un ADN masculin sur un épi de maïs ! Bingo, il s’agit de celui de Gilbert ! Il était temps. Le champ allait très prochainement être moissonnéhttps://www.lenouveaudetective.com/enquetes/le-cambout-un-epi-de-mais-piege-un-tireur-dans-une-affaire-de-tentative-de-meurtre. Durant sa garde à vue, le suspect a reconnu être l’auteur des coups de feu. Mais, selon lui, il voulait « juste faire du bruit » pour impressionner Georges. Et il accuse dans la foulée son ex-maîtresse d’avoir tout fait pour l’« envoyer en prison » ! Le 21 février dernier, Gilbert, qui reste présumé innocent, a demandé à bénéficier d’une remise en liberté provisoire. Demande rejetée. C’est en prison qu’il attendra de comparaître, pour tentative d’assassinat, devant la cour d’assises des Côtes-d’Armor.

Une enquête du Nouveau Détective.

216999ŦLisetoct a écrit:Bretagne , un ADN sur un épi de maïs piège un tireur dans une tentative de meurtre.
...

Bonjour Lisetoct,
Ca me rappelle cette affaire:

Ce moustique qui a résolu un meurtre
https://www.lemonde.fr/passeurdesciences/article/2014/06/09/ce-moustique-qui-a-resolu-un-meurtre_5999066_5470970.html#

217014ŦKassandra88 a écrit:
Ca me rappelle cette affaire:

Ce moustique qui a résolu un meurtre
https://www.lemonde.fr/passeurdesciences/article/2014/06/09/ce-moustique-qui-a-resolu-un-meurtre_5999066_5470970.html#

Moi ça me rappelle Jurassique Park

217014ŦKassandra88 a écrit:

216999ŦLisetoct a écrit:Bretagne , un ADN sur un épi de maïs piège un tireur dans une tentative de meurtre.
...

Bonjour Lisetoct,
Ca me rappelle cette affaire:

Ce moustique qui a résolu un meurtre
https://www.lemonde.fr/passeurdesciences/article/2014/06/09/ce-moustique-qui-a-resolu-un-meurtre_5999066_5470970.html#

Bonjour Kassandra,
Ca m'a rappelé l'affaire Eric Calers (https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Éric_Calers):
si on avait collecté les matériaux qui se trouvaient à l'endroit où le tireur se trouvait , peut-être qu'on aurait pu élucider ce crime.
 Merci pour " ce moustique qui a résolu un meurtre"  
Et surtout bravo pour cette enquête menée par les gendarmes des Cotes-d'Armor qui ont su récolter et tirer profit des preuves disponibles.

Alpes-Maritimes : des analyses ADN confirment l’identité de plongeurs disparus il y a 30 ans

https://www.leparisien.fr/faits-divers/alpes-maritimes-des-analyses-adn-confirment-lidentite-de-plongeurs-disparus-il-y-a-30-ans-04-04-2024-KPJVNLYIRZD77JHMEJ3MEBPBDE.php

Ce n'est pas de la science-fiction : de l'ADN prélevé dans l'air d'une pièce !

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/aujourd-hui-c-est-demain/police-scientifique-des-chercheurs-australiens-parviennent-a-recuperer-de-l-adn-dans-l-air-d-une-climatisation_6438868.html

222030ŦIsild a écrit:Ce n'est pas de la science-fiction : de l'ADN prélevé dans l'air d'une pièce !

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/aujourd-hui-c-est-demain/police-scientifique-des-chercheurs-australiens-parviennent-a-recuperer-de-l-adn-dans-l-air-d-une-climatisation_6438868.html

Merci Isild

222035ŦKassandra88 a écrit:

222030ŦIsild a écrit:Ce n'est pas de la science-fiction : de l'ADN prélevé dans l'air d'une pièce !

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/aujourd-hui-c-est-demain/police-scientifique-des-chercheurs-australiens-parviennent-a-recuperer-de-l-adn-dans-l-air-d-une-climatisation_6438868.html

 Merci Isild

Merci Isild . Est-ce dû à cet aspirateur à ADN ?https://www.m-vac.com
C'est en tout cas la preuve que la recherche scientifique progresse à grand pas.

Police: une nouvelle technique d'analyse des traces sanguines

Quand ils sont appelés sur une scène de crime, les policiers sont souvent confrontés à des taches de sang, dont l'analyse peut prendre du temps. Mais une nouvelle technique, présentée par la police fédérale et la KUL, va permettre d'accélérer et de faciliter l'analyse des scènes de crime.
https://www.rtl.be/page-videos/belgique/societe/police-une-nouvelle-technique-danalyse-des-traces-sanguines/2024-04-09/video/656852

Ici, il ne s'agit pas d'ADN mais d'aveux juste avant de trépasser.

Le meurtre d’un laitier en Floride élucidé 56 ans après sa disparition
https://www.leparisien.fr/faits-divers/le-meurtre-dun-laitier-en-floride-elucide-56-ans-apres-sa-disparition-15-04-2024-YGLS3IV2BRFUDH2M7K4N472LM4.php

New York , USA. L'enquête  sur  l'affaire "Midtown Jane Doe" progresse après que l'ADN a identifié la mère d'une adolescente assassinée il y a plus de 50 ans.
  Les autorités ont finalement identifié les restes d’une adolescente de New York baptisée "Midtown Jane Doe", après que son meurtre macabre a donné lieu à une enquête sur une affaire de longue date. Une découverte récente due à la criminalistique avancée a lié son ADN à la mère d’une femme tuée le 11 septembre 2001.


Jane Doe a été identifiée comme Patricia Kathleen McGlone, qui n’avait que 16 ans au moment de sa mort et qui avait  vécu  dans le quartier de Sunset Park à Brooklyn . Les enquêteurs pensent qu’elle a été assassinée au cours de la seconde moitié de 1969, ou, potentiellement, à un moment donné au début de 1970, a déclaré l’inspecteur Ryan Glas du département de police de New York. Glas travaille sur ce cas depuis deux ans.
   L’affaire a suscité une première vague d’horreur  en 2003, lorsque des ouvriers du bâtiment ont découvert des restes humains enterrés sous un bâtiment de Manhattan qui était en train d’être démoli. En février de cette année-là, alors que les ouvriers brisaient le plancher du bâtiment pour le préparer à la démolition, un crâne s’est détaché sous le béton. Une recherche a révélé le squelette d’une jeune femme qui avait été attachée en position fœtale avec un cordon électrique. Son corps avait été enveloppé dans un tapis et enveloppé dans du béton. Le médecin légiste a déterminé qu’elle était morte par strangulation.Il y avait une chevalière en or avec les initiales "PMCG" trouvées sur l’un des doigts de la victime, et enterrées avec elle était une pièce de 10 cents frappée en 1969 et un soldat jouet en plastique vert, mais il y avait peu d’autres indices sur qui elle était ou ce qui pourrait être arrivé. La victime a été surnommée "Midtown Jane Doe" en raison de l’emplacement du bâtiment où elle a été trouvée, dans le quartier Hell's Kitchen de New York. Entre 1964 et 1969, le bâtiment était une discothèque populaire appelée Steve Paul’s The Scene, qui s’est fait un nom en tant que lieu de spectacle de rock-and-roll où des groupes comme The Doors et Jimi Hendrix ont joué.
Les détectives ont d’abord appris que Jane Doe était née en avril 1953, mais parce que les deux parents étaient morts et qu’elle n’avait pas de frères et sœurs, trouver un échantillon d’ADN qui pourrait définitivement prouver que la victime était en fait Patricia McGlone, l’enfant de ces deux personnes, n’était pas un processus simple. Les experts en génétique ont déclaré que l’ADN d’une cousine maternelle spécifique confirmerait l’identité de Jane Doe, et après avoir mené une série d’entretiens avec des parents potentiels à travers les États-Unis et couvrant plusieurs générations, Glas a pu le trouver.

Bien que le cousin soit déjà mort, son fils a dit à Glas qu’il se souvenait que sa mère avait soumis un échantillon d’ADN au médecin légiste de New York après la mort de sa sœur le 9/11. Des proches de personnes disparues ont soumis leur ADN pour aider à identifier des victimes inconnues à la suite des attaques. Glas a récupéré les informations génétiques du cousin dans le bureau du médecin légiste et, plus tôt ce mois-ci, a confirmé que les restes de "Midtown Jane Doe" appartenaient à McGlone.
Les inspecteurs de la police de New York ont rouvert l’affaire pour examen en 2017. Ils ont appliqué des tests modernes aux preuves médico-légales recueillies à l’origine sur la scène du crime et l’ADN prélevé sur les restes de la victime pour finalement développer ce que Glas a appelé "un profil génétique approprié." Le profil a ensuite été lié à des parents potentiels en utilisant la généalogie génétique d’investigation.
Les enquêteurs ont déterminé que McGlone avait été inscrite dans une école catholique et un collège public à Sunset Park, mais que son taux de fréquentation scolaire s’était réduit en 1968 et 1969, a déclaré Glas, qui l’a décrite comme "une fugueuse récidiviste" dans la période précédant sa mort. McGlone s’était mariée à cette époque et n’était plus en contact avec sa famille, a déclaré Glas, ajoutant que la police n’avait pas trouvé de rapport signalant sa disparition .
Une enquête criminelle est en cours pour en savoir plus sur les circonstances entourant la mort de McGlone. La police n’a pas nommé de suspects potentiels, mais Glas a déclaré que son ancien mari était lié au bâtiment où ses restes ont été trouvés. Son équipe demande à quiconque connaissait McGlone, sa famille ou la zone autour de la scène de Steve Paul au moment de son meurtre de contacter le service de police.
https://www.cbsnews.com/news/patricia-mcglone-midtown-jane-doe-murder-victim-identified-cold-case-dna-911-victim-nypd/