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Les tueurs en série étrangers

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Message par Invité 21.07.20 15:03

Kassandra88 a écrit:
Je ne connaissais pas cette affaire.
Je retiens quand même: cinq hommes sont même accusés de ses meurtres, dont Heinrich Ott, l’ami de Klara Freida, qui se pendra dans sa cellule.
Comme quoi un suicide en prison ne peut pas être systématiquement associé à un aveu.
-
Faut être un lâche quand même.

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Message par Kassandra88 21.07.20 15:25

Pusher83 a écrit:
Kassandra88 a écrit:
Je ne connaissais pas cette affaire.
Je retiens quand même: cinq hommes sont même accusés de ses meurtres, dont Heinrich Ott, l’ami de Klara Freida, qui se pendra dans sa cellule.
Comme quoi un suicide en prison ne peut pas être systématiquement associé à un aveu.
-
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Perdre son amie, se retrouver en prison, on serait déprimé pour moins que cela!
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Message par Invité 21.07.20 15:32

Kassandra88 a écrit:
Pusher83 a écrit:
Kassandra88 a écrit:
Je ne connaissais pas cette affaire.
Je retiens quand même: cinq hommes sont même accusés de ses meurtres, dont Heinrich Ott, l’ami de Klara Freida, qui se pendra dans sa cellule.
Comme quoi un suicide en prison ne peut pas être systématiquement associé à un aveu.
-
Faut être un lâche quand même.

Perdre son amie, se retrouver en prison, on serait déprimé pour moins que cela!
-
Je parlais pour des pédophiles..Evil or Very Mad
Pour le reste je suis d'accord.

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Message par Invité 31.07.20 19:47

Un tueur en série en fuite, impliqué dans plus de 50 affaires de meurtre, a été arrêté
-
Un tueur en série indien en fuite, qui est impliqué dans plus de 50 affaires de meurtre, a été arrêté par la police mercredi, rapporte CNN. L’homme était en fuite depuis plusieurs mois, n’étant pas retourné en prison après une brève libération.
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Message par Manneke 02.08.20 23:43

"Après une brève libération", il a au minimum 50 affaires de meurtres où il est impliqué Laughing
L'inde est encore plus laxiste que la Belgique.

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Message par Invité 04.08.20 11:13

Manneke a écrit:
"Après une brève libération", il a au minimum 50 affaires de meurtres où il est impliqué Laughing
L'inde est encore plus laxiste que la Belgique.
-
Ce n'est pas mieux en France !

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Message par Invité 05.08.20 18:47

Le pire tueur en série de Russie regrette de ne pas avoir été exécuté.
-
Mikhail Popkov, «Le Loup-garou», est emprisonné à perpétuité dans un camp de travail depuis 2015. Il a reconnu avoir tué (et très souvent violé) plus de 80 femmes et un homme, devenant le pire tueur en série de Russie.
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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty The Golden State killer

Message par Kassandra88 22.08.20 13:53

Joseph DeAngelo surnommé "le tueur du Golden State", coupable de 13 meurtres et de dizaines de viols, a demandé pardon à ses victimes vendredi devant la justice.
Le "tueur du Golden State", un ancien policier qui a terrorisé la Californie dans les années 1970 et 1980, a été condamné vendredi à plusieurs peines de prison à vie.

"Le tueur du Golden State" a commis cette série de crimes entre 1975 et 1986, violant une cinquantaine de femmes et tuant ou brutalisant plus d'une centaine de personnes au total. L'âge de ses victimes allait de 14 à 41 ans.
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C'est grâce à la généalogie génétique qu'il a été débusqué:
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Aux USA, on ne badine pas avec les condamnations, pas comme en Belgique Evil or Very Mad
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Message par Kassandra88 03.09.20 0:15

L'heure du crime revient sur le Golden State Killer:
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Message par Kassandra88 15.09.20 18:15

HS car il n'aurait tué qu'une seule personne, sa mère.

Le terrible fait divers Belge, celui du cannibale de Malines, a fait le tour du monde.
Suis très étonnée. Jamais entendu parler de cette affaire.
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Message par Kassandra88 07.10.20 0:05

Canada : l'autoroute des larmes
PODCAST - Entre 1969 et 2011, des dizaines de femmes ont disparu ou ont été retrouvées mortes sur la route 16 au Canada. La plus jeune victime avait 12 ans.

Le 26 octobre 1969, le corps de la première victime du dossier de l'Autoroute des larmes est retrouvée. Gloria Moody, 26 ans, est retrouvé le long de l'autoroute 16 en Colombie Britannique (Canada). Elle a été violée et battue à mort. L'assassin de la jeune femme n'a jamais été retrouvé.

Un an plus tard, quatre auto-stoppeuses âgées de 18 à 14 ans, vont être retrouvées mortes. A cette époque, l'ADN ne permet pas de faire des rapprochements et la route 16 en Colombie-Britannique fait 724 kilomètres de long. La plupart des victimes sont des autochtones. En 1978, la plus jeune victime de l'autoroute des larmes disparaît à l'âge de 12 ans. Son corps est retrouvé 17 ans plus tard.

Au total, les autorités recensent 19 victimes. En réalité, les peuples autochtones affirment qu'il y en a au moins une quarantaine. L’autoroute des larmes au Canada a-t-elle abritée un tueur en série ou plusieurs tueurs qui se sont succédé pendant près de 40 ans ?

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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty Gary Ridgway

Message par Kassandra88 17.11.20 0:13

États-Unis : le tueur en série de la Green River, le meurtrier aux 50 victimes
PODCAST - Gary Ridgway a tué et violé au moins 49 femmes entre 1982 et 2001. Il est l'un des pires tueurs en série de l'histoire des Etats-Unis.


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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty Peter Sutcliffe

Message par Kassandra88 19.11.20 0:11

L'éventreur du Yorkshire, l'insaisissable tueur de femmes.

PODCAST - Peter Sutcliffe est l'un des pires tueurs en série que l'Angleterre a connu. Il a sauvagement tué et agressé environ 20 femmes.
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Le coronavirus a eu raison de lui:
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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty L’étrangleur à la ceinture

Message par Kassandra88 20.12.20 0:54

Belgique

Sa méthode: une ceinture pour étrangler ses victimes.

Fabien Lombaerts, surnommé "l’étrangleur à la ceinture"
est soupçonné d'avoir tué 4 personnes alors qu’il avait déjà été condamné à 18 ans de prison pour le meurtre d'une personne âgée.  La justice le soupçonne d'avoir commis encore plus de meurtres que ceux pour lesquels il est inquiété. Pour les experts, il s’agit de l’un des tueurs en série belge qui a le plus de victimes à son actif.

Lors des faits, le meurtrier présumé était accompagné d’un complice qui l’aidait par exemple à déplacer les victimes, ou qui le suivait pour voir si les dépouilles étaient toujours présentes. Un rituel que l’on retrouve chez plusieurs tueurs en série.

"Il tue sans mobile apparent, probablement pour le plaisir de la toute puissance au moment du meurtre. Il tue aussi selon un modus operandi qui est toujours le même. Il étrangle ses victimes avec sa ceinture avec ensuite un rituel de déshabillement", explique Henri Laquay, avocat pénaliste – spécialiste en droit pénal reconnu par le conseil de l’Ordre.

D’après son complice, le nombre de victimes pourraient s’élever à 8, mais les enquêteurs n’en ont pour l’instant trouvé que 4, uniquement des hommes précarisés. L’enquête est toujours en cours.

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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty Samuel Little

Message par Kassandra88 31.12.20 9:11

31.12.2020
Kassandra88 a écrit:Etats-Unis : le pire tueur en série de l’histoire US a avoué 93 meurtres

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La police juge les aveux de Samuel Little crédibles et a mis en ligne ses confessions filmées, où il raconte les meurtres pour lesquels les victimes n’ont pas encore été identifiées.

Le FBI cherche à identifier par tous les moyens les victimes de Samuel Little, 79 ans, pire tueur en série de l'histoire américaine, qui a avoué, à ce jour, avoir assassiné 93 personnes.

Après la diffusion au début de l'année des portraits de plusieurs des victimes, dessinées de la main même de Samuel Little, la police met en ligne un site sur les aveux du tueur en série.



Si, pour l'heure, les enquêteurs fédéraux ont confirmé 50 de ces meurtres, ils jugent crédibles les confessions filmées du tueur qui raconte en détail des faits pour lesquels les victimes n'ont pas encore été identifiées. Face à chaque vidéo, le FBI livre le portrait de la victime présumée dessiné par Samuel Little lors de son incarcération.

« Beaucoup de ces décès avaient été initialement classés comme des overdoses ou des morts accidentelles ou sans cause déterminée. Certains corps n'ont jamais été retrouvés », précise encore le FBI sur le site internet en question.
Un terrifiant périple entre 1970 et 2005

La plupart des victimes de Little, qui a agi entre les années 1970 et 2005, sont des femmes. Il purge une peine de prison à vie depuis 2014, après avoir été reconnu coupable de trois meurtres et condamné. Mais son bilan est sans conteste beaucoup plus terrible.

« Pendant des années, Samuel Little a cru ne pas pouvoir être attrapé parce qu'il pensait que personne ne se souciait de ses victimes », explique Christie Palazzolo, analyste criminelle du FBI. « Même s'il est déjà en prison, le FBI estime qu'il est important de faire justice pour chacune des victimes, de clore tous les cas possibles ».
Un portrait non daté du tueur en série diffusé par les services du Shérif du comté d'Ectic./AFP

Cet ancien boxeur, également connu sous l'identité de Samuel McDowell, avait été arrêté pour la première fois en 2012 dans un centre pour sans-abris du Kentucky. Il avait été extradé vers la Californie dans le cadre d'une affaire de drogue.

Une fois là-bas, des traces d'ADN ont permis aux autorités de faire le rapprochement avec trois affaires non résolues, ces fameux « cold cases », qui ont permis de le condamner en 2014 pour les meurtres de trois femmes à Los Angeles entre 1987 et 1989. Toutes trois avaient été battues et étranglées.


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Qualifié par la police fédérale américaine de pire tueur en série de l'histoire des États-Unis, Samuel Little, qui a avoué 93 meurtres, est mort mercredi 30 décembre à l'âge de 80 ans, a annoncé l'administration pénitentiaire de Californie. La cause de sa mort doit être officiellement déterminée lors d'une autopsie qui sera pratiquée dans le comté de Los Angeles, où il était incarcéré depuis fin 2014.

Samuel Little également connu sous l'identité de Samuel McDowell purgeait une peine de prison à perpétuité depuis 2014, quand il a été reconnu coupable et condamné pour le meurtre de trois femmes, mais en a revendiqué depuis lors des dizaines d'autres entre 1970 et 2005, dans une quinzaine d'États américains, dont la plupart étaient passés inaperçus.

Beaucoup de ces décès avaient été initialement classés comme des overdoses ou des morts accidentelles ou sans cause déterminée. Certains corps n'ont jamais été retrouvés »

Le FBI
La police pense que tous les aveux de Little sont crédibles, et a mis en ligne un site sur lequel on peut voir les confessions filmées du tueur qui raconte, de manière très précise et parfois avec le sourire, les meurtres pour lesquels les victimes n'ont pas encore été identifiées. Des portraits dessinés de mémoire par le criminel ont également été diffusés pour tenter de retrouver ses victimes.


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Les tueurs en série étrangers - Page 2 Empty Re: Les tueurs en série étrangers

Message par Invité 31.12.20 19:59

Pas une grande perte..
80 piges + diabétique .. il a bien vécu l'enflure.

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Message par Invité 20.03.21 13:39

L’affaire du «Golden State Killer» ou la traque hors norme d’un tueur en série
LE PARISIEN WEEK-END. Il aura fallu plus de 40 ans pour résoudre ce cold case. Arrêté en 2018, Joseph DeAngelo, ex-policier de la région de Sacramento, a été condamné à la prison à vie après 50 viols et 13 meurtres perpétrés dans les années 1970 et 1980.
-
L'inspecteur Holes se gare face au numéro 8316 de Canyon Oak Drive, quartier de Citrus Heights. Moteur éteint. Ses yeux ne lâchent pas le pavillon beige, son garage, sa pelouse impeccable. Il y en a des dizaines semblables dans cette banlieue de Sacramento, dans le nord de la Californie. Nous sommes le 26 mars 2018. Demain, l'inspecteur devra rendre son badge, son insigne et son arme. La retraite. Rien ne bouge dans la maison. Et s'il sonnait à la porte? « Bonjour. Paul Holes, police de Sacramento! Je travaille sur une vieille affaire, c'est pour des vérifications, la routine. Je peux entrer? » s'imagine-t-il. N'importe quoi! Quelle est la probabilité que cette adresse soit celle de l'homme qu'il poursuit depuis le début de sa carrière, l'un des tueurs en série les plus recherchés des Etats-Unis, le « Golden State Killer ». L'inspecteur redémarre. L'enquête n'est plus à un jour près. Elle dure depuis quarante-deux ans.
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E. A. R. Trois initiales tamponnées à l'encre rouge sur une pile de classeurs poussiéreux. En 1994, le jeune Paul Holes, expert de la police scientifique, rejoint le service d'enquête criminelle du comté de Contra Costa (Californie). Il se plonge dans une affaire non résolue dont les archives courent sur les années 1976 à 1979. E. A. R., pour East Area Rapist, « Le violeur de la région Est », lui explique son chef. Rapports d'enquêtes, interrogatoires, photos… Des milliers de pages. Des crimes prescrits depuis longtemps, un cold case. Bizarrement, les dossiers ne portent pas de noms, mais des numéros. « Victime n° 1 », « Victime n° 2 », « Victime n° 3 », « Victime n° 4 »… Cinquante fois. Bientôt, Holes en connaîtra chaque ligne, chaque nom et chaque histoire.
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Un masque de ski et un couteau de boucher
« Chéri, c'est toi ? » demande Jane Carson. Dix minutes plus tôt, son mari a claqué la porte du pavillon de Citrus Heights, et son fils de 3 ans l'a rejointe dans le grand lit. Puis elle s'est rendormie. Elle se redresse, elle a entendu un bruit. Il est 6h45, mardi 5 octobre 1976. La suite, c'est le faisceau d'une lampe torche qui l'aveugle, un homme au pied du lit. Il porte un masque de ski et un couteau de boucher. Il parle sans desserrer les dents : « Tu la fermes ou je vous tue ! » Avant le viol, mère et fils ont été ligotés, bâillonnés et séparés. Pendant le viol, le couteau pressé sur la gorge et les yeux bandés, Jane n'a pensé qu'à une chose, son enfant. Après le viol, l'homme a reposé le petit sain et sauf à côté d'elle, et il a disparu. Au bout d'un long moment, Jane a libéré ses liens, attrapé son fils et couru dans la rue. Puis elle a hurlé.
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L'enquêtrice Carol Daly arrive la première sur les lieux. Depuis le mois de juin, quatre autres femmes ont été attaquées chez elles. Jane Carson devient la victime n° 5, « c'est le moment où l'on comprend qu'on a affaire à un violeur en série », expliquera Daly. La police choisit de ne pas communiquer, « pour ne pas faire peur à la population ». Quatre jours plus tard, nouvelle attaque. Lorsque The Sacramento Bee, le quotidien local, publie un premier article au mois de novembre, il titre : « A la recherche d'un homme suspecté de huit viols. » Le shérif offre une récompense de 2500 dollars à toute personne qui détiendrait des informations.
-
« Attaque à Fair Oaks, Ladera Way. Victime ligotée, code 261. » La nuit, à bord des voitures de patrouille, c'est l'angoisse de l'appel radio. Et 261, c'est le code pour viol. A partir de l'automne 1976, la police en reçoit deux par mois. Minimum. Le département criminel de Sacramento a mis sur pied une équipe consacrée à l'affaire. Carol Daly en est la cheville ouvrière. A une époque où le viol est considéré comme un délit mineur en Californie, passible de six mois de prison au plus, la seule femme de l'équipe force le respect. Par son empathie à l'égard des victimes, qu'elle accompagne en personne à l'hôpital. Par ses recommandations aux médecins qui permettent de standardiser les tout récents « kits de viol » pour effectuer des prélèvements sur les victimes. Par son art de recueillir les dépositions sans brusquer, avec leurs détails atrocement intimes, mais terriblement nécessaires.
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Le 8 mars 1977, The Sacramento Bee observe que « le violeur n'a jamais attaqué une maison où se trouve un homme ». C'est chose faite le 2 avril, avec la 17e agression. Pour la première fois, E. A. R. s'en prend à un couple. Il rode sa méthode. Sous la menace d'une arme, la femme doit ligoter son mari. Ce dernier se retrouve alors allongé sur le ventre, pieds et mains attachés. Pour le maintenir immobile, le criminel lui pose des assiettes sur le dos. « Si j'entends le moindre bruit, je tue ta femme et après, je te tue. » L'épouse est traînée dans le salon puis violée, plusieurs fois. Toujours le même scénario, à peu de chose près. Parfois, les victimes le croient parti, mais il est tapi dans l'ombre. Parfois, elles croient l'entendre pleurer, ou était-ce un rire ? Parfois, il s'installe dans la cuisine pour boire une bière ou finir la tarte aux pommes. Souvent, il fouille et emporte des petits riens, des souvenirs, des photos, tout l'or du monde aux yeux de ses victimes.
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Comme s'il vivait là...
« Un terroriste, au sens propre », il n'y a pas d'autre mot à en croire Larry Crompton, criminologue affecté à partir de 1978 à la recherche d'E. A. R. Les investigations ont démontré que le prédateur prépare soigneusement son crime. Il y a les séries de coups de fil « raccrochés » les jours qui précèdent. La porte que les victimes étaient sûres d'avoir fermée, retrouvée ouverte. Celles-ci sont tétanisées quand l'intrus soulève les coussins du canapé du salon où elles viennent de passer la soirée. Dessous, les liens avec lesquels elles seront entravées y ont été dissimulés. Ou quand elles comprennent que leur arme à feu a été vidée de ses munitions. L'homme se déplace dans l'obscurité comme s'il était chez lui. « La peur qu'il y avait chez les victimes… On n'avait jamais eu affaire à quelqu'un comme ça », témoigne l'inspecteur Crompton dans son livre « Sudden Terror », relatant l'affaire trente ans après. Dehors aussi, E. A. R. connaît le terrain comme sa poche. Où se cacher, par où s'échapper. Comme s'il vivait là.
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Ce que ne racontent pas les rapports de police, c'est l'atmosphère de fin du monde qui règne à Sacramento. Les agressions ont lieu dans les résidences pavillonnaires où vit la classe moyenne. C'est la grande époque des baies vitrées, il fait beau toute l'année en Californie. On dort la fenêtre ouverte. « Personne ne verrouillait sa porte, les enfants allaient à l'école à vélo, raconte Anne Marie Schubert, l'actuelle procureure de la ville, petite fille à l'époque. C'était le temps de l'innocence. » Mais depuis l'été 1976, tout a changé. On ne trouve plus un verrou dans les magasins. Les armes et les alarmes sont en rupture de stock, les femmes prennent des cours d'autodéfense. A la télévision, une dame confie « dormir avec le couteau de son mari sous l'oreiller ».
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« La question n'était pas de savoir s'il allait venir, soupire Anne Marie Schubert, mais quand. Les gens l'appelaient le croque-mitaine. » La jeune Margaret Wardlow collectionne les coupures de journaux sur l'affaire. Quand, dans la nuit du 10 novembre 1977, des bruits la sortent du sommeil, elle sait : « Je l'ai entendu déposer des assiettes sur le dos de ma mère, j'ai compris qu'il arrivait. Et je me suis dit : Tu vas être violée mais ça ira quand même. » Margaret avait 13 ans.
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Soudain, le cauchemar s'arrête
Courant 1978, l'homme se déplace vers le sud et l'ouest de Sacramento. Larry Crompton auditionne des dizaines de suspects, poursuit des centaines de pistes. Hélicoptères, barrages routiers, hypnotiseurs, voyantes, tout y passe. Le shérif a déjà dépensé plus d'un million de dollars. Nombre d'enquêteurs suggèrent que l'homme pourrait être un vétéran de la guerre du Viêt Nam. Ou un policier ? « On ne bouge plus ! » a-t-il hurlé à une victime en pointant son arme sur elle. Les rares témoins à l'avoir aperçu avant qu'il n'enfile son masque de ski ont permis d'établir un portrait-robot : celui d'un homme entre 20 et 30 ans. Blond, athlétique, il mesure environ 1,75 m. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
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La nuit du 25 juin 1979, Mary Berwert est attaquée dans son lit tandis que ses parents dorment. Elle a 13 ans. C'est la dernière victime d'une série qui a commencé trois ans plus tôt. Et puis le cauchemar s'arrête. Le criminel s'est-il évaporé, est-il mort, en prison ? Ce qu'il est advenu de lui, les autorités ne veulent pas le savoir. Elles s'empressent de tourner la page après 50 viols. Bientôt, l'affaire sera rangée, une boîte de plus dans l'armoire des cold cases.
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« Ils disaient ce n'est plus notre problème », se lamente Larry Crompton. Le policier s'en est beaucoup voulu, s'est estimé « pas assez compétent pour l'attraper ». Ensuite, il a tenu le coup grâce à la rancune. Crompton a toujours prédit ce qui allait se passer, et il croit savoir où le prédateur est parti. Mais personne ne veut l'écouter.
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En 2001, un énorme rebondissement
Jusqu'en 1997. Le téléphone sonne chez Larry Crompton. Au bout du fil, un certain Paul Holes. Grâce aux progrès de la police scientifique, l'inspecteur est parvenu à établir un profil ADN à partir des kits de viol. Il poursuit son enquête et contacte ses prédécesseurs. Crompton lui raconte que, trois mois après la disparition de E. A. R., une série de meurtres a commencé dans la région de Santa Barbara, à 600 kilomètres de Sacramento. « Paul, j'ai une intuition. Va voir là-bas. » Avant de raccrocher, Larry lui souhaite « bonne chance ». Il attendait ça depuis vingt ans.
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Six expéditions, dix meurtres. De décembre 1979 à mai 1986, le « rôdeur de la nuit », Original Night Stalker, a massacré quatre couples et deux femmes seules dans le sud de la Californie. Il y a des ressemblances troublantes avec les crimes d'E. A. R. Les victimes attachées avec le même type de lacets, les viols, les empreintes de chaussures de la même taille, 43. La différence, c'est que cette fois, il n'y a pas de survivants.
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Paul Holes analyse les prélèvements effectués sur les victimes. En 2001, dans son laboratoire, il est en possession des deux profils ADN. D'un côté, celui du violeur de Sacramento, de l'autre, celui du tueur de Santa Barbara. C'est le même ! « La première avancée de l'enquête. C'était énorme », se rappelle Paul Holes. Ce rebondissement a deux conséquences : ­la première, c'est que les meurtres, contrairement aux viols, ne sont pas touchés par la prescription. La seconde, c'est que deux jours plus tard, le téléphone sonne chez l'une des victimes du violeur en série : « Tu te souviens quand on s'amusait tous les deux ? » Vingt-quatre ans après les faits, il est donc toujours vivant !
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Une journaliste fascinée par les cold cases
Pour son premier rendez-vous avec Michelle McNamara, l'inspecteur Holes est venu à reculons, réticent à parler aux journalistes. « Je me méfiais terriblement », explique-t-il. En même temps, il n'a pas grand-chose à perdre. Après le coup de théâtre de 2001, Holes a transmis le dossier au service d'enquête criminelle, chargé des meurtres. Et depuis, il attend. Dix ans. Dix ans que rien ne se passe. Michelle McNamara s'assied en face de lui. La première conversation dure six heures.
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Fascinée par les cold cases, McNamara, scénariste pour la télévision, a créé le blog True Crime Diary, en 2006. Suivie par une communauté fidèle et informée, elle y sort des oubliettes de vieilles affaires. Et fait appel aux citizen detectives (enquêteurs citoyens), des mordus de faits divers qui mènent l'enquête avec elle. Depuis qu'elle est tombée sur « l'affaire », elle est devenue monomaniaque et veut tout savoir. « Ce qui m'attirait, expliquera-t-elle, c'est que les crimes semblaient pouvoir être résolus. L'agresseur a laissé tellement d'indices, et il y a tant de victimes. »
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Elle écrit une quinzaine de pages qui se lisent comme un polar et racontent l'effet dévastateur des crimes en série sur les victimes, sur les enquêteurs et sur la blogueuse elle-même. « Dans les pas d'un tueur » est publié en février 2013 dans le mensuel Los Angeles Magazine. Signé Michelle McNamara, cet article fleuve fait connaître au grand public les événements qui ont traumatisé la Californie pendant dix ans et rebaptise le coupable d'un nom qui claque : le « Golden State Killer ».
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Quand Paul Holes reçoit la publication, il se retient de respirer. Puis… soulagement. McNamara n'a rien divulgué qui ne devait pas l'être. « A partir de là, confie-t-il, c'est comme si elle était devenue mon adjointe, on a travaillé main dans la main. » L'article rencontre un tel succès que Michelle est contactée par un éditeur et s'attelle à l'écriture d'un livre. Une passion dévorante, bientôt une obsession. Elle ne veut pas seulement raconter l'affaire, mais la résoudre : « Chercher un tueur non identifié, c'est comme secouer la poignée d'une porte qu'on n'ouvrira jamais. »
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McNamara se noie dans ce dossier. Les photos des scènes de crime la hantent : « Il y a un cri permanent logé dans ma gorge », écrit-elle. Jour et nuit, elle relit les dépositions, recherche un détail négligé, traque quiconque ressemble au portrait-robot. Elle tient le coup grâce aux anxiolytiques, aux somnifères et à l'alcool. Le matin du 21 avril 2016, son mari, Patton Oswald, un célèbre humoriste américain, dépose une tasse de café sur sa table de chevet. Michelle McNamara dort encore. Elle ne se réveillera pas. Selon l'autopsie, la journaliste aurait fait une overdose de médicaments et souffrait probablement d'une faiblesse cardiaque. Elle avait 46 ans et était mère d'une petite fille.
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La généalogie génétique au secours de l'enquête
Deux mois plus tard, le FBI organise une conférence de presse et lance un avis de recherche. Jusqu'à 50 000 dollars de récompense sont promis pour toute information qui mènerait à l'identification du Golden State Killer. Pour Paul Holes, dévasté par la disparition de sa « partenaire d'enquête », « la décision de l'agence de s'impliquer est la conséquence directe du travail de Michelle McNamara pour relancer l'affaire ».
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Ce n'est pas un témoin qui va parler, mais la science. A l'automne 2017, l'équipe de Paul Holes s'est créé un profil bidon sur GEDmatch.com, un site qui permet de retrouver des membres de sa famille en y déposant son ADN. Barbara Rae-Venter y télécharge celui du tueur en série. Recrutée par Holes, cette experte en généalogie génétique veut utiliser la méthode révolutionnaire qui lui a permis de résoudre un cold case, trois ans plus tôt. Son pari, c'est que sur le million de fiches génétiques mises en ligne sur le site, se trouvent des personnes qui partagent des segments d'ADN avec le Golden State Killer. Et c'est le cas ! « Des cousins tellement éloignés, explique Paul Holes, que l'ancêtre qu'ils ont en commun remonte à 1840. »
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Il faut maintenant recréer des arbres généalogiques à l'envers. Partir de l'ancêtre et redescendre de génération en génération pour aboutir aux descendants les plus récents. Au total, 25 arbres généalogiques, dont certains comptent jusqu'à 1000 personnes. Cela prend des mois. Seuls les hommes dans la tranche d'âge 65-75 ans, mesurant 1,75 m et ayant résidé en Californie à l'époque des crimes figurent sur la liste finale. Ils sont six. Parmi eux, Joseph DeAngelo. Un nom parmi d'autres. « Juste un nom », se répète Paul Holes.
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Début 2018, la vie de l'inspecteur est réglée sur un compte à rebours. Le temps presse. Si le tueur est toujours en vie, il doit commencer à se faire vieux. Et l'inspecteur lui, quitte la police fin mars. Quand il découvre une photo de jeunesse de DeAngelo, Holes reste interdit. C'est un homme en uniforme de police. « Un flic ? Impossible ! » Puis il tombe sur un article de juillet 1979, publié dans le journal local d'Auburn, au nord de Sacramento : Joseph DeAngelo a été renvoyé de la police pour avoir volé un marteau et du répulsif pour chien.
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Un dernier coup de fil
L'inspecteur se repasse le film. Depuis ses premiers pas dans le métier, il y a vingt-quatre ans, il poursuit le tueur. Les impasses, les pistes qui ne mènent nulle part, les suspects qui n'en sont plus, les déceptions, les fausses joies… Quand l'ADN n'était « jamais » le bon, quand Michelle et lui tournaient en rond. La fois où, de dépit, il s'est fâché contre le laboratoire qu'il accusait de s'être trompé. « On n'a fait que ça, se tromper », se dit-il. Alors, à force de leçons d'humilité, l'inspecteur n'est plus si sûr de vouloir connaître la fin de l'histoire.
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Le 22 mars 2018, il téléphone à Nick Willick, l'ancien chef de la police d'Auburn, celui-là même qui a licencié DeAngelo, trente-neuf ans plus tôt. Holes ne lui explique pas la raison de son appel, il écoute Willick parler. « Quelques jours après l'avoir mis dehors, je suis chez moi, raconte l'ancien policier. Je dors, quand ma fille vient dans ma chambre pour me dire : Papa, il y a un homme derrière la fenêtre et il braque une lumière sur moi ! » Nick Willick est « certain » d'avoir reconnu DeAngelo.
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Le 26 mars, c'est un Paul Holes dans un état second qui se gare, en planque, devant chez Joseph DeAngelo. Le 27, l'inspecteur prend officiellement sa retraite. Mais il reste informé en temps réel. DeAngelo a été placé sous surveillance par le FBI. Le 23 avril 2018, un mouchoir en papier usagé lui appartenant est subtilisé dans ses poubelles du 8316, Canyon Oak Drive. Pour comparer son ADN à celui du tueur et violeur en série, le laboratoire de police criminelle va travailler toute la nuit. Le résultat tombe le lendemain matin : il est 100 % identique. Joseph DeAngelo est le Golden State Killer !
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«J'ai un rôti au four»
Ce 24 avril 2018, en fin de journée, Paul Holes est de retour dans la salle d'opération du département criminel. Tous les enquêteurs sont réunis. Personne ne bouge ni ne parle, tous suspendus à une liaison radio. En direct, ils suivent le déploiement de l'unité d'intervention dirigée par le FBI. Des tireurs d'élite encerclent le pavillon, le quartier a été bouclé. A 18 heures, Holes cesse de respirer jusqu'à ce qu'il entende ces mots, tant attendus : « Suspect in custody », « suspect arrêté ». La salle bondit comme un seul homme dans une explosion de cris de joie, d'effusions. Il y a des larmes de triomphe et de soulagement. Et pour l'inspecteur lui-même, un sentiment doux-amer. Le tueur a toujours vécu parmi eux.
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Michelle McNamara l'avait prédit : « Le tueur, ce sera Monsieur Tout-le-Monde. » Il est ancien policier, mécanicien à la retraite de 72 ans, père et grand-père. Les seules paroles prononcées ce jour-là par Joseph DeAngelo détonnent par leur trivialité : « J'ai un rôti au four. » Lors des perquisitions, les enquêteurs découvrent un fusil dans la cuisine.
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Le lendemain, Anne Marie Schubert, procureure de Sacramento, annonce publiquement le dénouement de l'affaire lors d'une conférence de presse, à côté d'une photo plus grande qu'elle. Une image jamais vue, celle du visage du Golden State Killer. « Nous avons trouvé l'aiguille dans la botte de foin ! »
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Pour éviter la peine de mort, DeAngelo a plaidé coupable et reconnu les faits. Au total, 13 meurtres – dont trois antérieurs à ceux de Santa Barbara –, 50 viols, des centaines de cambriolages. Il a été condamné à la prison à vie le 21 août 2020.
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Message par Manneke 20.03.21 14:47

L'un des pires tueurs en séries belge: Stephane du lion dit "le laveur de vitres"

Stephaan Du Lion a sa place aux côtés de Dutroux, Fourniret, Andras Pandy, Nestor Pirotte et le Vampire de Muisen.

On revient sur Stephaan Du Lion, ce laveur de vitres qui a vécu 26 ans libre comme l’air, jusqu’à ce que l’enquête le suspecte à Anvers de quatre assassinats entre 1992 et 1997.

Du Lion, c’est ce brave type en bras de chemise à qui l’on donnerait le bon dieu sans confession. Jeune homme, il aimait la pêche, ce sport solitaire qu’il pratiquait avec son copain Walter.

Walter est peut-être le premier à avoir senti ce que cache le bonhomme : un être froid. "J’en étais au point où je me demandais ce qui pouvait le toucher. Je pensais que même la mort de sa mère ne lui ferait rien."

Manneke


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Message par Kassandra88 20.03.21 15:02

Manneke a écrit:L'un des pires tueurs en séries belge: Stephane du lion dit "le laveur de vitres"

Stephaan Du Lion a sa place aux côtés de Dutroux, Fourniret, Andras Pandy, Nestor Pirotte et le Vampire de Muisen.

On revient sur Stephaan Du Lion, ce laveur de vitres qui a vécu 26 ans libre comme l’air, jusqu’à ce que l’enquête le suspecte à Anvers de quatre assassinats entre 1992 et 1997.

Du Lion, c’est ce brave type en bras de chemise à qui l’on donnerait le bon dieu sans confession. Jeune homme, il aimait la pêche, ce sport solitaire qu’il pratiquait avec son copain Walter.

Walter est peut-être le premier à avoir senti ce que cache le bonhomme : un être froid. "J’en étais au point où je me demandais ce qui pouvait le toucher. Je pensais que même la mort de sa mère ne lui ferait rien."

Jamais entendu parler de cet horrible individu.
On est peu informé de ce qui se passe en Flandre via la presse francophone belge.
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Message par Manneke 20.03.21 15:07

La DH a fait deux ou trois article récemment (fin fév-début mars) pour parler de son parcours criminel (malheureusement pour les abonnées) sinon je n'en avais pas entendu parler avant. Il faut en parler justement si ça peut aider à résoudre des colds cases.

Manneke


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Message par rachat 28.03.21 16:31

Christian B Allemand qui a traverser la France plusieurs fois et a peut etre fait des victime chez nous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

rachat


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Message par Kassandra88 28.03.21 17:46

rachel a écrit:Christian B Allemand qui a traverser la France plusieurs fois et a peut etre fait des victime chez nous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Jusqu'à preuve du contraire, Christian B. n'est qu'un TES présumé. Il n'est actuellement poursuivi "que" pour viol, trafic de drogue et détention de matériel pédo pornographique.
J'ai l'impression que tout est bon pour faire la pub de cette chaine youtube.
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Message par Kassandra88 31.03.21 8:49

Le tueur qui bande mou comme l'appelle le psychiatre Paul Bensussan. Un homme qui a besoin de violenter pour obtenir une érection.
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C'est lui qui a tué Sylvie Bâton en 1989 à Avallon en Bourgogne.
Sylvie Bâton, 24 ans, a été battue, violée et noyée dans sa baignoire. L’enquête a piétiné pendant des années.
Muenstermann a le groupe sanguin AB ce qui est assez rare et conduira en prison pendant 15 mois un suspect de même groupe sanguin. Il sera innocenté par l'ADN.
L'avancée de la recherche en matière d'ADN permettra d'isoler un ADN non répertorié dans le FNAEG. Le juge Prats l'enverra à Interpol qui va sortir le nom de Muenstermann en prison en Allemagne.

Photo de lui jeune:
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Photo de lui à son procès:
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Il y a une dizaine d'années, certains se sont demandé s'il n'était pas le G

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Message par Kassandra88 31.03.21 8:56

Kassandra88 a écrit:
Il y a une dizaine d'années, certains se sont demandé s'il n'était pas le G

[/color]

Malheureusement cet homme n'a toujours pas été identifié. Mais le dossier n'est pas clos pour autant, il y a toujours des enquêteurs sur cette affaire. J'ai pensé à un moment au tueur allemand Ulrich Muestermann mais il ne parle pas français et il était incarcéré lors du dernier meurtre du tueur au visge grelé.
J'ai quand même envoyé ces deux photos au Juge d'Instruction Charles Prats qui s'occupe du tueur Allemand, elles ont été envoyées à la Brigade Criminelle de Paris.


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posté 31 janv. 2008 par Marathon.
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Message par Kassandra88 17.05.21 16:05

Au bout de l'enquête: le meurtre de Sylvie Bâton

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