Meurtres ou agressions antisémites

[quote="211770ŦTristanduvar"]

211765ŦLisetoct a écrit:

Il ne faut pas se leurrer, dans quasiment tous les pays musulmans il est dangereux pour un juif ou un chrétien de vivre sa foi librement, de même que son homosexualité.

Qu'on n'arrête de dire que l'islam est une religion de paix et d'amour, c'est un mensonge.

Bonsoir,

Svp arrêtez vos incessants amalgames!

Ce n’est pas parce que nombre de prêtres catholiques sont pedophiles que l’ont dit que la Bible est pedophile et tous les cathos le sont!

Lisecord a vécu en Algérie fin de années 70 et moi en Tunisie fin des années 80.
C’est aussi un pays musulman et il y avait nombre de Juifs parfaitement intégrés qui travaillaient principalement dans les commerces.
Les églises étaient bien rares, tout comme les mosquées chez nous, mais par ex la cathédrale de Tunis sonnait les offices! Les mosquées passaient l’appel du muezzin en France?
En temps que Chrétiens, on nous donnait officiellement congé le jour de Noël qui n’était pourtant pas férié

Comme quoi, il faut arrêter de toujours tout généraliser!
Un peu plus de maturité ne ferait pas de tord à certains jeunes de la vingtaine…

L'hommage poignant aux victimes du 7 octobre:
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Bonsoir/bonjour Kassandra

Cet attentat a causé la mort de 42 Francais ou Franco-Israéliens. Trois sont portés disparus et présumés otages..
Au total, 1160 personnes ont été tuées par le Hamas, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.

212253ŦCasta a écrit:Bonsoir/bonjour Kassandra

Cet attentat a causé la mort de 42 Francais ou Franco-Israéliens. Trois sont portés disparus et présumés otages..
Au total, 1160 personnes ont été tuées par le Hamas, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.

Tout à fait.
Dans ce kibboutz tous ont été massacres par des membres du Hamas de façon telle qu’on ne le ferait même pas pour des animaux
Quelle horreur!
Le Hamas aurait proposé dernièrement d’échanger tous leurs otages contre tous les otages en Israël (bien plus nombreux…)
On verra…

13 février 2006 - 13 février 2024, 18 ans jour pour jour qu'Ilan Halimi a été retrouvé le long des voies ferrées à Sainte-Geneviève-des-Bois, après 24 jours de supplices. Il décédera au cours de son transfert à l'hôpital. Il avait 23 ans.

Parmi les barbares, seul le « cerveau » Youssouf Fofana a pris perpette, le reste de la bande est dehors depuis belle lurette. Ils s'en sortent bien.
Ils avaient 24 jours pour arrêter cette folie, mais personne n'a rien fait.

Malheureusement en France, encore de nos jours, beaucoup de personnes d'une certaine communauté se réjouissent de la mort d'un juif, idem pour les victimes du pogrom du 7 octobre.
Une sorte d'antisémitisme décomplexé.

Un papier de Paris Match en date de 2021 pour les 15 ans.
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Paris : un homme attaqué au couteau dans la rue, la piste d’un acte antisémite privilégiée

L'auteur présumé serait un ami d'enfance ... ou va t'on???

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Je trouve le message de l'avocat, Gilles-William Goldnadel, criant de vérité :

Le haut lieu de la douleur française causée par la barbarie islamiste , occupé par les soutiens du Hamas . Le tout célébré par Muzna épouse palestinienne de @benjbarthe rédacteur du Monde chargé du Proche Orient , poursuivie pour avoir fêté le 7/10 . 3 symboles en 1.
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Comment peut-on tolérer en France, que des soutiens du Hamas (qui a commis un pogrom le 7 octobre en Israël, et désigné comme groupe terroriste en France) puisse se produire sur la scène du Bataclan, lieu même ou le sang de 90 innocents (de toutes confessions) à couler quelques années plus tôt sous les balles de terroristes islamistes ?

Affaire Jérémie Cohen : deux ans plus tard, le mobile antisémite écarté… mais les questions demeurent
La mort de ce jeune homme juif, en Seine-Saint-Denis, en février 2022, avait entraîné nombre de réactions politiques en pleine campagne présidentielle. Mais l’enquête a infirmé la dimension antisémite du drame. Mis en cause, deux suspects accusent le défunt d’exhibitionnisme.

« Meurtre antisémite », « scandale étouffé »… La mort de Jérémie Cohen, survenue en pleine campagne présidentielle en 2022, avait provoqué un torrent de réactions à droite et à l’extrême droite. Mais deux ans plus tard, ce qui reste de ce dossier n’a plus grand-chose à voir avec les commentaires de l’époque.Le 16 février 2022, à Bobigny (Seine-Saint-Denis), Jérémie Cohen, un homme juif de 31 ans, est percuté par un tramway alors qu’il fuit ses agresseurs. Transporté à l’hôpital, il décède dans la nuit. Deux mois plus tard, plusieurs candidats à l’élection présidentielle, et nombre d’internautes sur les réseaux sociaux, formulent des soupçons d’antisémitisme, alors qu’une vidéo de son agression tourne en boucle sur la Toile. On y aperçoit un groupe de 15 personnes en train de frapper le jeune trentenaire avec une violence extrême. « Est-il mort pour fuir les racailles ? Est-il mort parce que juif ? Pourquoi cette affaire est-elle étouffée ? » tweete alors Éric Zemmour, patron de Reconquête !

À deux semaines du premier tour, l’affaire s’enflamme. Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national, évoque un « meurtre antisémite » et réclame une enquête parlementaire. L’Élysée téléphone à la famille Cohen. Emmanuel Macron promet « une clarté complète » sur le drame. La famille crée une association, Jérémie Cohen-Justice et mémoire, et Franck Serfati, avocat attitré du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, reprend le dossier.Une pluie de coupsDans un article de la revue Hérodote publié en novembre 2022, le géographe Jérôme Fourquet assurera que l’affaire a « réactivé » au sein de la communauté juive, « l’inquiétude existentielle et sécuritaire qui peut la tarauder ». D’autant plus après les meurtres de Sarah Halimi et Mireille Knoll, deux femmes juives sauvagement tuées en 2017 et 2018, à Paris

Dans cette atmosphère électrique, le procureur de la République de Bobigny, Éric Mathais, s’efforce de s’en tenir aux faits. « Il ne ­ressort pas des témoignages recueillis jusqu’à présent que l’agression ait été commise pour des motifs discriminatoires, en particulier antisémites » écrit-il sobrement dans un communiqué, début avril 2022. Une kippa est retrouvée à proximité des lieux de l’agression. Les parents de Jérémie sont convaincus qu’il s’agit de celle de leur fils. « Dans ce quartier, il n’y a pratiquement plus de familles juives, glisse un proche de la famille. Là où il a été agressé, la kippa ne pouvait que lui appartenir. » Pas sûr néanmoins qu’il la portait sur la tête au moment des faits.

Deux ans plus tard, l’enquête judiciaire, toujours en cours, est venue à bout de certaines croyances. Selon nos informations, le mobile antisémite a été écarté. « Les violences dont Jérémie Cohen a été victime ne semblent pas revêtir de caractère antisémite », confirme à Marianne l’avocat de la famille Cohen, Franck Serfati.Qu’est-ce qui a pu provoquer cette avalanche de coups contre la victime ? Des témoins entendus pendant l’instruction affirment que le jeune homme aurait fait preuve d’un « comportement inapproprié ». Porteur d’un léger handicap ­physique et mental, Jérémie Cohen a quitté vers 16 heures ce jour-là la maison de ses parents, située dans une ville voisine.

S’aventurant pour des raisons inconnues à Bobigny, où il ne se rendait jamais, il aurait, vers 20 heures, selon des sources judiciaires, exhibé son sexe devant deux femmes en pleine rue. En rage, le compagnon de l’une d’entre elles l’aurait alors rattrapé et, avec un ami, frappé copieusement. Jérémie parvient à s’échapper, avant d’être intercepté un peu plus loin. Retenu sous le porche d’un immeuble par une douzaine de jeunes du quartier, rapidement rejoints par les deux agresseurs initiaux, Jérémie Cohen essuie une nouvelle série de coups par le plus hargneux des deux. La petite amie crie : « Stop ! » Jérémie peut s’enfuir mais, groggy, il traverse en titubant la voie ferrée et est percuté par un tram.Sans images des faits, la justice penche d’abord pour un accident de circulation à l’issue tragique. Mais les deux frères de Jérémie ne croient pas à cette version. Ils mènent une enquête de voisinage, lancent un appel à témoins, placardent des affichettes… Bonne pioche : un touriste, attiré par les cris, a filmé l’agression sous le porche – c’est sa vidéo qui deviendra virale. Munis de cette pièce à conviction, les policiers relancent l’enquête. Du côté de la police de Bobigny, « il y a eu un vrai raté au démarrage », accuse Me Serfati. Et la famille se tourne vers Éric Zemmour pour médiatiser les faits.

Plutôt insérés socialement, l’un en CDI, l’autre chauffeur livreur en formation pour devenir conducteur de bus, ils sont mis en examen en avril 2022, le plus âgé pour « violences en réunion » le plus jeune pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Lucas Minkowksi, leur avocat, n’a pas souhaité faire de commentaire.« Contradictions »Deux juges d’instruction ont depuis été désignés pour instruire ce dossier sensible. Écoutes téléphoniques, audition d’une dizaine de témoins… les enquêteurs ont réussi à retrouver les membres du groupe qui apparaissent sur la vidéo, des habitants du quartier âgés de 15 à 24 ans. Aucun n’a été inquiété. « Ils ont pourtant une culpabilité. Ils l’ont empêché de s’enfuir, n’ont pas alerté la police, ne lui ont pas porté secours. Ils ont facilité les violences dont Jérémie a été victime » regrette Me Serfati.L’avocat met en doute les accusations d’exhibitionnisme, pointant « de grossières contradictions dans les déclarations des deux agresseurs ». Jérémie Cohen, de caractère introverti, n’avait, selon ses proches, jamais adopté ce type de comportement. De leur côté, les mis en cause, les témoins et la petite amie ne sont pas toujours d’accord sur ce qu’ils reprochent à Jérémie Cohen – d’avoir uriné sur la voie publique ou de s’être masturbé. Une source judiciaire qualifie ces déclarations d’« évolutives ».« La famille Cohen est toujours en deuil, il n’y a rien de pire que de perdre un enfant. Elle garde un goût amer des dysfonctionnements de départ », déplore Me Serfati. Elle voudrait surtout faire reconnaître qu’il s’agit d’un homicide, estimant que les violences que leur fils a subies sont à l’origine « directe » de sa mort. La fin de l’instruction est prévue pour cette année.
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213758ŦTristanduvar a écrit:Je trouve le message de l'avocat, Gilles-William Goldnadel, criant de vérité :

Le haut lieu de la douleur française causée par la barbarie islamiste , occupé par les soutiens du Hamas . Le tout célébré par Muzna épouse palestinienne de @benjbarthe rédacteur du Monde chargé du Proche Orient , poursuivie pour avoir fêté le 7/10 . 3 symboles en 1.
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Comment peut-on tolérer en France, que des soutiens du Hamas (qui a commis un pogrom le 7 octobre en Israël, et désigné comme groupe terroriste en France) puisse se produire sur la scène du Bataclan, lieu même ou le sang de 90 innocents (de toutes confessions) à couler quelques années plus tôt sous les balles de terroristes islamistes ?

Bienvenue Tristanduvar, on rentre dans le vif du sujet : le déni de bon nombre de gens qui sont sans conscience.Ils existent et se reproduisent.

Une nouvelle inculpée en France pour un projet d’attaque contre l’ambassade d’Israël à Bruxelles: « Le projet consistait d’abord à abattre les policiers en faction devant le bâtiment à Uccle»
Par Belga Publié le 02/03/2024 à 12:55

Une cinquième personne a été inculpée vendredi en France pour avoir projeté, l’an dernier, d’attaquer l’ambassade israélienne en Belgique, a appris l’AFP de sources judiciaires et proche du dossier. Il s’agit de la sœur aînée d’un adolescent précédemment mis en examen dans ce dossier.
L’enquête avait débuté en juin 2023, après la découverte de conversations tenues entre plusieurs adolescents, dont un de 15 ans du département d’Indre-et-Loire (centre de la France), vu comme le meneur. Il était question de perpétrer «une action violente» contre l’ambassade israélienne à Bruxelles. Le projet consistait d’abord à abattre les policiers en faction devant le bâtiment à Uccle, puis à larguer une camionnette «bourrée d’explosifs contre le site. Avant d’exécuter les civils survivants», relatait à l’époque Le Parisien, l’un des premiers médias à faire référence au dossier, en octobre dernier.

La jeune femme, âgée de 20 ans, a été interpellée lundi en Indre-et-Loire et inculpée vendredi pour association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes. «Ce n’est pas l’un des cerveaux du projet d’action violente» mais elle aurait fourni la recette pour fabriquer des explosifs et contribué à la radicalisation de son frère, selon une source policière

Contacté par l’AFP, son avocat n’a pas souhaité commenter l’affaire.

D’après les premiers éléments des investigations dont l’AFP a eu connaissance, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a identifié plusieurs groupes de messageries chiffrés: un où les adolescents échangeaient sur la fabrication des engins explosifs, un sur l’achat d’armes, un autre sur la cyberattaque envisagée du site de l’ambassade. Les enquêteurs relèvent également des «actes préparatoires» à partir d’avril 2023. Deux adolescents, décrits comme «fascinés» par l’idéologie djihadiste, ont ainsi fabriqué des engins explosifs et se sont filmés en train de les tester.
Les investigations se poursuivent.

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PARIS: UN HOMME TRANSPORTÉ À L'HÔPITAL APRÈS UNE AGRESSION ANTISÉMITE, L'AUTEUR PRÉSUMÉ DES FAITS EN FUITE
Le 02/03/2024 à 20:54

Un homme porteur d'une kippa et sortant d'une synagogue a été agressé ce vendredi 1er mars, dans le 20e arrondissement de Paris. L'auteur présumé des faits a pris la fuite à pied.

Une agression à caractère antisémite a eu lieu vendredi 1er mars, vers 17h30, dans le 20e arrondissement de Paris, a appris BFMTV auprès d'une source policière.

Selon nos informations, un homme porteur d'une kippa et sortant d'une synagogue a été insulté de "sale juif", avant de recevoir des coups de poings et de pied.

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Attaque au couteau à Zurich : « pas de place pour l’antisémitisme en Suisse », affirme sa présidente

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Agression d’un homme portant une kippa à Paris : le suspect conduit à l’infirmerie psychiatrique
En audition, il a reconnu avoir « porté des coups à la victime, mais a déclaré avoir agi en état de légitime défense », a précisé le parquet de Paris.
Le Monde avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Guerre Israël-Hamas : un amphi de Sciences po bloqué par des soutiens à Gaza, indignation dans la majorité
Une membre de l’Union des étudiants juifs de France aurait été empêchée d’entrer dans l’amphi. Aurore Bergé dénonce un acte « antisémite ».
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L'antisémitisme décomplexé de la gauche fanatique pro-Palestine et pro-Hamas pour certains.

Comment ne pas les aimer ?

4 avril 2017 - 4 avril 2024, l'islamisme tue.
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Le vrai visage de l'islamo-gauchisme woke, mélenchoniste, pro Palestine et hystérique qui, sous couvert de combattre le sionisme, cache en réalité un antisémitisme profond.
Et après les mêmes mélenchonistes voudraient faire passer la droite patriote pour des racistes, ils n'ont décidément honte de rien ces rigolos de kermesse !

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.La vidéo est devenue rapidement virale sur les réseaux, après avoir été postée sur X (ex-Twitter) mercredi après-midi. Plan serré, on y voit un « étudiant juif », jeune adulte vêtu d’un manteau noir avec un casque de deux-roues à la main, se faire sortir de force d’un amphithéâtre bondé de l’Upec à Créteil (Val-de-Marne). Il est entouré de plusieurs personnes — dont certains portent une veste noire siglée sécurité en jaune dans le dos — et est poussé vers la sortie. La salle applaudit, crie, siffle puis scande comme un seul homme : « Cessez-le feu ! »

Plusieurs comptes ont relayé massivement cette vidéo dénonçant un acte antisémite à la faculté de Créteil et mettant en cause directement l’université. « Encore plus dégueulasse, c’est la sécurité même de l’université qui a mis dehors cet étudiant et ce, par la force ! » affirme celui qui se définit comme activiste et qui apporte son soutien à « cet étudiant ».

Dans un climat extrêmement tendu sur fond de conflit entre Israël et le Hamas, il n’en fallait pas plus pour agiter la Toile. Plusieurs dizaines de milliers de vues et des centaines de commentaires d’indignation, racistes et haineux se sont multipliés et ont pris le pas sur ceux qui appelaient à la mesure et à obtenir des éléments de contexte avant d’en tirer des conclusions hâtives.

Une vidéo tournée lors de la conférence de Jean-Luc Mélenchon
Dans ce flot, d’autres vidéos tentaient alors d’apporter un éclairage. Et dataient précisément ce moment au 28 mars, à l’occasion de la conférence de Jean-Luc Mélenchon et de Clémence Guetté (LFI), députée de la 2e circonscription du Val-de-Marne, dans l’enceinte de l’université.

« Celle-ci s’est tenue à l’initiative exclusive de l’Union étudiante Upec, organisation étudiante représentative, qui en a assuré l’organisation et le service d’ordre, rappelle la présidence de la faculté dans un communiqué publié mercredi soir pour recontextualiser le moment. Aucun représentant ou agent de l’Upec n’est intervenu lors de cette rencontre. La présidence de l’Upec précise qu’elle n’est pas à l’initiative de cette conférence et n’en est pas l’organisatrice. »

Sur une vidéo YouTube résumant la rencontre, on ne distingue pas l’homme en question. L’angle est différent, situé à l’opposé, de l’autre côté de la salle. Toutefois, on aperçoit un mouvement de foule et on entend un amphithéâtre hurler en chœur « Cessez-le-feu ! » Sur une autre captation, on discerne plusieurs personnes debout en haut de la salle qui crient quelque chose de peu audible devant une banderole déployée où il y est écrit : « LFI antisémite et pro-Poutine ».

« Ne travestissons pas les faits »
L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a confirmé également ce mercredi, dans un tweet, que la vidéo datait d’il y a deux semaines. « Des militants UEJF y dénonçaient la présence de Mélenchon. Ils se sont fait sortir. Dénonçons ceux hurlant cessez-le-feu quand nous parlons d’antisémitisme. Ne travestissons pas les faits », ponctuent-ils.

Devant l’ampleur que prend l’événement, la présidence de l’Upec tente aussi d’apaiser les choses et a annoncé vouloir éclaircir cette situation. « À la suite des images véhiculées et de la vive émotion qu’elles engendrent, l’université a ordonné une enquête administrative pour comprendre les faits et prendre des sanctions, en cas de manquements. »

Elle rappelle également que « le racisme et l’antisémitisme n’ont pas leur place à l’Université et condamne toute provocation et tous types de violences ».
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