Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
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Lisetoct
Kassandra88
Toto2024
7 participants
Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: NON ÉLUCIDÉ
Cellule Cold cases, É. Foray, M.Boisseranc, S.Alloard, C.Giboire, K.Leroy, J.Heusèle, S. Viguier...
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Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Cette affaire est passée totalement inaperçu dans la rubrique "fait divers."
Je penche pour un proche.
Je penche pour un proche.
Invité- Invité
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
-Toto2024 a écrit:Tristan a écrit:Cette affaire est passée totalement inaperçu dans la rubrique "fait divers."
Je penche pour un proche.
Un proche?
Tout dépend ce que vous appelez «un proche » :
Si c’est un voisin c’est non.
Si c’est un membre de la famille, c’est non.
Si c’est un membre d’une société de chasse c’est non.
Mais ce n’est que mon avis.
Quand je dis proche, ce n'est pas un membre de la famille même mais un envieux de sa réussite. Dans ce genre de petit village pas facile de passer inaperçu avec cette maison gigantesque !
Dans "Non Élucidé" la scène de crime donne l'impression d'une vengeance.. non organisée.. brouillonne..
Le tueur.. car je dirais qu'il était seul, n'a pratiquement pas laisser d'indices à part la trace de pas quand il a essayé d'effacer les empreintes ( papillaires ?)
À moins d'un coup de théâtre, cette affaire risque de durer encore et encore ...
Invité- Invité
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
-Toto2024 a écrit:Tristan a écrit:-Toto2024 a écrit:Tristan a écrit:Cette affaire est passée totalement inaperçu dans la rubrique "fait divers."
Je penche pour un proche.
Un proche?
Tout dépend ce que vous appelez «un proche » :
Si c’est un voisin c’est non.
Si c’est un membre de la famille, c’est non.
Si c’est un membre d’une société de chasse c’est non.
Mais ce n’est que mon avis.
Quand je dis proche, ce n'est pas un membre de la famille même mais un envieux de sa réussite. Dans ce genre de petit village pas facile de passer inaperçu avec cette maison gigantesque !
Dans "Non Élucidé" la scène de crime donne l'impression d'une vengeance.. non organisée.. brouillonne..
Le tueur.. car je dirais qu'il était seul, n'a pratiquement pas laisser d'indices à part la trace de pas quand il a essayé d'effacer les empreintes ( papillaires ?)
À moins d'un coup de théâtre, cette affaire risque de durer encore et encore ...
Je vois plutôt une mise en scène.
Des pas volontairement inscrits dans cette poudre d’extincteur.
Dans quel but?
Une chose est sûre le type a pris son temps, il ne risquait pas d'avoir une visite impromptue.
Invité- Invité
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
par Manor Aujourd'hui à 09:33
Affaire Kubala-Drouvin qui a d'ailleurs été ajoutée au nouveau pôle cold-case.
Affaire Kubala-Drouvin qui a d'ailleurs été ajoutée au nouveau pôle cold-case.
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Je ne connaissais pas ce double crime. Après avoir visionné les reportages, émissions... J'avoue que la piste d'un proche semble évidente.
L'utilisation de l'extincteur par Mr Drouvin plutôt qu'une arme laisse penser qu'il n'a pas senti le danger et que l'intrus était une connaissance qu'il ne voulait pas tuer.
La bâche pour recouvrir son corps... Le meurtrier a un lien avec lui. Le fait que Mme Kubala ait la culotte baissée est un geste de dénigrement fort. Ces deux mises en scène expriment le rapport de l'assassin avec les 2 victimes.
C'est un crime d'affect.
Alors si le fils de Mr Drouvin n'avait pas eu d'alibi j'aurais opté pour lui... Mais son alibi semble en béton, il déménageait ce jour là.
En tt cas, c'est une personne de l'entourage du couple, a qui ils ont ouvert. Une personne de qui ils ne se sont pas mefiés. Quelqu'un qui est passé les voir un dimanche matin de bonne heure...
Étonnant aussi les traces de pas laissées dans la poudre de l'extincteur, alors que le meurtrier avait balayé justement pour effacer ses traces. Il a été maladroit.
En tt cas c'est un crime de lâche compte tenu de l'âge des victimes.
L'utilisation de l'extincteur par Mr Drouvin plutôt qu'une arme laisse penser qu'il n'a pas senti le danger et que l'intrus était une connaissance qu'il ne voulait pas tuer.
La bâche pour recouvrir son corps... Le meurtrier a un lien avec lui. Le fait que Mme Kubala ait la culotte baissée est un geste de dénigrement fort. Ces deux mises en scène expriment le rapport de l'assassin avec les 2 victimes.
C'est un crime d'affect.
Alors si le fils de Mr Drouvin n'avait pas eu d'alibi j'aurais opté pour lui... Mais son alibi semble en béton, il déménageait ce jour là.
En tt cas, c'est une personne de l'entourage du couple, a qui ils ont ouvert. Une personne de qui ils ne se sont pas mefiés. Quelqu'un qui est passé les voir un dimanche matin de bonne heure...
Étonnant aussi les traces de pas laissées dans la poudre de l'extincteur, alors que le meurtrier avait balayé justement pour effacer ses traces. Il a été maladroit.
En tt cas c'est un crime de lâche compte tenu de l'âge des victimes.
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Pondyness a écrit : "C'est un crime d'affect.
Alors si le fils de Mr Drouvin n'avait pas eu d'alibi j'aurais opté pour lui... Mais son alibi semble en béton, il déménageait ce jour là."
Je suis d'accord avec Pondyness . Après, pourquoi pas la piste du fils de Marianne ?
ou alors la piste d'un salarié du couple ? Qui travaillait sur le domaine de Mr Drouvin ?
Parce qu'enfin, à leur âge , ils devaient bien employer des gens pour entretenir leur domaine ( les chaussures achetées sur un marché ). Juste des hypothèses.
Alors si le fils de Mr Drouvin n'avait pas eu d'alibi j'aurais opté pour lui... Mais son alibi semble en béton, il déménageait ce jour là."
Je suis d'accord avec Pondyness . Après, pourquoi pas la piste du fils de Marianne ?
ou alors la piste d'un salarié du couple ? Qui travaillait sur le domaine de Mr Drouvin ?
Parce qu'enfin, à leur âge , ils devaient bien employer des gens pour entretenir leur domaine ( les chaussures achetées sur un marché ). Juste des hypothèses.
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Bonjour Lisetoct, en effet le couple aurait pu avoir des employés. Nous n'avons pas d'info.
Ce qui met un doute c'est le traitement des corps. Un corps à corps avec Mr Drouvin. L'altercation semble monter crescendo. Le visage est touché. Puis son corps est recouvert par une bâche. Ça c'est un geste qui pourrait évoquer une proximité.
Le corps de Marianne, lui est "dégradé". Lui enlever sa culotte est dégradant. Il y a du mépris, de la haine. Cette femme est vue par le meurtrier comme une personne de petite vertu. Lui écraser le visage contre le sol et la voir agoniser est un acte qui en dit long.
Ce crime a une signature forte.
Le fils abandonné de Mme Kubala n'aurait eu je pense aucun scrupule vis à vis de Mr Drouvin.
La bâche aurait été mise sur les 2 corps si elle avait servi à retarder la découverte.
Là c'est seulement le corps de Mr Drouvin qui est couvert du regard.
Celui de Mme Kubala est laissé à l'air libre, en position dégradante.
À moins que ce soit ce qu'a recherché le meurtrier. Ne mettre en scène que celui de Marianne...
J'imagine que les enquêteurs ont totalement innocenté son fils. Mais c'est sans doute une personne très proche. De qui le couple ne s'est absolument pas méfié.
Ce qui met un doute c'est le traitement des corps. Un corps à corps avec Mr Drouvin. L'altercation semble monter crescendo. Le visage est touché. Puis son corps est recouvert par une bâche. Ça c'est un geste qui pourrait évoquer une proximité.
Le corps de Marianne, lui est "dégradé". Lui enlever sa culotte est dégradant. Il y a du mépris, de la haine. Cette femme est vue par le meurtrier comme une personne de petite vertu. Lui écraser le visage contre le sol et la voir agoniser est un acte qui en dit long.
Ce crime a une signature forte.
Le fils abandonné de Mme Kubala n'aurait eu je pense aucun scrupule vis à vis de Mr Drouvin.
La bâche aurait été mise sur les 2 corps si elle avait servi à retarder la découverte.
Là c'est seulement le corps de Mr Drouvin qui est couvert du regard.
Celui de Mme Kubala est laissé à l'air libre, en position dégradante.
À moins que ce soit ce qu'a recherché le meurtrier. Ne mettre en scène que celui de Marianne...
J'imagine que les enquêteurs ont totalement innocenté son fils. Mais c'est sans doute une personne très proche. De qui le couple ne s'est absolument pas méfié.
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Oui, Pondyness . Qui travaillait chez eux ?Qui avait accès à leur portail ?
Je suis comme vous : mais parfois faut pas chercher midi à quatorze heures.
a t-on cherché qui travaillait pour R.Drouvin ? les chaussures achetées sur un marché ?
Bien sûr, ce ne sont que pures hypothèses de ma part .
Je suis comme vous : mais parfois faut pas chercher midi à quatorze heures.
a t-on cherché qui travaillait pour R.Drouvin ? les chaussures achetées sur un marché ?
Bien sûr, ce ne sont que pures hypothèses de ma part .
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Tt à fait. Nous ne faisons que des hypothèses. Pour les chaussures, il y a eu 5 paires d'acheter sur le marché. 4 ont été payées par CB ou chèque. Les acheteurs ont été interrogés. Le seul a avoir payé en liquide n'a pas été retrouvé.
Mais j'ai un doute, ces fameuses chaussures ont été achetées le jour même ? Ou bien avant les meurtres ?
En tt cas, c'est l'élément qui prouverait que c'est une personne du coin.
Je me suis demandée autre chose. Le meurtrier a balayé ses traces dans la poudre. Puis, étonnamment a marché ensuite sans les effacer... C'est surprenant non?
Ou alors, c'est une personne totalement extérieure au crime qui a découvert les meurtres. Elle a vu la scène, a laissé ses traces dans la poudre et s'est enfouie. Par exemple l'homme qui a décrit la scène à la voyante, un voisin soupçonné mais qu'aucun élément n'incrimine. Si ce n'est sa description exacte à la médium de la scène de crime...
Car pourquoi le meurtrier aurait laissé des traces alors qu'il avait pourtant veillé à les effacer ? Ce qui conduirait à envisager un assassin qui n'est pas forcément du coin. Mais que les victimes connaissaient puisqu'elles ont ouvert en confiance et qu'aucune arme à feu a été utilisée.
Mais j'ai un doute, ces fameuses chaussures ont été achetées le jour même ? Ou bien avant les meurtres ?
En tt cas, c'est l'élément qui prouverait que c'est une personne du coin.
Je me suis demandée autre chose. Le meurtrier a balayé ses traces dans la poudre. Puis, étonnamment a marché ensuite sans les effacer... C'est surprenant non?
Ou alors, c'est une personne totalement extérieure au crime qui a découvert les meurtres. Elle a vu la scène, a laissé ses traces dans la poudre et s'est enfouie. Par exemple l'homme qui a décrit la scène à la voyante, un voisin soupçonné mais qu'aucun élément n'incrimine. Si ce n'est sa description exacte à la médium de la scène de crime...
Car pourquoi le meurtrier aurait laissé des traces alors qu'il avait pourtant veillé à les effacer ? Ce qui conduirait à envisager un assassin qui n'est pas forcément du coin. Mais que les victimes connaissaient puisqu'elles ont ouvert en confiance et qu'aucune arme à feu a été utilisée.
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Emission de RTL L'heure du crime :
En replay
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Le 9 août 2004 au matin, la femme de ménage de Marianne Kubala et Robert Drouvin découvrait les corps des deux octogénaires dans la propriété blottie au milieu d'un bois épais, sur les hauteurs de Vernou-sur-Brenne. L'affaire du meurtre de deux octogénaires, en août 2004, à Vernou-sur-Brenne fait partie des dossiers de crimes non élucidés qui viennent d'être repris par le nouveau pôle "Cold case".
Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 29 septembre 2022
En replay
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Le 9 août 2004 au matin, la femme de ménage de Marianne Kubala et Robert Drouvin découvrait les corps des deux octogénaires dans la propriété blottie au milieu d'un bois épais, sur les hauteurs de Vernou-sur-Brenne. L'affaire du meurtre de deux octogénaires, en août 2004, à Vernou-sur-Brenne fait partie des dossiers de crimes non élucidés qui viennent d'être repris par le nouveau pôle "Cold case".
Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 29 septembre 2022
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
En écoutant L'heure du Crime consacré à cette enquête (merci Pondyness), on apprend qu'un ADN masculin partiel avait été retrouvé . C'est sûrement pour cela que le pôle cold case a repris le dossier.
De grands progrès ont été faits dans ce domaine et ce pôle a dû rassembler les experts français dans l'analyse ADN. Aussi , j'ai bon espoir de voir ce double homicide résolu.
De grands progrès ont été faits dans ce domaine et ce pôle a dû rassembler les experts français dans l'analyse ADN. Aussi , j'ai bon espoir de voir ce double homicide résolu.
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Je me demandais justement si un ADN partiel pouvait disculper un suspect par exemple ?
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Pondyness a écrit:Je me demandais justement si un ADN partiel pouvait disculper un suspect par exemple ?
Pondyness, impossible de répondre par oui ou par non . ADN partiel = ADN incomplet , mais peut-être renferme -t-il
des caractéristiques génétiques qui pourraient exclure tel suspect et pas un autre ?
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"Dans un cas simple, pour évaluer le résultat d’une analyse ADN les deux hypothèses mises en concurrence pourront être :
Hp : le suspect est à l’origine de la trace
Hd : un autre individu que le suspect est à l’origine de la trace
Prenons l’exemple d’un profil ADN “partiel” obtenu avec l’analyse de seulement trois marqueurs (TPOX, TH01 et VWA). Une trace analysée possède les allèles 8 et 8 sur le marqueur TPOX, 6 et 7 sur le marqueur TH01, 5 et 8 sur le marqueur VWA. Le suspect possède ces mêmes allèles pour ces mêmes marqueurs, la probabilité que le suspect soit à l’origine de la trace est donc de 1 = P(E/Hp)
D’après une étude de population adéquate, la probabilité d’obtenir les allèles 8 et 8 pour le marqueur TPOX est de 0,28. La probabilité d’obtenir les allèles 6 et 7 pour le marqueur TH01 est de 0,07. La probabilité d’obtenir les allèles 5 et 8 pour le marqueur VWA est de 0,05. En supposant que les probabilités sont indépendantes, la probabilité d’obtenir ces allèles simultanément pour ces trois marqueurs est donc de 0,28 x 0,07 x 0,05 = 0,00098 = P (E/Hd).
Ce qui nous permet de déterminer la valeur du rapport de vraisemblance comme étant le suivant :
(formule mathématique)
Ce rapport de vraisemblance nous indique qu’il est environ 1000 fois plus vraisemblable d’observer ce profil si le suspect est la source de la trace plutôt que quelqu’un d’autre.
En augmentant le nombre de marqueurs analysés, on augmente considérablement la force du rapport de vraisemblance. Avec 10 marqueurs analysés on arrive à une probabilité fortuite d’apparition du génotype de 1 sur plusieurs centaines de milliards ce qui permet de conclure à une identification “quasi formelle” de l’individu comme étant la source de la trace."
Reste à savoir si dans cette affaire l'ADN est incomplet parce qu'on a analysé très peu de marqueurs ou alors si c'est parce qu'il est dégradé ( suite à des facteurs environnementaux par exemple ou à un mélange) .
Ce qui est certain , c'est que la recherche sur L'ADN connaît de grandes avancées chaque année et on vient de voir que "le prix Nobel de Médecine à été décerné à Svante Pääbo, décrypteur du génome de Neandertal
Le généticien évolutionniste suédois a révolutionné l’étude de l’ADN ancien, décrit une lignée humaine inédite, donné un nouveau souffle à la génétique des populations et ouvert des pistes de médecine évolutive."
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Merci beaucoup Lisetoct pour cet éclairage !
C'est beau toutes ces grandes avancées, elles donnent espoir, que ce soit en matière criminelle mais pas seulement.
Espérons que cet ADN partiel bénéficie des avancées dans ce domaine et qu'il puisse disculper au moins quelques noms du dossier...
Sans l'ADN un nombre hallucinant de crimes seraient irrésolus. Et combien d'innocent en prison ?
Malheureusement cela rend les criminels beaucoup plus méticuleux également.
C'est beau toutes ces grandes avancées, elles donnent espoir, que ce soit en matière criminelle mais pas seulement.
Espérons que cet ADN partiel bénéficie des avancées dans ce domaine et qu'il puisse disculper au moins quelques noms du dossier...
Sans l'ADN un nombre hallucinant de crimes seraient irrésolus. Et combien d'innocent en prison ?
Malheureusement cela rend les criminels beaucoup plus méticuleux également.
Pondyness
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Merci Lisetoct.
D’après une étude de population adéquate, la probabilité d’obtenir les allèles 8 et 8 pour le marqueur TPOX est de 0,28. La probabilité d’obtenir les allèles 6 et 7 pour le marqueur TH01 est de 0,07. La probabilité d’obtenir les allèles 5 et 8 pour le marqueur VWA est de 0,05. En supposant que les probabilités sont indépendantes, la probabilité d’obtenir ces allèles simultanément pour ces trois marqueurs est donc de 0,28 x 0,07 x 0,05 = 0,00098 = P (E/Hd).
As tu un lien qui permettrait de connaitre la probabilité de posséder tel ou tel allèle?
D’après une étude de population adéquate, la probabilité d’obtenir les allèles 8 et 8 pour le marqueur TPOX est de 0,28. La probabilité d’obtenir les allèles 6 et 7 pour le marqueur TH01 est de 0,07. La probabilité d’obtenir les allèles 5 et 8 pour le marqueur VWA est de 0,05. En supposant que les probabilités sont indépendantes, la probabilité d’obtenir ces allèles simultanément pour ces trois marqueurs est donc de 0,28 x 0,07 x 0,05 = 0,00098 = P (E/Hd).
As tu un lien qui permettrait de connaitre la probabilité de posséder tel ou tel allèle?
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
2023
Bonsoir,
Dans l'affaire Rançon, les experts avaient retrouvé un ADN partiel sur le soulier de Mokhtaria, c'est grâce au logiciel du FBI qui permet de comparer des ADN partiel avec ceux de la base du FNAEG, que l'ADN partiel a "matché" avec Rançon.
Est-ce que cela a été effectué ici, vu qu'ils ont un ADN partiel ?!
Bonsoir,
Dans l'affaire Rançon, les experts avaient retrouvé un ADN partiel sur le soulier de Mokhtaria, c'est grâce au logiciel du FBI qui permet de comparer des ADN partiel avec ceux de la base du FNAEG, que l'ADN partiel a "matché" avec Rançon.
Est-ce que cela a été effectué ici, vu qu'ils ont un ADN partiel ?!
Tristanduvar
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Bonjour ,Tristanduvar a écrit:2023
Bonsoir,
Dans l'affaire Rançon, les experts avaient retrouvé un ADN partiel sur le soulier de Mokhtaria, c'est grâce au logiciel du FBI qui permet de comparer des ADN partiel avec ceux de la base du FNAEG, que l'ADN partiel a "matché" avec Rançon.
Est-ce que cela a été effectué ici, vu qu'ils ont un ADN partiel ?!
Bonne question. J'ai eu l'impression que ça dépend des magistrats : certains demandent de l'aide au FBI comme par exemple la juge qui avait instruit le dossier du "prédateur des bois", mais d'autres non .D'où, le rôle fondamental du juge d'instruction . Au pôle de Nanterre , on peut espérer que tous les moyens disponibles seront utilisés. .
Lisetoct
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
D'après BFM Police-Justice,
"Seulement six paires de la chaussure à laquelle cette empreinte appartenait ont été vendues en France, dont une sur un marché d'Amboise, à quelques kilomètres de Vernou. Mais l'acheteur avait payé en liquide."
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J'ai la désagréable sensation que le tueur est un local, et non un routard du crime. J'espère vraiment que justice sera faite à ces deux octantenaires.
"Seulement six paires de la chaussure à laquelle cette empreinte appartenait ont été vendues en France, dont une sur un marché d'Amboise, à quelques kilomètres de Vernou. Mais l'acheteur avait payé en liquide."
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J'ai la désagréable sensation que le tueur est un local, et non un routard du crime. J'espère vraiment que justice sera faite à ces deux octantenaires.
« À aucun moment, vous n’avez envisagé que cette viande dans le frigo... soit votre mère ? »
Tristanduvar
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
A Vernou-sur-Brenne, le « cold case » des époux Drouvin rouvert dix-huit ans plus tard
Le pôle des crimes sériels ou non élucidés du tribunal de Nanterre, qui vient d’achever sa première année d’existence, s’est emparé d’une enquête au point mort, celle de l’assassinat d’un couple d’octogénaires, dans l’Indre-et-Loire, en 2004.
Le pôle des crimes sériels ou non élucidés du tribunal de Nanterre, qui vient d’achever sa première année d’existence, s’est emparé d’une enquête au point mort, celle de l’assassinat d’un couple d’octogénaires, dans l’Indre-et-Loire, en 2004.
Une église, deux charcuteries, une auto-école, une maternelle… Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire) est un village de Touraine tranquille, plutôt joli, planté au milieu des coteaux de Vouvray où la vigne pousse à perte de vue.
A sa sortie, sur les hauteurs près du cimetière, le lieu-dit du Bois-du-Pavillon abrite pourtant le souvenir d’un crime épouvantable qui a marqué les mémoires. Le 9 août 2004, un couple est retrouvé assassiné : Robert Drouvin, 84 ans, a été très violemment frappé au visage avec un « objet contondant » qui fait penser à un marteau, puis son corps a été caché sous une bâche devant sa maison. Sa compagne, Marianne Kubala, 83 ans, est retrouvée plus loin, face contre terre, culotte baissée, morte « de suffocation liée à un stress intense », explique l’avocat de sa famille, Me Xavier Brunet, qui ajoute que la vieille dame « a sans doute été violée post mortem ». L’enquête durera jusqu’en 2012, mais n’aboutira pas et sera clôturée par le procureur de Tours.
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Une affaire bien glauque....
Un abonné au Monde ?!
Merci,
Le pôle des crimes sériels ou non élucidés du tribunal de Nanterre, qui vient d’achever sa première année d’existence, s’est emparé d’une enquête au point mort, celle de l’assassinat d’un couple d’octogénaires, dans l’Indre-et-Loire, en 2004.
Le pôle des crimes sériels ou non élucidés du tribunal de Nanterre, qui vient d’achever sa première année d’existence, s’est emparé d’une enquête au point mort, celle de l’assassinat d’un couple d’octogénaires, dans l’Indre-et-Loire, en 2004.
Une église, deux charcuteries, une auto-école, une maternelle… Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire) est un village de Touraine tranquille, plutôt joli, planté au milieu des coteaux de Vouvray où la vigne pousse à perte de vue.
A sa sortie, sur les hauteurs près du cimetière, le lieu-dit du Bois-du-Pavillon abrite pourtant le souvenir d’un crime épouvantable qui a marqué les mémoires. Le 9 août 2004, un couple est retrouvé assassiné : Robert Drouvin, 84 ans, a été très violemment frappé au visage avec un « objet contondant » qui fait penser à un marteau, puis son corps a été caché sous une bâche devant sa maison. Sa compagne, Marianne Kubala, 83 ans, est retrouvée plus loin, face contre terre, culotte baissée, morte « de suffocation liée à un stress intense », explique l’avocat de sa famille, Me Xavier Brunet, qui ajoute que la vieille dame « a sans doute été violée post mortem ». L’enquête durera jusqu’en 2012, mais n’aboutira pas et sera clôturée par le procureur de Tours.
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Une affaire bien glauque....
Un abonné au Monde ?!
Merci,
Tristanduvar
Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala
Je l'avais pas partagé car il n'y a rien d'intéressant qu'on ne sache déjà:
Des avocats, trois juges d’instruction, un vice-procureur, des greffiers et des officiers de police judiciaire ont été délégués au pôle « cold case » du palais de justice de Nanterre. TRIBUNAL DE NANTERRE
Une église, deux charcuteries, une auto-école, une maternelle… Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire) est un village de Touraine tranquille, plutôt joli, planté au milieu des coteaux de Vouvray où la vigne pousse à perte de vue.
A sa sortie, sur les hauteurs près du cimetière, le lieu-dit du Bois-du-Pavillon abrite pourtant le souvenir d’un crime épouvantable qui a marqué les mémoires. Le 9 août 2004, un couple est retrouvé assassiné : Robert Drouvin, 84 ans, a été très violemment frappé au visage avec un « objet contondant » qui fait penser à un marteau, puis son corps a été caché sous une bâche devant sa maison. Sa compagne, Marianne Kubala, 83 ans, est retrouvée plus loin, face contre terre, culotte baissée, morte « de suffocation liée à un stress intense », explique l’avocat de sa famille, Me Xavier Brunet, qui ajoute que la vieille dame « a sans doute été violée post mortem ». L’enquête durera jusqu’en 2012, mais n’aboutira pas et sera clôturée par le procureur de Tours.
Ce dossier refait surface aujourd’hui à la faveur de la création du pôle cold case du tribunal judiciaire de Nanterre. Cette structure fêtera ses 1 an d’existence le 24 mars, à l’occasion d’une journée de colloque à l’université Paris-Nanterre. Piloté par trois juges d’instruction à la réputation exemplaire – Sabine Khéris, Nathalie Turquey et Emmanuelle Ducos –, le tout nouveau dispositif est chargé de reprendre des enquêtes au point mort.
Corinne Herrmann, qui défend dix familles dont les affaires ont été « remontées » au pôle, raconte son combat depuis des années pour la création d’un tel service : « Ce sont des affaires comme celle d’Estelle Mouzin, des parcours comme celui de Michel Fourniret ou de Nordahl Lelandais qui ont rendu sa création indispensable. »
« Ce sont des affaires comme celle d’Estelle Mouzin, des parcours comme celui de Michel Fourniret ou de Nordahl Lelandais qui ont rendu la création [du pôle] indispensable. » Corinne Herrmann, avocate
Dans le bâtiment du palais de justice de Nanterre, un espace de 355 mètres carrés a été spécialement rénové pour accueillir la petite équipe, et une nouvelle salle, destinée à stocker les scellés, est « presque prête ». « Le pôle centralise les meilleurs savoirs et les techniques les plus pointues, qui permettront d’avancer plus vite. Mais ce n’est pas toujours la technique qui fait sortir les éléments. Pour certaines familles, l’espoir est la seule arme qui reste, et ce pôle est un grand espoir, oui… », poursuit l’avocate.
Déjà 77 procédures sont en cours, sur les 222 que les magistrats ont identifiées dans toute la France pouvant relever des compétences de la structure : « la non-élucidation, la possibilité d’une sérialité et-ou la complexité de l’affaire, ainsi que la vulnérabilité des victimes ». « Nous affinons notre esprit critique, et la relecture des dossiers doit nous permettre de mettre en place une véritable mémoire criminelle », explique le procureur de Nanterre, Pascal Prache.
Méfiants à l’extrême
A Vernou-sur-Brenne, où la nouvelle de la réouverture du dossier s’est répandue comme une traînée de poudre, l’évocation de l’affaire autour de la table de Roger et Monique Hurson fait encore pleurer l’ancien garagiste de 88 ans, ami du couple.
« Nous venions de rentrer de vacances et passions leur déposer les confitures de prunes de l’été… C’est nous qui avons découvert le drame avec la femme de ménage. Depuis, je suis l’affaire, j’ai gardé des articles de journaux », raconte Monique Hurson, qui avoue un goût pour les émissions de faits divers depuis cet été 2004, comme un plaisir coupable.
Robert Drouvin, issu d’une famille plutôt bourgeoise, était originaire de Béthune (Pas-de-Calais) ; cet ingénieur avait déposé plusieurs brevets qui lui rapporteront pas mal d’argent. Il quitte sa femme et ses trois enfants dans les années 1960 pour Marianne Kubala, l’employée de maison polonaise de la famille. Dans le village, on dit d’eux qu’ils étaient méfiants à l’extrême et qu’elle restait toujours dans la voiture, assise sur la banquette arrière, quand ils allaient au marché le jeudi matin. « Ce qui se disait, c’est que Robert Drouvin était sur des dossiers sensibles, un peu comme l’ingénieur qui dérange… On en a parlé plusieurs semaines, puis plus rien », raconte Daniel Legrand, un artiste peintre du village.
Aujourd’hui, pour trouver la grande bâtisse construite par Robert Drouvin dans les années 1970 et posée au milieu d’un bois, il faut suivre la route de Château-Renault qui serpente le long du coteau à la sortie du bourg, et prendre la direction du paintball installé dans la propriété, rachetée aux enfants Drouvin en 2010 par Jean-Christophe Magne. « L’agence immobilière m’a tout de suite raconté l’affaire, mais à partir du moment où ils n’ont pas été tués dans la maison je n’ai pas eu d‘appréhension particulière », explique l’actuel propriétaire qui s’y est installé avec sa famille. Une demande lui a été faite pour le tournage d’une émission de faits divers il y a quelques années, mais Jean-Christophe Magne a préféré décliner…
Des avocats, trois juges d’instruction, un vice-procureur, des greffiers et des officiers de police judiciaire ont été délégués au pôle « cold case » du palais de justice de Nanterre. TRIBUNAL DE NANTERRE
Une église, deux charcuteries, une auto-école, une maternelle… Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire) est un village de Touraine tranquille, plutôt joli, planté au milieu des coteaux de Vouvray où la vigne pousse à perte de vue.
A sa sortie, sur les hauteurs près du cimetière, le lieu-dit du Bois-du-Pavillon abrite pourtant le souvenir d’un crime épouvantable qui a marqué les mémoires. Le 9 août 2004, un couple est retrouvé assassiné : Robert Drouvin, 84 ans, a été très violemment frappé au visage avec un « objet contondant » qui fait penser à un marteau, puis son corps a été caché sous une bâche devant sa maison. Sa compagne, Marianne Kubala, 83 ans, est retrouvée plus loin, face contre terre, culotte baissée, morte « de suffocation liée à un stress intense », explique l’avocat de sa famille, Me Xavier Brunet, qui ajoute que la vieille dame « a sans doute été violée post mortem ». L’enquête durera jusqu’en 2012, mais n’aboutira pas et sera clôturée par le procureur de Tours.
Ce dossier refait surface aujourd’hui à la faveur de la création du pôle cold case du tribunal judiciaire de Nanterre. Cette structure fêtera ses 1 an d’existence le 24 mars, à l’occasion d’une journée de colloque à l’université Paris-Nanterre. Piloté par trois juges d’instruction à la réputation exemplaire – Sabine Khéris, Nathalie Turquey et Emmanuelle Ducos –, le tout nouveau dispositif est chargé de reprendre des enquêtes au point mort.
Corinne Herrmann, qui défend dix familles dont les affaires ont été « remontées » au pôle, raconte son combat depuis des années pour la création d’un tel service : « Ce sont des affaires comme celle d’Estelle Mouzin, des parcours comme celui de Michel Fourniret ou de Nordahl Lelandais qui ont rendu sa création indispensable. »
« Ce sont des affaires comme celle d’Estelle Mouzin, des parcours comme celui de Michel Fourniret ou de Nordahl Lelandais qui ont rendu la création [du pôle] indispensable. » Corinne Herrmann, avocate
Dans le bâtiment du palais de justice de Nanterre, un espace de 355 mètres carrés a été spécialement rénové pour accueillir la petite équipe, et une nouvelle salle, destinée à stocker les scellés, est « presque prête ». « Le pôle centralise les meilleurs savoirs et les techniques les plus pointues, qui permettront d’avancer plus vite. Mais ce n’est pas toujours la technique qui fait sortir les éléments. Pour certaines familles, l’espoir est la seule arme qui reste, et ce pôle est un grand espoir, oui… », poursuit l’avocate.
Déjà 77 procédures sont en cours, sur les 222 que les magistrats ont identifiées dans toute la France pouvant relever des compétences de la structure : « la non-élucidation, la possibilité d’une sérialité et-ou la complexité de l’affaire, ainsi que la vulnérabilité des victimes ». « Nous affinons notre esprit critique, et la relecture des dossiers doit nous permettre de mettre en place une véritable mémoire criminelle », explique le procureur de Nanterre, Pascal Prache.
Méfiants à l’extrême
A Vernou-sur-Brenne, où la nouvelle de la réouverture du dossier s’est répandue comme une traînée de poudre, l’évocation de l’affaire autour de la table de Roger et Monique Hurson fait encore pleurer l’ancien garagiste de 88 ans, ami du couple.
« Nous venions de rentrer de vacances et passions leur déposer les confitures de prunes de l’été… C’est nous qui avons découvert le drame avec la femme de ménage. Depuis, je suis l’affaire, j’ai gardé des articles de journaux », raconte Monique Hurson, qui avoue un goût pour les émissions de faits divers depuis cet été 2004, comme un plaisir coupable.
Robert Drouvin, issu d’une famille plutôt bourgeoise, était originaire de Béthune (Pas-de-Calais) ; cet ingénieur avait déposé plusieurs brevets qui lui rapporteront pas mal d’argent. Il quitte sa femme et ses trois enfants dans les années 1960 pour Marianne Kubala, l’employée de maison polonaise de la famille. Dans le village, on dit d’eux qu’ils étaient méfiants à l’extrême et qu’elle restait toujours dans la voiture, assise sur la banquette arrière, quand ils allaient au marché le jeudi matin. « Ce qui se disait, c’est que Robert Drouvin était sur des dossiers sensibles, un peu comme l’ingénieur qui dérange… On en a parlé plusieurs semaines, puis plus rien », raconte Daniel Legrand, un artiste peintre du village.
Aujourd’hui, pour trouver la grande bâtisse construite par Robert Drouvin dans les années 1970 et posée au milieu d’un bois, il faut suivre la route de Château-Renault qui serpente le long du coteau à la sortie du bourg, et prendre la direction du paintball installé dans la propriété, rachetée aux enfants Drouvin en 2010 par Jean-Christophe Magne. « L’agence immobilière m’a tout de suite raconté l’affaire, mais à partir du moment où ils n’ont pas été tués dans la maison je n’ai pas eu d‘appréhension particulière », explique l’actuel propriétaire qui s’y est installé avec sa famille. Une demande lui a été faite pour le tournage d’une émission de faits divers il y a quelques années, mais Jean-Christophe Magne a préféré décliner…
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