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Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala

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Message par Colombo Mar 18 Avr - 0:07

Pas une grande fan de bfm mais ici

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La chaîne semble tenir le coupable et nous le sert sur un plateau:

"Un voisin a un temps été dans le viseur, il était semble-t-il en conflit avec Drouvin, ex-ingénieur GDF à la retraite depuis 1975, pour une histoire de brevet technologique. Plusieurs pistes exploitées
L'homme s'était d'ailleurs mis en situation délicate lors de ses auditions par les gendarmes, revenant sur la disposition des corps lors de la découverte. Des éléments qui n'étaient connus que du meurtrier. Plusieurs mois plus tard, une voyante s'était présentée à la gendarmerie affirmant que l'un de ses clients s'était attribué les crimes. Le client n'était autre que le voisin, qui faute d'éléments probants n'a jamais été inquiété".

Les policiers ne peuvent pas le serrer faute de preuve.

Colombo


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Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala - Page 2 Empty Re: Les meurtres de Robert Drouvin et Marianne Kubala

Message par Tristanduvar Mer 20 Mar - 10:53

Double meurtre de Vernou-sur-Brenne : « Il s’en est vanté pour nous menacer »
Suspecté d’avoir tué le couple Drouvin - Kubala avant d’être mis hors de cause, Guy M. est resté habité par le double meurtre de Vernou-sur-Brenne. Des témoignages rapportent les menaces proférées et les allusions au crime d’août 2004.
Difficile de ne pas voir dans sa mort une piste qui s’efface dans l’élucidation du double meurtre de Vernou-sur-Brenne.
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Suspecté d’avoir tué le couple Drouvin - Kubala avant d’être mis hors de cause, Guy M. est mort le 28 février 2024 dans un établissement pour personnes âgées dépendantes de Semblançay, au nord de Tours. L’octogénaire, diminué physiquement et « délirant », selon son entourage, emporte dans sa tombe quelques-uns des derniers espoirs de recueillir des indices qui, vingt ans après, auraient pu permettre d’éclairer le crime jamais élucidé du Bois des pavillons.
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À Vernou-sur-Brenne, les corps de Robert Drouvin et Marianne Kubala avaient été retrouvés le 9 août 2004 dans leur propriété isolée du Bois des Pavillons.
© (Photo archives NR)

« Un jour, il m’a demandé si je savais ce qui était arrivé au couple. C’était de l’intimidation »
Dans l’ombre de Robert Drouvin et Marianne Kubala, retrouvés sans vie en août 2004 dans leur résidence de Vernou-sur-Brenne, Guy M. s’est plusieurs fois invité dans ce dossier judiciaire clôturé en 2012 puis réouvert dix ans plus tard (1).

« Cette affaire et ce double crime, non seulement il s’en est vanté mais il s’en est servi pour nous menacer », se souvient une voisine, qui l’a fréquenté de 2018 à l’hiver dernier. « Dans un accès de colère, il avait hurlé dans la cour “ j’ai été impliqué dans un double meurtre ! ”. » Des agissements confortés par la propriétaire du studio qu’il louait à Saint-Pierre-des-Corps. « Un jour où nous nous opposions, Monsieur M. m’avait demandé si je savais ce qui était arrivé au couple Drouvin - Kubala. C’était de l’intimidation. » Des mains courantes avaient été déposées.

Celui que l’enquête avait fini par désigner comme « l’inventeur fou » avait été placé sous le statut de témoin assisté en octobre 2006. On lui aurait prêté un conflit avec Robert Drouvin, ingénieur à GDF à la retraite, pour une histoire de dépôt de brevet.

Une cartomancienne qu’il avait consultée avait rapporté aux gendarmes de Vouvray les confessions de ce géo trouvetou un peu farfelu, qui se serait incriminé du double meurtre devant elle. Entendu par les militaires, Guy M. s’était montré dissert et précis, notamment quant à la position dans laquelle les octogénaires auraient été retrouvés morts. Une information qui, au moment de son audition, n’avait jamais fuité.

Doutes et hypothèses
De nombreuses hypothèses ont émaillé l’enquête de sept ans, qui repose désormais sur les progrès de la science. « Tout ce qui relève de l’exploitation des mélanges d’ADN est relancé, parce que des traces retrouvées sur la scène de crime qu’on ne pouvait peut-être pas analyser à l’époque pourraient parler aujourd’hui », explique une source proche du dossier. Un cheveu, notamment, avait été retrouvé dans la culotte de la défunte, qui aurait été violée avant de mourir.

Une possibilité sur laquelle Guy M. avait été interrogé. « Il n’est pas certain qu’il ait été impliqué, il était surtout très bavard et sans doute un peu dérangé », souffle un avocat.
Une certitude : malgré l’abandon des poursuites, l’octogénaire placé sous curatelle restait attentif aux avancées de l’affaire. Dans son appartement de Saint-Pierre-des-Corps, « un capharnaüm » aménagé sur les quais, des visiteurs se souviennent l’avoir vu ranger « méthodiquement » dans un classeur les coupures de presse en lien avec le double meurtre de Vernou-sur-Brenne.

S’il en cachait, Guy M. emporte avec lui ses secrets. L’enquête, elle, suit son cours, confirme-t-on au Pôle national des crimes sériels ou non élucidés.
(1) Une nouvelle information judiciaire a été ouverte en même temps qu’était créé le pôle « cold case » de Nanterre, en 2022.

Le mystère de la semelle
> Le 9 août 2004, la femme de ménage de Robert Drouvin, 84 ans, et Marianne Kubala, 83 ans, découvre les deux corps. « Monsieur » a le crâne défoncé par un objet contondant. Elle est masquée par un tas de bois, morte de suffocation. Autour de ces morts, de nombreux mystères. Et un indice : une trace de semelle, découverte à l’intérieur de la maison.

> Six paires de ces chaussures en 43 (une pointure plutôt commune, qui correspond à celle de Guy M.) ont été vendues en France, dont trois en Indre-et-Loire. Les deux premiers acheteurs avaient été identifiés. Une seule transaction, réglée sur le marché d’Amboise en liquide, n’avait pu permettre de remonter à son propriétaire.
Tristanduvar
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