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L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne).

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L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne). - Page 12 Empty Re: L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne).

Message par over Mar 14 Avr - 23:31

Aujourd'hui je vais vous expliquer ce qui s'est passé au point 6.

Le vendredi 29 janvier à 13h00 était dans un salon de coiffure unisexe à la ville de Valencia, un des salons les plus fréquentés de la ville qi s'apelle La Peluquería qui est située à la rue Gran Vía de Fernando El Católico 63.
Il était 13h00 où Antonio Anglés s'est rendu là, étant ses caractéristiques physiques un homme très mince avec des lentilles de contact vertes, âgé environ 20 ans, avec un survêtement bleu foncé avec des franges rouges, un sweat-shirt et chaussons sport blancs.
Selon les coiffeuses, la seule chose étrange qu'ils remarquèrent a ce moment était sa nervosité et que la couleur blonde des cheveux seulement teintait le haut de sa tête.

Antonio Anglés a demandé changer ses cheveux sur sa couleur brun foncé naturel. Ensuite, le propriétaire lui indique d'écrire son propre nom sur la feuille de service, (car c'est une règle obligatoire pour chaque client), donc le nom qu'il a écrit n'était pas Antonio Anglés, mais Francisco Partera.
Il voulait également payer d'avance, mais le propriétaire lui a répondu de mieux payer à la fin de la coupe des cheveux.
Antonio Anglés est resté là pendant environ une heure et quinze minutes, et il a dit qu'il aimerait aller à Madrid pour une intervention chirurgicale des pommettes.

Il a essayé de flirter avec une des femmes coiffeuses et il a dit de retourner plus tard pour lui convaincre de coucher, mais Antonio n'avait retourné jamais.
De plus, il a pu écouter comment les clients et les femmes coiffeuses exprimaient sa colère si elles étaient capables de trouver les meurtriers des trois filles.
Mais la chose la plus étrange c'est qu'il n'était pas tout seul, mais accompagné d'un autre jeune homme inconnu qui attendait dehors, et il a entré deux fois pour conseiller à Antonio Anglés que la coupe de cheveux se prolonge plus longtemps que prevu.
Selon les coiffeuses, cet homme inconnu était un peu plus petit qu'Antonio, environ vingt-deux ans, les cheveux rasés de près, et semblait regarder dehors toutes les personnes et les voitures sur la rue.
Les femmes coiffeuses ont compris peu jours après qu'elles avaient teint les cheveux du présumé meurtrier des filles d'Alcasser lorsque la Garde civile a déclaré aux médias le nom de Francisco Partera, pas celui d'Antonio Anglés.

Inexplicablement, la police de la Garde civile n'a jamais demandé aucune des coiffeuses pour leur poser des questions, et il n'y a pas aucun rapport écrit sur ce qui s'est passé dans ce salon de coiffure dans le dossier judiciaire de l'affaire, à l'exception d'un bref document où certains policiers de la garde civile ont indiqué qu'ils étaient allés au salon de coiffure pour poser des questions sept mois plus tard!
Donc, une fois là, ils ont montré des photos d'Antonio Anglés, mais aucune coiffeuse a vraiment pu identifier Antonio comme celui de l'homme misterieux.

Source. Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 366 - 367.

Je ne crois pas qu'un meurtrier des trois filles en fuite est capable d'avoir de la motivation pour flirter avec les coiffeurses, donc je ne crois pas que cet homme était Antonio, mais un homme subalterne sous les ordres de quelqu'un (ou même de l'État) parce que le nom Francisco Partera c'est un lien avec Miguel Ricart et Antonio Anglés.
Je crois qu'il y a anguille sous roche!
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L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne). - Page 12 Empty Re: L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne).

Message par over Mer 15 Avr - 23:48

Il n'y a aucun rapport dans le dossier judiciaire pour la prochaine fois qu'Antonio Anglés aurait été vu au point 7 de la carte.
D'autre part, il y avait quelques journaux qui décrivaient ce qui s'est passé là:

<< Le vendredi 29 janvier 1993 à 21h30 des policiers ont fait irruption dans le petit hôtel Boluda, à côté de la gare Estación del Norte de la ville de Valencia, en portant une photo d'Antonio Angles. Le propriétaire l'a reconnu comme le jeune homme qui avait demandé quelques minutes auparavant une chambre pour passer la nuit.

Le propriétaire a déclaré qu'il l'avait rejeté parce que ce jeune homme n'avait pas sa propre carte d'identité. "Le jeune homme a dit qu'il seulement avait le permis de conduire, alors je lui a dit que je ne voulait pas lui loger une nuit ici car il n'avait pas sa propre carte d'identité".

Le propriétaire a déclaré qu'il ne le reconnaissait pas comme le meurtrier présumé des trois adolescentes, mais une fois que les policiers lui ont montré son portrait, il a déclaré qu'il était fermement convaincu que le jeune homme était vraiment Antonio Anglés. "Il portait un survetement bleu avec deux franges rouges sur les bras, un pantalon léger, des chaussons sport et des cheveux décoiffés qui étaient également repassés", a déclaré le propriétaire du petit hôtel.

Il a également déclaré que le jeune homme ne portait aucun bagage ou colis entre ses mains et "qu'il semblait être très nerveux et avoir peur de quelque chose, alors quand je lui ai dit qu'il ne devait pas être admis, il a départi à toute vitesse. Il faut que j'aie connu son identité, donc dans ce cas j'aurais essayé de l'attraper", a expliqué le propriétaire du Boluda. >>

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 367 - 368.
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Message par over Jeu 16 Avr - 23:41

De la même façon que le point 7, le point 8 n'a pas aucun rapport écrit dans le dossier judiciaire, donc il faut voir quelques journaux pour savoir ce qui s'est passé là:

« Le samedi 30 janvier 1993 à 2h00, dans une maison située à côté du chemin de fer de Villamarchante, près de l'ancienne gare du village, Antonio Anglés a été vu là. Les témoins étaient les membres de trois familles gitans qu'habitaient là depuis 8 mois.
Selon un des témoins oculaires, un jour au milieu de novembre 1992 Antonio Anglés, Roberto Anglés, Mauricio Angles et Miguel Ricart sont arrivés dans une voiture Opel Corsa blanche. "Ils ont décidé de s'installer dans l'ancienne maison du pointeur ferroviaire", justement une petite maison  de 9 m2, alors ils y avaient mis des matelas pour dormir.

Ces quatre jeunes hommes étaient vraiment de bons amis et "ils arrivaient souvent chez nous pour se chauffer avec notre cheminée". Ces gitans se moquaient du fait "qu'ils avaient parfois volé des banques et ils utilisaient beaucoup d'argent".
Cependant, comme ils n'habitaient là régulièrement, ils ont autorisé le chef des gitans pour  entrer chaque fois qu'il aura voulu, "Ils ont occupé la maison avant nous, mais ne l'ont utilisée peu souvent là", a déclaré le chef.

Le samedi 30 janvier à midi, Antonio est arrivé chez nous parce "qu'il a voulu chercher une voiture et qu'il payera au comptant au moment de la vente. Je lui ai répondu affirmativement, puis Antonio Anglés m'a dit qu'il pourrait retourner plus tard à 21h00. ", a expliqué le chef.

À ce moment-là, la police de la garde civile était au courant de la presence d'Antonio car ils avaient suivi Mauricio Anglés, qui s'est rendu à Villamarchante pour se réunir avec son frère tandis qu'Antonio lui a téléphoné aupavarant pour faire ça.
Quand Mauricio est arrivé à la maison des gitans le samedi 30 janvier à 18h00, Mauricio a finalement été arrêté.

Lorsque la police a demandé au chef gitan, il a reconnu qu'il a connu cet individu comme Rubén,mais pas comme Antonio.
"Il nous a dit qu'il s'appelait Rubén", a expliqué le chef des gitans.
La voiture Seat Ritmo était prête à la vente à 22h00 au prix de 130.000 pesetas (environ 618 €), mais Antonio Anglés n'est pas retourné. Peut-être qu'il se cachait dans le plantation contigu des arbres orangers et qu'il a pris de la fuite quand il a vu comme les policiers ont arrêté son frère Mauricio.
Immédiatement, un énorme raid a commencé afin de trouver Antonio Anglés avec un hélicoptère, mais les policiers échouaient. >>

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 368 - 369.
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Message par over Ven 17 Avr - 22:43

Voilà le point 9:

Le 7 février à 3h15, la Garde Civile a reçu un appel téléphonique indiquant que deux garçons situés sur la place de la mairie à Benaguacil avaient vu un homme mince avec une barbe des trois jours, des cheveux noirs courts, un pantalon de survêtement sombre, des bottes à fermeture de couleurs claires et un pull-over bleu clair, et ils pensent qu'il pourrait être Antonio Angles.
Une fois là, les policiers sont partis dans les rues les plus proches et les ils ont pu voir un homme marcher dans la rue San José. L'homme inconnu s'est rendu compte que la police était là, alors il a couru très vite dans certaines rues étroites et les policiers ont laissé leur voiture et ont commencé à courir même en tirant quelques coups de feu en l'air, mais finalement cet homme inconnu se filait tandis qu'il courait vers le périphérie du village. Par le raid qui a eu lieu peu après pour lui poursuivre, ils ont réalisé qu'Antonio Anglés n'était pas là.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 369 - 370.
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Message par over Sam 18 Avr - 23:20

Aujourd'hui je vais vous montrer le point 10 et même aussi une seconde vue au point 9 par autres nouveaux témoins oculaires.

Le 8 février 1993 à 6h30, deux agents de police municipale sont venus au poste de police de la ville de Xativa (au point 10 de la carte) pour témoigner comme suit:

Ils ont dit avoir reçu un appel téléphonique à 6h30 d'un travailleur de la gare ferroviaire, donc il croit avoir vu une personne inconnue qui semble beaucoup à Antonio Anglés. Ensuite, tous les agents de police municipale sont partis à la recherche, mais ils n'ont pas pu trouver cette personne. En téléphonant au travailleur de la gare, qui s'appelle José María Martínez, il a témoigné comme suit:

ll a dit qu'à 4h00 il avait vu un jeune homme cheminer à côté du chemin de fer, puis il lui a demandé d'ouvrir la porte pour entrer et se chauffer pendant un certain temps, mais il l'a rejeté. Puis, à 6h00, cet homme a retourné et a prétendu à nouveau d'entrer, alors il a finalement ouvert la porte. Cet individu lui a dit qu'il était un chasseur, qu'il avait une voiture Opel Kadett blanche et l'avait échoué en raison d'être en panne, qu'il est très faim et l'a demandé quelque chose à manger car il avait de l'argent alors il devrait même lui payer pour ça.

Il lui avait offert du café; ensuite, le jeune homme inconnu a dit qu'il était venu à Xativa pour voir son ami qui s'appelle Richar. Une fois qu'il a allumé la lumière, le travailleur de la gare a remarqué qu'il avait une hache à la ceinture et qu'il avait beaucoup des meurtrissures aux mains et au visage, une barbe de quatre jours et portant un manteau brun. Comme il était complètement mouillé, il a changé certains de ses vêtements par d'autres qu'il avait portés, laissant là un bleu de travail et une chemise à carreaux gris-vert avec des rayures sur le dos et apparemment avec quelques taches de sang. Une fois que le travailleur a vu son visage, ce jeune homme est devenu nerveux et il est parti.

En cherchant dans ce quartier près de la gare les agents de police ont vu un boulanger qui s'apelle Jesús Tortosa qui aurait parlé avec ce jeune homme brièvement, donc les agents ont déduit que le jeune homme pourrait être Antonio Anglés.

Ces vêtements abandonnés par Antonio Anglés à la gare ont été envoyés au poste de police pour une analyse approfondie ultérieure.
Il n'avait jamais été précisé si cette personne était vraiment Antonio Angles ou non, mais chose plus frappant encore était que la Garde civile n'avait jamais envoyé ces vêtements au laboratoire pour mieux analyser ces taches de sang!



Il n'y a aucun rapport dans le dossier judiciaire pour la prochaine fois qu'Antonio Anglés aurait été vu à Villamarchante, au point 9 de la carte de nouveau, donc encore une fois il faut voir les journaux:

<< Le 10 février 1993, on présume que Antonio Anglés s'est caché sous un camion qui a été garé dans une station-service toute la nuit à Villamarchante.
Pendant que le camionneur dormait il a ecouté un bruit, mais il ne pouvait rien voir aucune personne.
Quelques heures après, à l'aube à 8h00, le camionneur se dirigait vers le magasin José Ferrer à Villamarchante. Il a garé le camion devant le magasin et quand le chauffeur était prêt pour distribuer les marchandises, il a vu les pieds de quelqu'un qui était immobile sous le camion, donc le camionneur a cru qu'il était mort et il a couru en avertir tous les travailleurs du magasin, mais une fois devant le camion, Antonio Anglés avait quitté le dessous du camion pour s'enfuir.

Ils pouvaient encore voir les vêtements qu'il portait, juste une veste bleue, des cheveux courts et rouge foncés et plusieurs journaux sous le bras. La personne inconnue qui était présume d'être Antonio Anglés a commencé à courir en rejetant les avertissements des travailleurs. Ensuite, les travailleurs ont pu identifier cette personne comme Antonio Anglés tandis qu'il s'est arrêté pour faire un doigt pour se moquer, puis il avait recommencé à courir jusqu'au les travailleurs et le camionneur l'ont perdu de vue.
Ils ont appelé la Garde Civile et des recherches intensives ont eu lieu autour Villamarchante ce jour, même avec un hélicoptère, mais ils ont encore échoué parce que, encore une fois, Antonio Anglés a pu échapper les agents de police. >>

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 369 - 372.
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Message par over Lun 20 Avr - 0:15

Voilà le point 12.

Le 10 février 1993 à 11h30, un agriculteur qui s'apelle Vicente Golfe a dit que tandis qu'il travaillait près du ravin de Teulada, à Villamarchante, un individu l'a approché par derrière et lui forçant à monter dans sa propre voiture, et à l'intérieur il a dit << Ecoute, s'il vous plait. Je me suis enfui donc je suis persécute par la Garde Civile, alors soyez prudent et tout ira bien >>, et puis l'a demandé de conduire par la autoroute vers Madrid.

Au début du voyage, cet individu l lui touchait le dos sans préciser avec quel objet et lui prendrait avec sa main son col de chemise de façon répétitive, et puis l'agriculteur l'a dit << alors, Antonio, arrête de faire ça >>, donc l'individu a répondu << est-ce que vous me connaissez en raison de la télévision? >>, donc l'agriculteur a repondu affirmativement.
Plus tard, l'individu a dit qu’il est poursuivi par la mort de trois personnes, mais qu’il est innocent; que depuis les 16 ans où il a été libéré d'un centre d'éducation surveillée il a manqué de bol.
Il a ensuite menacé l'agriculteur de ne rien rapporter parce qu'il avait douze frères et qu'ils sont prêts pour se venger. Il a dit aussi qu'il va quitter l'Espagne le plus tôt possible.

Ont était en route près de la ville de Requena quand il faut trouver une station-service pour faire le plein du véhicule. Une fois là, l'individu a demandé de faire le plein et même aussi il a payé 2.300 pesetas (environ 14 €).

Avant d'arriver á Minglanilla, près de certains hangars qui sont à gauche de la autoroute vers Madrid et à droite d' un mur de béton d'environ 2 mètres de haut, il lui a dit d'arrêter à côté du mur, et puis cet individu lui a dit comme suit << soyez libre de retourner à la case départ >>, donc l'agriculteur a retourné à Villamarchante environ 15h45.

L'agriculteur a dit que cet individu mesurait 1,75 cm et portait un survêtement bleu avec une capuche bleu foncé , une visière longue qui couvert jusqu'aux yeux, très mince, avec cheveux courts et noirs, émacié, avec une longue barbe et avec des meurtrissures parmi lesquelles certaines infectées.

L'agriculteur a dit aussi qu'il portait deux sacs en plastique de couleur blanche ignorant son contenu, et qu'il il a du avoir une certaine quantité de pain parce qu'il l'a vu manger.

L'agriculteur a dit que la seule chose que cet individu lui a volé c'est une couverture qu'il a pris parce que le temps était très froid.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 372 - 374.
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Message par over Lun 20 Avr - 22:53

Il y avait plusieurs observations d'Antonio Anglés ou quel que soit cet individu sur le point 12 de la carte à Minglanilla et aux alentours.

Le premier témoin oculaire était un garçon serveur qui s'apelle Ricardo Medina qui travail au Restaurant La Casona à Minglanilla.
Il a dit que le 11 février 1993 à 17h00, tandis qu'il était dedans le restaurant qui est situé au niveau du point kilométrique 229 de l'autoroute Madrid-Valencia, a pu observer quand un camion de plaque d'immatriculation de Barcelona ralentait la vitesse sur l'esplanade contiguë au restaurant comme un individu a quitté le dessous du camion là, et puis, lorsque cet individu avait cheminé à pied vers l'arrière du restaurant au travers des vignoles vers le sens de Madrid, donc parallèlement à l'autoroute, il a tourné vers le contigu Restaurant Terry. Puis, le garçon serveur a alors pris la decision de regarder cet individu avec des jumelles jusqu'à il l'a perdu de vue.

Il a dit qu'une fois qu'il avait vu ce genre étrange de comportement, il a téléphoné la poste Garde Civile du village.

Il a dit qu'il n'a pas reconnu cette individu comme Antonio Anglés parce qu'il na pu observer son visage, mais il a dit que cet individu portait un bleu de travail, des chaussures Pataugas couleur marron, une casquette couleur marron, un sac blanc sous le bras gauche, une barbe pas touffue, qu'il était mince, de grand dimension, que cet individu semblait ne pas avoir peur de rien et même aussi pas de nervosité.

Les enqueteurs pensaient qu'il a tenté de se cacher dessous un camion au Restaurant Terry pour continuer vers Madrid, mais quand il a pu constater que le camion est parti vers Valencia, il quittait au fur et à mesure quand le camion était dans l'esplanade du Restaurant La Casona pour mettre le cap vers la voie d'accélération de l'autoroute sens Valencia.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 374 - 375.
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Message par over Mar 21 Avr - 22:52

Voilà la poursuite du point 12 avec le suivant témoin oculaire qui s'apelle Pedro Requena, qui est le propietaire du Restaurant Terry à Minglanilla.

Il a dit que le 10 février 1993 à 14h30 il a pu observer pour la première fois dans le parking du restaurant un homme qui portait un bleu de travail, une casquette et un sac couleur claire sous le bras gauche.
Cet homme est resté là pendant trois heures en cheminant d'un côté à l'autre autour du restaurant et même aussi au bord de l'autoroute.

Alors, il a décidé d'aller voir lui-même ce que cet homme veut en conduisant son propre véhicule Citroën C-15 pendant 300 mètres, donc une fois là il l'a dit << Bonsoir. Qu'est-ce que vous voulez? >>, donc l'homme inconnu lui a repondu << Bonsoir. Ma voiture a tombée en panne et je veux arriver à cet hermitage là. Est-ce que vous pouvez m'emmener là?>>
Tandis que cet hermitage est situé seulement 100 mètres plus loin le propietaire a repondu négativement, et à ce moment l'homme inconnu s'est battu pour arracher la voiture C-15 du propietaire, donc l'homme inconnu l'a obtenu et puis il est parti tout seul vers l'autoroute sens Madrid.

Selon le propietaire, cet homme inconnu qui avait volé sa propre voiture C-15 couleur gris était mince, environ 26 ans, d'haute taille environ 170 cm, avec cheveux chätain claire et avec le teint du visage assez claire.

Il à également dit que des qu'ils eurent battu, il a perdu un de ses chaussures dans la voiture en raison de leur lutte là tandis qu'il a été expulsé de sa voiture par l'homme inconnu.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 376 - 377.
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Message par over Mer 22 Avr - 22:11

Le 12 février 1993 quelques enquêteurs de la Garde Civile de Patraix sont partis vers Minglanilla (au point 12 de la carte) avec l'agriculteur Vicente Golfe pour mieux connaisser le lieu où il a emmené Antonio Anglés.

Alors, une fois là, ils ont trouvé la couverture, un couteau, une bouteille en plastique de deux litres avec de l'eau. Environ 60 mètres plus loin, il y avait deux sacs en plastique contenant une bouteille de Cola-Cao (chocolat en poudre) un paquet de kilo de sucre, une bouteille de crème Cola-Cao (chocolat épais), des noix, des noisettes, un mix de fruits secs, une pièce de salami et une pièce de chorizo. Lorsque ces chosses ont été présentées au agriculteur Vicente Golfe il a reconnu comme de sa propriété la couverture et la bouteille de deux litres.

On peut croire qu'Antonio Anglés aurait pu avoir besoin d'utiliser la couverture pour les nuits froides de février et même aussi la nourriture et le couteau pour mieux survivre aux interpéries, mais, inexplicablement, ces choses sont abandonnées par l'homme fugitif quand Vicente (l'agriculteur) était parti chez lui.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 377 - 378.
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Message par over Jeu 23 Avr - 22:58

Le 14 février 1993 la Garde Civile ont trouvé la voiture C-15 du propietaire du Restaurant Terry sept kilomètres plus loin du restaurant, juste au milieu d'un vignoble qui est situé environ 400 mètres perpendiculaire à la hauteur kilométrique 220 de l'autoroute A-3 dans la commune de Graja de Iniesta.

Lorsque les agents de la Garde Civile avaient été prêtes d'inspecter la voiture, ils ont trouvé que la clé de contact n'est pas attachée; la porte du conducteur était fermée et toutes les autres portes étaient ouvertes; ils ont trouvé une chaussure qui, après avoir été vue par le monsieur propriétaire du véhicule, l'identifie comme la sienne; quelques miettes de pain au-dessus du siège du conducteur et même aussi la radio-cassette était allumée.

Après avoir été examinée par les enquêteurs, ils n'avaient pu trouver pas aucune empreinte digitale là.
Le propriétaire de la voiture a dit que le niveau du carburant n'ont pas descendu, raison pour laquelle ils croiaient que la distance parcourue par le fugitif était très courte.

Après ce moment, la Garde Civile n'a trouvé pas aucun récit d'observation d'Antonio Angles au territoire espagnol. C'est comme si le fugitif a disparu dans la nature de façon non prévue.

Cependant, selon un journal de Valencia un autre objet avait été trouvé:
<< Près d'une centaine des agents policiers à bord des motos tout terrain et des chiens dressés ont inspecté les alentours de la autoroute pour 20 kilomètres entre Minglanilla et Motilla, et ils ont trouvé le bleu de travail du fugitif dans un endroit connu comme Tierra Pajiza, situé dans la campagne entre les villages de Graja de Iniesta et Castillejo de Iniesta, environ 20 kilomètres à l'ouest de Minglanilla. >>

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 378 - 380.
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Message par over Ven 24 Avr - 23:02

Le 1 mars 1993 à 10h30 le monsieur Julio Planchat, propietaire d'une maison de résidence sécondaire près de Benaguacil (donc près du point 9 de la carte) est arrivé au commissariat de la Garde Civile, et il va témoigner un indice de la présence présumé d'Antonio Anglés chez lui qui a eu lieu en fin de mois de février.

Selon Julio Planchat, sa maison sécondaire était inhabitée depuis le 24 janvier 1993 jusqu'au 28 février 1993.
Julio Planchat a déclaré que le 28 février 1993 à 13h00, il arriva à sa maison sécondaire et une fois là-dedans il a pu observer que le coupe-circuit était allumé donc il a été très étonné. Il a également pu observer que certains objets ont été déplacés dans la salle à manger; il a remarqué l'absence de deux sacs de couchage; il y avait des boîtes de nourriture vides dans la cuisine; un pantalon bleu foncé, un pull-over marron clair et un pull-over gris clair sous le lit; il y avait un portefeuille marron à côté du lit avec cinq portraits photos; la salle de bain et un des lit ont été utilisée par l'intrus.
Non seulement il a pu constater l'absence de deux sacs de couchage, mais en plus quelque nourriture comme des noix, des amandes, des noisettes et peut-être un paquet de sucre, une bouteille de ColaCao (chocolat en poudre) et quelques saucisses de porc.
Il a dit que la porte principale n'était pas forcée, mais qu'une porte au premier étage donne accès à une terrasse.


Le 1 mars 1993 à 12h00 quelques agents de la Garde Civile ont arrivé à la maison sécondaire de Julio Planchat pour mieux enquêter les traces de l'intrus.
Il a été constaté que l'intrus a entré dans la maison en raison de forcer la porte qui donne accès à la chambre au premier étage par la terrasse.
Les enquêteurs ont cru que l'intrus se cachait dans la maison pendant un jour ou deux, et cela pourrait arriver aux premiers jours de février car le portefeuille et les portraits montraient des signes de mouille, et le temps était pluvieux au début de février.
Les enquêteurs ont constaté que les cinq portraits appartenaient à Antonio Anglés, quatre d'entre eux avec des cheveux noirs et l'autre avec des cheveux blonds teints.
Dans une des salles de bain il y avait un morceau de papier hygiénique qui pourrait avoir des traces de sang.
Dans la salle à manger il y avait deux cendriers plein de mégots et une bouteille de whisky vide par l'intrus.

Deux jours après, Julio Planchat est arrive au commissariat pour dire qu'il a pu constater l'absence d'un montre de sa femme dont le prix est 18.000 pesetas (environ 108 €), et qu'il a trouvé quelque argent dans une armoire, juste 50.000 pesetas (environ 300 €) qui n'appartenaient pas aux membres de la famille de Julio Planchat.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 381 - 386.

Malheuresement, aucune empreinte digitale d'Antonio Anglés a été trouvé dans la maison sécondaire de Julio Planchat à Benaguacil, ce qui semble trop ilogique.
Alors, pourquoi est-ce que un fugitif très habile pour s'evader de la police et très soigneux pour ne laisser des empreintes digitales a pu oublier cinq portraits photos chez Julio Planchat et des traces de sang sur un morceau de papier hygiénique?

Voilà toutes les incohérences du fugitif:
Très habile pour semer la police, très soigneux pour ne laisser pas des empreintes digitales, très fuyant pour être inaperçu pour 750 kilomètres dépuis Minglanilla jusqu'à Lisbonne; mais il semble d'avoir la tête en air pour oublier les morceaux de papier de son frère Enrique à côté de la fosse et pour oublier les cinq portraits sur une table et quelque argent dans l'armoire chez Julio Planchat, très décontracté pour admettre au agriculteur qu'il est vraiment Antonio. Très audacieux comme s'il s'asseyait dessus pour cheminer dans les rues bondées de la ville de Valencia. Et très audacieux pour tenter de flirter dans la sallon de coiffure.

Et d'autre part la Garde Civile semblait être maladroit partout pour le capturer!
Ce récit n'a pas de sens pour un fugitif qui a pris de la fuite pour la meurtre des trois filles pendant la plus grand opération policière dans l'histoire récente de l'Espagne!
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Message par over Sam 25 Avr - 22:34

À ce moment, les enquêteurs ont élaboré un rapport sur Antonio Anglés lequel inclut quelques informations qui avaient été apportés par deux voies, donc la première par Miguel Ricart et par autres copains de la cellule d'Antonio Anglés, et la deuxième par deux de son frères:

Selon Miguel Ricart et les autres copains de la cellule:
<< Antonio Anglés a été vu nu dans la prison avec un jeune homme.
Il a été attiré par les jeunes filles mineures et il a dit qu'il aimerait les violer par pénetration orale et anale.
Il n'a pas été pas attiré par les femmes adultes.
Il a dit qu'il aimerait faire germer la toxicomanie chez les très jeunes filles, afin de mieux les dominer tout de suite.
Il a utilisé des crèmes, des huiles et d'autres produits pour la peau. Et il aime s'épiler et se travestir. >>

Selon Enrique et Mauricio, comme ils sont allaient réaffirmer pendant le procès:
Enrique Anglés a dit:  << Antonio Anglés a couché avec moi. >>
Mauricio Anglés a dit: << Un jour, quand j'ai ouvert la porte principale de ma maison, j'ai pu observer mon frère Antonio était devant d'un miroir en portant des vêtements féminins, donc je crois qu'Antonio pourrait être homo.
Je me souviens d'un jour quand j'étais petit, Antonio a proposé aux certains de mes amis et moi de lui faire un massage, et puis il allait nous donner 500 pesetas (environ 3 €), et une fois il nous a dit qu'il pourrait nous donner 1000 pesetas (environ 6 €) si on lui faire une branlette. >>


Bien que la suivante observation visuelle du fugitif qui est presumé d'être Antonio Anglés était ailleurs dans la plage portugaise de Caparica (près de Lisbonne) pendant le mois de mars, une autre indice de la présence d'Antonio dans le territoire de l'Espagne est arrivé, mais cette fois c'est un rumeur qui est obtenu d'une manière indirecte, non visuelle et non vérifiée.
Le 9 mai 1993, un habitant de Catarroja (donc la ville où Antonio Anglés habitait) qui s'apelle Ramón Losa a dit qu'il a appris qu'un homme toxicomane qui s'apelle Rubén, qui est aussi un habitant de Catarroja, a hébergé de nos jours Antonio Anglés chez Ruben sans pouvoir préciser des autres choses et c'est tout.
Tandis que pendant le mois de mai la Garde Civile est convaicue que Antonio Anglés est parti ailleurs et tandis que Rubén est décedé peu après de mai 1993 pour la toxicomanie, il n'a pas aucune enquête sur cette indice là.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages: 387 -388.
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Message par over Dim 26 Avr - 22:32

Le 15 mars 1993, il y avait une observation visuelle d'Antonio Anglés à la plage de Caparica, près de la ville portugaise de Lisbonne, donc lorsque les enquêteurs de la Garde Civile étaient arrivés à Lisbonne quelques jours après, ils ont entretenu le témoin oculaire.

Alors, le témoin a dit qu'Antonio Anglés est arrivé à Lisbonne au début de mars et qu'il est resté là jusqu'au 18 mars 1993, le jour quand le fugitif a embarqué sur un navire de nationalité britannique appelé "City of Plymouth" à déstination de la ville irlandaise de Dublin. Et pour faire ça, le fugitif est resté parmi les conteneurs dans le terminal de fret du port de Lisbonne et même aussi il dormait là.
Le 23 mars 1993 à 3h10 pendant le traject maritime, les marins ont découvert un passager clandestin qui est caché dans une cabine, et le même jour à 7h35 il a pu échapper dans un canot pneumatique, donc le fugitif est aidé plus tard par un hélicoptère français pour retourner au navire. Cela aurait eu lieu environ 500 kilomètres (300 milles marins) à l'ouest de la ville française de Bordeaux.
Le 24 mars 1993, quand le navire avait été situé pres de la côte de l'Irlande, le capitaine du navire a appelé la police irlandaise pour arrêter le fugitif. Ce jour à 23h00, lorsque deux agents de police irlandais étaient entrés dans la cabine où Antonio Anglés a été enfermé, ils ont réalisé qu'il n'était pas là. Il a été confirmé que les marins ont vu le fugitif par la dernière fois ce jour à 18h00. Depuis ce jour jusqu'à présent, personne n'a pas pu voir ce fugitif non plus.
Néanmoins, le 25 mars 1993 on été trouvé dans le port de Dublin un gilet de sauvatage appartenant au navire "City of Plymouth".

Avant qu'Antonio Anglés avait quitté le navire pour la première fois, le capitaine lui a pris ses propres cartes d'identité, donc un billet de passager et une carte d'identité au nom de Carlos Joaquín Carvalho, juste le témoin oculaire (et toxicomane aussi) qui a pu observer Antonio Anglés à Lisbonne. Donc, peut-être qu'Antonio Anglés l'avait volé avant d'entrer au navire comme un passeger clandestin.
Le récit d'Antonio Anglés ailleurs semble d'être une légende ou un mythe au lieu d'une histoire bassée sur des faits réels. En fait, il n'y a pas aucun rapport donnée dans le dossier de l'afaire Alcàsser. De plus, selon une référence que la Garde Civile a publiée en mai 1994 Antonio Anglés est disparu à Minglanilla, mais au fil du temps, le récit officiel des médias espagnols incluait la fuite d'Antonio sur les territoires portugaises, maritimes françaises et irlandaises.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 388 - 389.

C'est tout pour la fuite dans le livre, mais je vais vous montrer des plusieurs informations suplémentaires.

Voilà l'entretien que la chaîne généraliste espagnole La Sexta a fait à Kenneth Farquharson Stevens (le capitaine du navire) pendant l'émission de El Fugitivo pendant le mois de février 2018:
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Le capitain a dit qu'une fois que le fugitif avait sauté pour la première fois au golfe de Gascogne il a demandé par un appel d'urgence pour tous les navires les plus prochains pour faire retourner le fugitif au "City of Plymouth", mais c'était un hélicoptère français de Bordeaux qui est arrivé là.
Je crois fermement que ce fait a été publié par les journaux de Bordeaux un ou deux jours après le 23 mars 1993. C'est courant que quand un incident de sauvetage sur le mer arrive, les journaux de la prochaine ville la plus grande donnent ces informations, donc qui sait? Peut-être aussi qu'il y a encore un rapport écrit sur cet incident dans les archives de la base hélicoptère bordelaise. Alors, ce que je crois comme presque impossible c'est la posibilité que le sauvateur qui a descendu l'hélicoptère pour aider le fugitif sur la mer serait sourvenu que ce fugitif était Antonio Anglés. Il aurait été une excellente idée de lui montrer un portrait d'Antonio Anglés pendant 1993  pour mieux élucider l'identité du fugitif, mais aujourd'hui c'est trop tard pour ça.
Est-ce que les principaux journaux de Bordeaux ont ses publications des annes 90 disponibles en ligne sur Internet? Est-ce que vous pouvez m'aider s'il vous plait?

En poursuivant avec la video du capitain du navire, il a dit que quand les agents de la police irlandaise étaient arrivés au navire aucun d'entre eux lui ont montré le portrait d'Antonio Anglés, donc il faut se demander si à ce moment les enquêteurs espagnols (qui a ce moment avaient été déjà courus sur la posibilité d'Antonio Anglés comme passeger clandestin depuis Lisbonne) ont échangé des informations sur ce fugitif avec les agents de police irlandais.
D'autre part, comment est-t-il possible que le capitain était capable de rappeller le visage d'Antonio avec son look bruin après 25 ans tandis qu'il a affirmé qu'il n'a jamais vu aucun des portraits d'Antonio jusqu'au les journalistes espagnols sont arrives chez lui?
Le capitain a également dit en février 2018 qu'il a soupçonné qu'un de ses marins aurait pu aider Antonio Anglés à quitter le navire près de Dublin parce que la porte du cabine du passeger clandestin était correctement bloquée avec une planche, mais finalement il ne veut pas lui dénoncer.
Est-ce que le fugitif s'a noyé? Est-ce qu'il aurait pu arriver à la plage de Dublin à la nage?
Neanmoins, le capitain n'a rien dit quelque chose de soupçonner d'un de ses marins en mars 1993.
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Message par over Mar 28 Avr - 1:04

Le 9 février 1993 les enquêteurs ont démande le juge pour se réunir avec Miguel Ricart dans la prison à Castellón pour questioner Miguel Ricart sur les faits pour élucider la localisation d'Antonio Anglés, mais la réunion n'a pas donné les résultats escomptés. D'autre part, selon les enquêteurs, Miguel Ricart a dit qu'ils ont violé les filles dans le première étage de la maison à La Romana, qu'il a pu aider Antonio pour mieux les violer en raison de prendre chacune d'elles par les chevilles, qu'Antonio les a introduit des bâtons par leurs orifices et que le jour suivant Antonio a tué chacune d'elles sur la fosse.
En raison de ce nouveau récit, les enquêteurs ont conseillé Miguel Ricart pour témoigner devant le juge, ce qu'il a fait le 2 mars 1993.
Je vais le traduire résumement en évitant les faits les plus horribles:
Miguel Ricart a dit que ce n'est pas vrai que pendant le trajet vers la discothèque Coolor (avant de kidnapper les filles) Antonio a porté un pistolet, mais un couteau; que quand ils ont dépassé Coolor elles ont protesté et Antonio a donné des coups de poing aux filles; une fois que les filles ont quittée la voiture avec Antonio Anglés il n'a pas pu identifier si certaines dents des filles étaient cassées; il y avait de sang en coulant leurs lèvres et leurs nez.

Miguel Ricart a également dit qu'ils sont partis vers La Romana selon la volonté d'Antonio en conduisant la voiture Opel Corsa blanche; qu'il a peur d'Antonio parce qu'il y a longtemps qu'Antonio aurait dit de torturer, tuer et enterrer quelques filles; qu'ils ont arrêté la voiture à côté des ruches et ils ont chéminé à pied par 400 mètres vers la maison abandonnée en fille indienne, étant lui-même le premier avec une lanterne, après les trois filles et après Antonio Anglés avec une autre lanterne.
Miguel Ricart a dit qu'une fois dedans la maison abandonnée ils sont allés au premier étage et y ont allumé une lanterne avec lumière rouge pour éviter d'être découvertes de l'extérieur; qu'il a averti Antonio de ne pas en faire ce qu'Antonio a dit il y a longtemps, mais Antonio l'a ignoré; qu'Antonio a frappé d'une façon répétitive avec un bâton à Miriam et à Desirée Hernandez tandis qu'elles étaient attachées à un poteau là, tandis que lui-même a pris Toñi par le bras; qu'Antonio a jeté Toñi sur un matelas et l'a violé avec son penis et avec un bâton; qu'Antonio a fait les mêmes horribles choses avec Desirée, et après, une fois qu'Antonio avait attaché les trois filles au poteau, ils sont partis vers un bar du village de Catadau pour achêter deux sandwichs, une salade, une bière et une bouteille d'eau et ils ont retourné à La Romana où ils ont dîné.

Miguel Ricart a dit qu'Antonio a fait les mêmes horribles choses avec Miriam et puis ils ont dormi, mais en raison des déchirants pleurs des filles Antonio les a frappé très fortement, et puis Antonio est parti vers l'extérieur pour 10 minuits et il a rétourné avec un pistolet pour effrayer les filles pour rester en silence, et puis ils ont dormi. Quand l'aube avait arrivé, Antonio est parti vers l'extérieur pour trois heures tandis que Miguel Ricart les surveille. À ce moment, les filles lui ont demandé de la clémence et lui dit qu'elles ne rapporteront pas à condition qu'il les permettent la liberté, mais Miguel Ricart a dit que c'est impossible parce qu'Antonio lui tuerait.

Miguel Ricart a dit qu'une fois qu'Antonio avait rétourné il lui a dit de descendre au rez-de-chaussée, Antonio lui dit de tuer et enterrer les filles dans une fosse qu'il a déjà fait, donc une fois qu'Antonio eut dit ça Miguel lui a démande de la clémence pour les trois filles, mais Antonio l'a refusé. Puis, ils sont restés au première étage là jusqu'à 15h00, quand Antonio a ordonné de partir vers l'extérieur. En raison de que les filles ont été très blessées elles ont besoin d'aide pour chéminer, mais à mi-chemin Antonio lui dit de rétourner à la maison pour prendre un tapis. Quand ils étaient arrivés à la fosse les trois filles ont commencé a crier pour la clémence, mais Antonio les a frappé avec deux pierres enveloppées dans un tee-shirt, et puis a poignardée Desirée sur le dos.

Quand Antonio avait été prêté pour tirer les filles, le pistolet a été enrayé, puis le premier coup de feu est tombé dans la fosse, et finalement Antonio à tué chacune d'elles. Puis, Antonio a laissé le tapis dans la fosse, puis il a laissé chacune des filles et ils ont couvert la fosse avec la terre et finalement ils ont placé quelques arbustes pour mieux disimuler la terre remuée. Ensuite, ils ont ramassé les trois douilles, le pic, la binette, les deux lanternes, et puis ils sont partis ver l'autre maison abandonné qu'ils connaissaient près d'Alborache, un village qui est situé environ 30 kilomètres vers le nord de La Romana.
Après d'avoir fini le récit des faits le fiscal l'a démande quelques choses, comme par exemple s'ils avaient connu les trois filles pendant la periode antérieure au 13 novembre 1992, mais Miguel Ricart a dit << non >>. Quand on lui ai montré quelques photos de la maison abandonnée à La Romana, Miguel Ricart a dit qu'il ne peut pas s'expliquer pourquoi le matela n'a pas de sang quand il se souvient q'il y avait beaucoup de sang partout. Miguel Ricart a également dit qu'il ne se souvient pas du moment quand Antonio aurait arraché le mamelon gauche de Desirée.

Quelques ans après, Miguel Ricart a dit que ce récit ce jour là n'est pas sa propre expérience, mais que les agents de la Garde Civile lui ont torturé dans la prison de Castellón et que tout le récit vient de ce que les agents lui ont oblige pour témoigner devant la justice.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 390 - 402.
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Message par over Mar 28 Avr - 22:54

Il y avait un détail dans le témoignage de Miguel Ricart qui a attiré l'attention des enquêteurs. C'était le fait qu'Antonio et Miguel Ricart ont pris la voiture pour partir vers un bar de la petite ville de Catadau en laissant les trois filles attachées toutes seules à un poteau pendant deux heures, juste pour acheter des plats à emporter et pour les dîner à La Romana tout de suite. Alors, les enquêteurs sont partis vers le Bar El Parador à Catadau pour mieux savoir ce qui s'est passé là.

Voilà ce que le suivant rapport écrit de la Garde Civile relate:
<< Miguel Ricart a dit qu'ils sont partis vers le Bar El Parador à Catadau le 13 novembre 1992 peu après de minuit pour dîner, et qu'ils ont entré ensemble dans le bar et ils ont acheté trois sandwichs, une salade et une boisson à emporter, et le propietaire du bar, Antonio Ortega, et sa femme, Ana Cabrera, sont d'accord avec ce récit. >>

Néanmoins, selon le propietaire du bar et sa femme, ils ne sont pas d'accord avec ce récit. Voilà ce que le propietaire du bar a dit:
<< Ce n'est pas vrai qu'Antonio Anglés et Miguel Ricart ont arrivé dans mon bar. Je me souviens que Miguel Ricart est arrivé ici et qu'il a acheté trois ou quatre sandwichs, une salade et une bouteille d'eau d'un litre et demi. Je ne me souviens pas de la date exacte non plus, mais je suis sûr que ce fut un vendredi nuit environ 23h00 ou 0h00. Et que Miguel Ricart c'est celui que j'ai vu, mais pas Antonio Anglés. J'ai pu observer un homme à l'extérieur dans la voiture, mais je ne sais pas s'il était Antonio Anglés ou non. >>

Voilà ce que sa femme a dit:
<< Nous nous sommes abstenus de signer le rapport policier parce qu'Antonio Anglés n'avait pas entré dans mon bar ce jour. J'ai vu un garçon à l'extérieur qui a été appuyé sur un palmier, mais je ne crois pas que cet homme était Antonio Anglés parce qu'il est vraiment grand, et cet garçon était moins grand qu'Antonio Anglés. Et je crois que cet homme ressemble beaucoup à Mauricio Anglés. >>

Encore un fois, le récit oficiel est devenu indéfendable. Le fait le plus impartial qui pourrait impliquer Antonio et Miguel sur les événements horribles de cette nuit n'est pas valable, et d'autre part les enquêteurs avaient éssayé de changer le récit de ce que les propietaires du bar ont vu.

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 402 - 405.
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Message par over Mer 29 Avr - 22:24

Le 4 mars 1993, le Centre de Toxicovigilance espagnol a fini les études de quelques échantillons des trois cadavres qui avait reçu quelques jours aupavarant. Voilà les conclusions sur les trois crânes:

Le crâne du corps le numéro un a une entrée de la balle par l'os temporal gauche et une sortie de la balle par l'os sphénoide droit. Le coup de feu n'a pas été effectué à très courte distance.
Le crâne du corps le numéro deux a une entrée de la balle par le centre de l'os occipital et une sortie par l'os sphénoïde gauche. Le tir n'a pas été effectué à très courte distance.
Le crâne du corps numéro trois a une entrée de la balle par l'os occipital gauche et une sortie par l'os frontal droit. Le tir n'a pas été effectué à très courte distance.


Voilà les conclusions sur l'impression générale des trois cadavres:

Le cadavre numéro un a une blessure sur le coude gauche avec deux poils d'origine sexuelle et quelques diptère et il n'a pas des traces de fibre là.
La main droite a quelques diptères aussi et la main gauche semble d'avoir été attachée avec un bandage. La main droite n'a pas des ongles, sauf celle du doigt majeur, qui ne montre ni fibres ni poils attachés et aucun indice d'auto-défense personnelle.
La peau de la paume de la main droite on n'est pas trouvée, et seulèment le doigt index a sa ongle qui ne montre pas aucune autre chose.

Le cadavre numéro deux a un poil d'origine sexuelle qui a été retiré pour une analyse plus approfondie. Les ongles pour les deux mains sont trop courts et ils ne montrent pas rien d'autre chose.
Un des genoux montre sept blessures piquantes et il y a trop de diptères aussi.
La morphologie de la blessure d'arrachement du mamelon droi aréolaire du sein droit indique qui a été produite par un objet non coupant.

Le cadavre numéro trois a une grande blessure sur le genou gauche et plusieurs des diptères, mais rien d'autre chose.
Il n'a pas des ongles dans aucune des mains, sauf celui d'un index qui n'est pas cassée.


Voilà toutes les incohérences:
Dans le rapport des trois crânes on est trouvé que le crâne le numéro un a un oriffice de sortie de la balle, mais le premier équipe des médecins légistes (Monsieur Francisco Ros)  ont trouvé la balle dans l'intérieur de la crâne.
Dans le rapport générale ont été trouvés plusieurs diptères, ce que les prémiers médecins avaient refusé d'ecrire dans leur rapports, mais pourquoi? En d'autre part, les prémiers médecins avaient refusé aussi que le principal médecin légiste des deuxièmes autopsies, Monsieur Luis Frontela, pourrait observer ses diptéres. De plus, Monsieur Luis Frontela est lui-même convaincu que ces diptères sont les preuves que les cadavres avaient étés situées aupavarant à une autre lieu inconnue et differente de celui de La Romana, donc voilà la théorie du second enterrement.

Pour tous les ongles disparus, pourquoi ne sont-ils trouvés dans l'intérieur de la fosse? Est-ce qu'ils se sont tombés par la putréfaction sur la lieu du premier enterrement?
De plus, comme les blesses n'ont pas des grains de terre, on peut penser que les filles n'avaient été torturées au premier étage de la maison abandonnée à La Romana.
Finalement, Monsieur Francisco Ros n'a pas vu les blessures piquantes sur un des genoux d'une fille. Quelle erreur!

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 406 - 409.
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Message par over Jeu 30 Avr - 22:39

Le suivant rapport est pour savoir si quelques des blessures étaient arrivées quand les trois filles ont été en vie ou quand elles l'ont perdu, donc la conclusion générale était que le cadavre numéro trois a souffert des blessures vaginaux quand elle avait perdu la vie.

Le 9 mars 1993 un autre rapport a été envié au tribunal par le Centre de Toxicovigilance qui inclut l'analyse des os des trois filles.
<< Le cadavre numéro un a des signes de suffocations par la couleur des dents et il y a deux petites pierres dans la cavité nasale, l'une noire et l'autre rouge, lasquelles n'ont pas pu entrer ni par la cavité nasale ni par les orifices des coup de feu par ses tailles. Si les pierres n'etaient pas entrées par les orifices des coup de feu, les os de la cavité nasale seraient cassés. Tandis que les os de la cavité nasale ne sont pas cassés, nous ne nous sommes pas aperçu pourquoi ces deux pierres sont là tandis qu'il n'y a pas des autres pierres dans la crâne.

Le cadavre numéro un n'a pas des trois dents; le cadavre numéro deux n'a pas des six dents et le cadavre numéro trois n'a pas des quatorze dents.
Toutes ces dents sont tombées par la putrefaction parce qu'il n'y a pas des signes des lésions sur les gencives, sauf une dent du cadaver numéro trois.
La fille numéro un avait déjà perdu sa vie quand elle a reçu le coup de feu sur la tête, et pour les autres deux filles leur mort arrive par les coups de feu tout de suite.  >>

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 409 - 412.

Alors, il est donc difficile de comprendre pourquoi aucune des 23 dents n'ont été pas trouvées au fond de la fosse.
On semble aussi que la première équipe des médecins légistes du Monieur Francisco Ros avaient fait plusieurs d'erreurs puisque ils n'ont trouvé ni les deux pierres, ni des signes de la morte par suffocation pour le cadavre numéro un avant le coup de feu. Quel travail de cochon!
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Message par over Ven 1 Mai - 22:21

Le suivant rapport est l'analyse par le Centre de Toxicovigilance des os supplémentaires qui avaient été trouvés au fond de la fosse. Voilà la liste des os:

- Une vertèbre cervicale du deuxième axe appartenant à une femme plus jeune de 21 ans qui est compatible avec le foramen magnum du crâne numéro deux.
- Une vertèbre cervicale du troisième axe appartenant à une femme plus jeune de 21 ans qui est compatible avec le foramen magnum du crâne numéro trois.
- Une épiphyse distale du radios droit d'une femme plus jeune de 16 ans.
- Une première phalange métacarpienne qui appartient à une jeune femme.
- Une deuxième phalange métacarpienne liée à la précédente.
- Deux pierres.

Tandis que le première équipe des médecins légistes n'avaient efectué pas une analyse des rayon X, le médecin légiste Frontela ne pas pouvoir faire autrement que faire l'analyse des rayons X, donc Monsieur Frontela a trouvé que les cadavres numéro deux et numéro trois ont toutes leurs vertèbres cervicales à ses places.
Et d'autre part, selon le juge qui avait vu les cadavres dans la fosse, le cadavre numéro trois a été extraité avec sa tête attachée au corps. Il est donc impossible que ce corps aurait été manqué une vertèbre cervicale.
Donc, les deux vertèbres cervicales ne pouvaient appartenir qu'au corps numéro un, ce qui était également impossible, car selon les scientifiques du Centre de Toxicovigilance, la troisième vertèbre n'encastre pas après le deuxième axe vertébral cervical. C'est-à-dire que chacune des deux vertèbres cervicales peut appartenir à deux cadavres différents. Mais lesquels?
Cela pourrait indiquer qu'au moins une des vertèbres cervicales n'appartenait à aucune des trois filles mais, inexplicablement, les juges ont refusé d'effectuer des analyses ADN sur ces os, donc il n'y a pas de réponse pour ce fait.

Un autre grand mystère serait l'apparition dans la tombe clandestine d'une épiphyse distale du radius droit.
Selon l'analyse aux rayons X effectuée par le médecin légiste Monsieur Frontela, les corps des trois filles avaient leur épiphyse distale du radius droit à ses places, donc cet os doit appartenir à un autre corps inconnu.

De plus, il y a un détail à propos de cette épiphyse distale que les médecins légistes du Centre de Toxicovigilance n'avaient pas décrit dans son rapport écrit, mais l'un d'entre eux a témoigné plus tard devant le juge que l'épiphyse avait été coupée avec une scie, comme suit:
<< Cette question doit être répondue par l'équipe des premiers médecins légistes afin de clarifier pourquoi ils l'ont coupé. Je suppose qu'ils l'ont fait pour calculer l'âge, mais je ne sais pas pourquoi ils nous l'ont envoyé. >>

Néanmoins, selon la première équipe des médecins légistes, ils n'ont coupé aucune épiphyse distale.
Qui a coupé l'épiphyse distale d'un cadavre inconnu avec une scie? Pourquoi est-il apparu dans la fosse avec les trois filles? Est-ce que la fosse à La Romana avait été le lieu d'enterrement d'une ou des plusieurs autres cadavres inconnus comme par exemple celui d'Antonio Anglés?
On ne peut expliquer cela!

Source: Le livre de Juan Ignacio Blanco, pages 413 - 415.


Dernière édition par over le Ven 1 Mai - 22:57, édité 1 fois
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Message par over Ven 1 Mai - 23:37

Nordine a écrit:Bonsoir Over,
Il me semble que l'épiphyse distale pourrait être coupée en même temps que la main. ça pourrait vouloir dire qu'une autre personne, inconnue, aurait été torturée avant d'âtre enterrée avec les jeunes filles.
Je ne me souviens plus quelle main, une main droite ou une main gauche, était apparente lorsque les bergers ont découvert la fosse.

Bonsoir Nordine,

Ce qui ont découvert la fosse sont les deux apiculteurs, pas bergers. Pas de problème car l'affaire est très complexe.  Wink

Le cadavre de Toñi avait ses deux mains, mais comme une des mains était émergé dessus la fosse il n'y avait pas de peau ni la masse musculaire, c'est-a-dire, seulement les os de la paume et deux os des doigts selon une photo de la découverte. Néanmoins, selon ce qui les apiculteurs avaient vu quelques heures avant, ils ont pu observer une main plus grande comme celui d'un homme.

Le cadavre de Desirée a manqué la main gauche et celui de Miriam a manqué la main droite, mais elles n'ont pas des signes d'être coupée avec un scie, et l'épiphyse était au fond de la fosse, ce qui pourrait indiquer soit que La Romana aurait été utilisée avec une(s) autre(s) cadavre(s), soit que l'épiphyse a été emmenée ensemble par erreur avec les trois cadavres depuis le lieu inconnu du premier enterrement des filles, donc la première fosse inconnue aurait été aussi été utilisée une(s) autre(s) cadavre(s).
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Message par over Sam 2 Mai - 19:25

Nordine a écrit:Oui, Over, désolée, j'ai confondu les bergers et les apiculteurs.
Je vais relire ce passage car ce sont des faits prouvés par les autopsies qu'il ne manquait pas ces épiphyses sur les radius des filles.

On peut effectivement penser que cette épiphyse pourrait appartenir à Antonio Anglés, mais une autre possibilité serait que la fosse est un lieu d'enterrement provisoire pour des victimes antérieures qui ont été ensuite déplacées. Ce serait encore pire.

Mais bien sùr! On peut effectivement penser ça, ce qui est un des plusieurs raisons pour laquelle cette affaire est encore non élucidée!
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Message par over Sam 2 Mai - 19:31

over a écrit:

Le capitain a dit qu'une fois que le fugitif avait sauté pour la première fois au golfe de Gascogne il a demandé par un appel d'urgence pour tous les navires les plus prochains pour faire retourner le fugitif au "City of Plymouth", mais c'était un hélicoptère français de Bordeaux qui est arrivé là.
Je crois fermement que ce fait a été publié par les journaux de Bordeaux un ou deux jours après le 23 mars 1993. C'est courant que quand un incident de sauvetage sur le mer arrive, les journaux de la prochaine ville la plus grande donnent ces informations, donc qui sait? Peut-être aussi qu'il y a encore un rapport écrit sur cet incident dans les archives de la base hélicoptère bordelaise. Alors, ce que je crois comme presque impossible c'est la posibilité que le sauvateur qui a descendu l'hélicoptère pour aider le fugitif sur la mer serait sourvenu que ce fugitif était Antonio Anglés. Il aurait été une excellente idée de lui montrer un portrait d'Antonio Anglés pendant 1993  pour mieux élucider l'identité du fugitif, mais aujourd'hui c'est trop tard pour ça.
Est-ce que les principaux journaux de Bordeaux ont ses publications des annes 90 disponibles en ligne sur Internet? Est-ce que vous pouvez m'aider s'il vous plait?

Je veux savoir ça, mais je ne connais pas les journaux bordelais les plus connus.
Ce serait très interessant de voir ce que les journaux ont dit pour ce sauvetage là et pour l'identité du fugitif.
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Message par over Sam 2 Mai - 22:05

Nordine a écrit:
over a écrit:
over a écrit:

Le capitain a dit qu'une fois que le fugitif avait sauté pour la première fois au golfe de Gascogne il a demandé par un appel d'urgence pour tous les navires les plus prochains pour faire retourner le fugitif au "City of Plymouth", mais c'était un hélicoptère français de Bordeaux qui est arrivé là.
Je crois fermement que ce fait a été publié par les journaux de Bordeaux un ou deux jours après le 23 mars 1993. C'est courant que quand un incident de sauvetage sur le mer arrive, les journaux de la prochaine ville la plus grande donnent ces informations, donc qui sait? Peut-être aussi qu'il y a encore un rapport écrit sur cet incident dans les archives de la base hélicoptère bordelaise. Alors, ce que je crois comme presque impossible c'est la posibilité que le sauvateur qui a descendu l'hélicoptère pour aider le fugitif sur la mer serait sourvenu que ce fugitif était Antonio Anglés. Il aurait été une excellente idée de lui montrer un portrait d'Antonio Anglés pendant 1993  pour mieux élucider l'identité du fugitif, mais aujourd'hui c'est trop tard pour ça.
Est-ce que les principaux journaux de Bordeaux ont ses publications des annes 90 disponibles en ligne sur Internet? Est-ce que vous pouvez m'aider s'il vous plait?

Je veux savoir ça, mais je ne connais pas les journaux bordelais les plus connus.
Ce serait très interessant de voir ce que les journaux ont dit pour ce sauvetage là et pour l'identité du fugitif.

Bonsoir Over,
Je ne suis pas de la région de Bordeaux mais je peux tenter de me renseigner. Ce genre de fait divers est parfois relaté, et en général, l'identité du rescapé est citée.

Bonsoir Nordine,
Merci de m'aider.
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L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne). - Page 12 Empty Re: L'affaire des trois jeunes filles d'Alcàsser (Espagne).

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