Dépeceur de Mons 1

Concernant le meurtre commis à la rue de la Petite Boucherie, un suspect âgé de 29 ans, ayant habité dans la région de Mons, a été présenté ce vendredi 12 avril 2019, devant un juge d'instruction montois. Il a été placé sous mandat d'arrêt pour meurtre.
Litige financier
Le parquet de Mons a indiqué qu'un litige concernant de l'argent est la thèse privilégiée par les enquêteurs. Une autopsie du corps de la victime a été réalisée jeudi. Des coups violents portés à la tête et à l'abdomen seraient la cause du décès. Le suspect a reconnu avoir porté des coups.

Par contre concernant l'autre corps découvert à la Rue des Canonniers, les enquêteurs excluent la piste criminelle.

Lundi 13 mai 2019, des dizaines ossements ont été découverts sur un autre chantier, à Mons.
En réalité, il s'agit de vestiges d'un cimetière accolé à la Collégiale Sainte-Waudru présent à cet endroit à la fin du Moyen-Âge...
Lire article ci dessous :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

C'est étrange, cette erreur. Le boss de la PJ de Mons, c'est le commissaire François Farcy et ce dernier est loin de prendre sa retraite.

Bonjour à tous et toutes, je suis nouvelle sur ce forum.
C'est en faisant des recherches sur le dépeceur de Mons que j'ai atterri ici.
J'espère que vous pourrez m'aider.
J'ai tenté déjà cette semaine de contacter Morgan Vanleberghe (en vain).
J'habite Mons depuis toujours et connais très bien la ville et ses habitants.
J'ai une information qui ne vaut peut-être rien mais j'hésite à la communiquer à la police.
Et ce pour plusieurs raisons.
Je ne comprends pas pourquoi à ce jour, rien dans les médias n'a filtré concernant cette piste.
Pourquoi ce détail n'aurait-il jamais été creusé ?
Et si oui, pourquoi cette piste n'aurait-elle rien donné? Ont-ils l'info et si oui, leur manque-t-il juste des preuves ?
Je reste perplexe.
Puis-je faire confiance à la police et être sûre qu'ils donneront suite à ce que je leur dirai?
Ou pire est-ce que cette info dort depuis 20 ans? Etouffée ou non?

Je tiens cette info d'un membre de ma famille qui a trainé du côté du quartier de la gare pendant cette période.
Elle était jeune adulte à l'époque.
Elle n'est et n'était pas du tout marginalisée.
Juste influençable à cause de son jeune âge au moment des faits .

Que faire?

Bonsoir et bienvenue pommepomme.
Je pense que El Gringo pourrait vous donner les coordonnées de la personne que vous cherchez à contacter.
Envoyez lui un MP.
Cordialement.
Kassandra

Merci. Je fais ça de suite.

En mai 1998, un crâne humain était découvert dans un étang de Valenciennes. Au niveau date, c'est très proche de l'affaire du Dépeceur de Mons et au niveau géographique, Valenciennes est non loin de Mons : environ 40 kilomètres. On ne parlera plus jamais de ce crâne...
Dans la presse, le 4 juin 1998, on pouvait lire ceci :

Un crâne découvert à Valenciennes Dépeceur de Mons: la «cellule Corpus» râle

La saga infernale des découvertes macabres de part et d'autre de la frontière franco-belge se poursuit: un crâne humain a été découvert dans un étang de Valenciennes, en France, voici trois semaines. S'agit-il là d'un nouveau «trophée» du «dépeceur de Mons»? Rien ne permet de l'affirmer. Mais la cellule «Corpus», qui traque depuis quinze mois le maniaque montois, demeure attentive.
Corpus a aussi le blues. La cellule s'est heurtée, à deux reprises au moins, à la réticence d'enquêteurs et de magistrats chargés d'élucider des disparitions de femmes toujours considérées comme vivantes. Exemple: Carmelina Russo a été recherchée vivante pendant des mois... alors qu'en janvier 1996 déjà, son bassin était trouvé dans les eaux de l'Escaut à Château-l'Abbaye.
Autre exemple: celui de Begonia Valencia, disparue en juillet 1997. Lorsque son crâne a été découvert, le 18 octobre 1997, dans un verger de Hyon, le médecin légiste commandité par le Parquet a rejeté d'emblée l'hypothèse d'une nouvelle victime du dépeceur, le décès remontant à plus de trente ans. Prescription... En avril dernier, il s'avéra cependant que la mort remontait tout au plus à deux ans... On avait perdu six mois!
Le juge Pilette et les dirigeants de Corpus ordonnèrent alors des fouilles dans le verger de Hyon. Personne, jusque-là, n'avait cherché à obtenir les résultats d'examens dentaires de Begonia. Or, dès la fin des fouilles, en 48 heures, l'identification de Begonia était établie par l'examen de la dentition à moitié reconstituée!
L'autre coup de blues de Corpus réside dans le manque d'intérêt que suscite l'enquête sur le dépeceur de Mons. On a toujours voulu considérer ce dossier comme local, s'indignent les enquêteurs.
Un manque d'intérêt qui s'est encore révélé au début de la semaine: le renouvellement, pour cinq ans, du mandat de juge d'instruction de M. Pilette, n'avait pas été signé à temps par le ministre de la Justice.
Forcé à l'absence mardi, M. Pilette est revenu à son cabinet hier. M me Bovyn, présidente du tribunal de première instance, avait, dans l'urgence, signé une ordonnance le désignant dans la fonction en attendant la parution de l'arrêté au «Moniteur».
Ce qui est insupportable, c'est d'entendre certains supputer que M. Pilette serait peut-être mal vu par les autorités supérieures à Mons.
Or, les membres de Corpus travaillent avec lui en symbiose, clame un enquêteur. Cela a aussi été mal ressenti par les familles des victimes, ajoutait hier après-midi le principal intéressé.
Désagrément majeur de ce retard de signature: mardi, Corpus a été dans l'impossibilité d'accomplir une perquisition.
Enfin, les policiers et gendarmes de Corpus n'ont toujours pas obtenu les défraiements promis pour cinq mois de travail judiciaire.

Encore une affaire sordide :
Les faits s'étaient déroulés le 2 septembre 2014 au domicile familial de Moernach, dans le Haut-Rhin, alors que les parents s’étaient absentés pour un cours de yoga.
Un adolescent, âgé de 17 ans, s'était saisi d'un couteau de boucher et avait tué sa soeur, âgée de 11 ans, avant de la découper en morceaux.
Puis il avait blessé grièvement son petit frère, âgé de 8 ans, au crâne.
Couvert de sang, le jeune homme s’était ensuite précipité dans la rue en état de choc, et avait tenté de faire croire à un crime de rôdeur, avant de finalement avouer ce crime atroce.
Il avait été condamné à 17 ans de réclusion en première instance en septembre dernier par un tribunal pour enfants à Mulhouse.
Mercredi, sa peine a finalement été ramenée à 7 ans de prison en appel par la chambre exceptionnelle des mineurs. "Le tribunal a pris conscience de la gravité dans cette triste affaire familiale" a indiqué l'avocat de l'adolescent...

Exact Kassandra et l'avocat de l'adolescent qui ose dire : "Le tribunal a pris conscience de la gravité dans cette triste affaire familiale..." C'est vraiment indécent de tenir de tels propos...

Entièrement d'accord avec toi Kassandra mais, le problème, c'est que les restes ont été balancés dans des poubelles donc, les policiers ont laissé tomber les recherches vu que que tout est parti à l'incinérateur.

Les sacs auraient terminés à l'incinérateur et les victimes auraient été plus nombreuses. Heureusement que le hasard fait bien les choses...

...

Kassandra88 a écrit:Effectivement,
Une première ordonnance de non-lieu est rendue le 21 septembre 2005 par le juge Denis Dabansens. Une nouvelle information judiciaire est ouverte par Joëlle Rieutort, alors procureur de la République de Blois, le 13 décembre 2007. Elle sera refermée sans plus de résultats le 23 février 2016. Un rebondissement inattendu n’est cependant pas à exclure car l’affaire ne sera définitivement prescrite qu’en 2036.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Encore une affaire sordide. Par contre, je ne comprends pas pourquoi les enquêteurs excluent la piste du tueur en série. Comment peuvent ils avoir cette certitude? C'est interpellant...

Nouvelle découverte macabre, à Hornu.
BORINAGELes analyses du squelette sont en cours.
Deux jours après la découverte d'ossements humains au bord du terril Sainte-Désirée à Hornu, l'enquête se poursuit. Mais elle prend une nouvelle tournure. Jusqu'à mardi après-midi, c'est la police boraine qui gérait les opérations. La macabre découverte était alors qualifiée comme mort suspecte et non comme meurtre. Ce n'est toutefois plus le cas.
La police judiciaire fédérale (PJF) s'est donc emparée de l'affaire qui a été placée à l'instruction. Ce mercredi, le juge d'instruction précisait que les analyses des ossements étaient en cours tout en ne désirant pas communiquer davantage sur le dossier. L'objectif sera d'identifier la victime tout en tentant de connaître les circonstances de la mort.
Selon Sudpresse, ces ossements découverts pourraient avoir un lien avec la disparition du Montois Jordan Dewilde, lequel n'a plus donné signe de vie depuis plus de dix mois. Il aurait été aperçu non loin de là, peu avant sa disparition.
Pour rappel, des ossements humains (un bassin et une partie de colonne vertébrale) ont été retrouvés par un promeneur ce lundi après-midi au niveau de la rue Barbet et du chemin qui mène au parking du terrain de football d’Hornu. Des premières analyses ont confirmé qu'il s'agissait de restes humains. La police a donc décidé de revenir sur les lieux de la découverte ce mardi afin de ratisser totalement le périmètre et de mettre la main sur d'autres ossements. Ce qui a été fait.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Un homme de 55 ans suspecté des assassinats d'Eve Poppe et d'Ariane Mazijn a reconnu deux autres meurtres commis dans les années '90, a indiqué mardi le parquet d'Anvers.
La chambre du conseil d'Anvers avait confirmé fin septembre le maintien en détention du suspect dans l'affaire de l'assassinat d'Eve Poppe en 1997. La victime avait été assassinée dans son appartement du quartier Luchtbal, au nord d'Anvers. Elle avait été étranglée et son corps présentait plusieurs traces de coups de couteau.
Le suspect est déjà en prison pour un autre assassinat, celui d'Ariane Mazijn en 1992.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]