Re: Victimes de François Vérove?????

par Kassandra88 Dim 26 Déc - 17:54

Bonsoir Claire,

J'ignore si les enquêtes ont avancé depuis la neutralisation de Vérove. Tout ce que l'on peut faire à notre échelle, c'est reconsidérer les meurtres en tenant compte d'éléments nouveaux qui ont été portés à notre connaissance.

Dans la mesure où j'ai découvert que Vérove n'a pas attendu 1994 pour enlever une jeune fille en pleine rue (cf Fabienne L. le 2 avril 87, le lendemain de la boum chez Cyril) je le perçois tout-à-fait capable d'enlever Karine vu qu'il ne vivait pas loin à l'époque (Longperrier). Ceci dit, l'ex de Karine reste à mes yeux très suspect.
Edith Martinet: elle est assassinée le 3 avril 87, Vérove était-il toujours dans son trip meurtrier? La scène de crime rappelle celle de Sophie Narme.

par Claire Dim 26 Déc - 18:54

Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,

J'ignore si les enquêtes ont avancé depuis la neutralisation de Vérove. Tout ce que l'on peut faire à notre échelle, c'est reconsidérer les meurtres en tenant compte d'éléments nouveaux qui ont été portés à notre connaissance.

Dans la mesure où j'ai découvert que Vérove n'a pas attendu 1994 pour enlever une jeune fille en pleine rue (cf Fabienne L. le 2 avril 87, le lendemain de la boum chez Cyril) je le perçois tout-à-fait capable d'enlever Karine vu qu'il ne vivait pas loin à l'époque (Longperrier). Ceci dit, l'ex de Karine reste à mes yeux très suspect.
Edith Martinet: elle est assassinée le 3 avril 87, Vérove était-il toujours dans son trip meurtrier? La scène de crime rappelle celle de Sophie Narme.

OK Merci Kassandre !

par Claire Mar 28 Déc - 12:03

Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,

J'ignore si les enquêtes ont avancé depuis la neutralisation de Vérove. Tout ce que l'on peut faire à notre échelle, c'est reconsidérer les meurtres en tenant compte d'éléments nouveaux qui ont été portés à notre connaissance.

Dans la mesure où j'ai découvert que Vérove n'a pas attendu 1994 pour enlever une jeune fille en pleine rue (cf Fabienne L. le 2 avril 87, le lendemain de la boum chez Cyril) je le perçois tout-à-fait capable d'enlever Karine vu qu'il ne vivait pas loin à l'époque (Longperrier). Ceci dit, l'ex de Karine reste à mes yeux très suspect.
Edith Martinet: elle est assassinée le 3 avril 87, Vérove était-il toujours dans son trip meurtrier? La scène de crime rappelle celle de Sophie Narme.

Bonjour Kassandre
le site, par ailleurs très bon,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
ne parle pas de l'enlèvement de Fabienne L (le 02 Avril 1987) ni du meurtre de Edith survenu le lendemain.
J'ai repris ce (notre) fil mais je n'ai pas retrouvé pour d'informations sur l'enlèvement de Fabienne: pourtant je crois me souvenir avoir lu sur ce (notre) site que le G aurait embourbé la voiture en rase campagne et aurait abandonné Fabienne.
Est ce que l'enlèvement de Fabienne est relaté en détail quelque part ?
Merci
Claire

par Kassandra88 Mar 28 Déc - 13:32

Claire a écrit:
Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,

J'ignore si les enquêtes ont avancé depuis la neutralisation de Vérove. Tout ce que l'on peut faire à notre échelle, c'est reconsidérer les meurtres en tenant compte d'éléments nouveaux qui ont été portés à notre connaissance.

Dans la mesure où j'ai découvert que Vérove n'a pas attendu 1994 pour enlever une jeune fille en pleine rue (cf Fabienne L. le 2 avril 87, le lendemain de la boum chez Cyril) je le perçois tout-à-fait capable d'enlever Karine vu qu'il ne vivait pas loin à l'époque (Longperrier). Ceci dit, l'ex de Karine reste à mes yeux très suspect.
Edith Martinet: elle est assassinée le 3 avril 87, Vérove était-il toujours dans son trip meurtrier? La scène de crime rappelle celle de Sophie Narme.
Bonjour Kassandre
le site, par ailleurs très bon,
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ne parle pas de l'enlèvement de Fabienne L (le 02 Avril 1987) ni du meurtre de Edith survenu le lendemain.
J'ai repris ce (notre) fil mais je n'ai pas retrouvé pour d'informations sur l'enlèvement de Fabienne: pourtant je crois me souvenir avoir lu sur ce (notre) site que le G aurait embourbé la voiture en rase campagne et aurait abandonné Fabienne.
Est ce que l'enlèvement de Fabienne est relaté en détail quelque part ?
Merci
Claire

Bonjour Claire,
Oui, après avoir enlevé Fabienne L., Vérove a embourbé la voiture volée chez Cyril. Il est possible que Fabienne ait eu la vie sauve grâce à cela. C'est une info que nous n'avons eue que très récemment. (Les détails concernant le meurtre d'Edith Martinet également). Wordpress a construit son site à partir de données que l'on trouve ça et là ici, donc ignorait aussi ces informations.

par Invité Mar 28 Déc - 16:08

Kassandra88 a écrit:
Claire a écrit:
Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,

J'ignore si les enquêtes ont avancé depuis la neutralisation de Vérove. Tout ce que l'on peut faire à notre échelle, c'est reconsidérer les meurtres en tenant compte d'éléments nouveaux qui ont été portés à notre connaissance.

Dans la mesure où j'ai découvert que Vérove n'a pas attendu 1994 pour enlever une jeune fille en pleine rue (cf Fabienne L. le 2 avril 87, le lendemain de la boum chez Cyril) je le perçois tout-à-fait capable d'enlever Karine vu qu'il ne vivait pas loin à l'époque (Longperrier). Ceci dit, l'ex de Karine reste à mes yeux très suspect.
Edith Martinet: elle est assassinée le 3 avril 87, Vérove était-il toujours dans son trip meurtrier? La scène de crime rappelle celle de Sophie Narme.
Bonjour Kassandre
le site, par ailleurs très bon,
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ne parle pas de l'enlèvement de Fabienne L (le 02 Avril 1987) ni du meurtre de Edith survenu le lendemain.
J'ai repris ce (notre) fil mais je n'ai pas retrouvé pour d'informations sur l'enlèvement de Fabienne: pourtant je crois me souvenir avoir lu sur ce (notre) site que le G aurait embourbé la voiture en rase campagne et aurait abandonné Fabienne.
Est ce que l'enlèvement de Fabienne est relaté en détail quelque part ?
Merci
Claire

Bonjour Claire,
Oui, après avoir enlevé Fabienne L., Vérove a embourbé la voiture volée chez Cyril. Il est possible que Fabienne ait eu la vie sauve grâce à cela. C'est une info que nous n'avons eue que très récemment. (Les détails concernant le meurtre d'Edith Martinet également). Wordpress a construit son site à partir de données que l'on trouve ça et là ici, donc ignorait aussi ces informations.

Bjr à tous,

Comme Claire, on aimerait bien avoir des précisions, si c'est possible, concernant ce début avril 87.
A priori, c'est P.Tourancheau qui a fait émerger il y a 2/3 ans le cas de la double agression en fin de boum... La victime Cyril se rappelait vaguement que la R5 parentale, volée par l'auteur des faits, avait été retrouvée peu après "dans un coin de banlieue".
Ce cas de l'agression avortée de Fabienne a-t-il été rapproché du dossier par les investigations en cours ?
Et par ailleurs, sait-on si ces deux dossiers (agression dans le 10ème + tentative d'enlèvement le lendemain avec la voiture volée) ont été reliés à l'époque, avant d'être sans doute classés sans suite ? Avec les moyens informatiques actuels, ils seraient certainement remonté à la BC, surtout avec derrière la silhouette d'un violeur potentiel multirécidiviste...

par Kassandra88 Mar 28 Déc - 16:48

chris0706 a écrit:
Bjr à tous,

Comme Claire, on aimerait bien avoir des précisions, si c'est possible, concernant ce début avril 87.
A priori, c'est P.Tourancheau qui a fait émerger il y a 2/3 ans le cas de la double agression en fin de boum... La victime Cyril se rappelait vaguement que la R5 parentale, volée par l'auteur des faits, avait été retrouvée peu après "dans un coin de banlieue".
Ce cas de l'agression avortée de Fabienne a-t-il été rapproché du dossier par les investigations en cours ?
Et par ailleurs, sait-on si ces deux dossiers (agression dans le 10ème + tentative d'enlèvement le lendemain avec la voiture volée) ont été reliés à l'époque, avant d'être sans doute classés sans suite ? Avec les moyens informatiques actuels, ils seraient certainement remonté à la BC, surtout avec derrière la silhouette d'un violeur potentiel multirécidiviste...

Bonjour Chris,
Nous connaissions ce que je vais appeler une version simplifiée de l'agression de Cyril via le livre de Carine. Par la suite, grâce à des documents qu'elle a eu la gentillesse de partager avec nous, nous avons connu l'identité de Cyril et un membre du forum a pris contact avec lui. Les échanges ont été très enrichissants. On peut d'ailleurs les retrouver sur wordpress. Je ne me souviens plus si Patricia Tourancheau en parle aussi. Je ne sais pas si la famille de Cyril a été au courant de ce qui s'est passé le lendemain avec leur voiture. Ce que je peux dire, c'est que depuis que l'on sait que l'enquête a en partie été résolue à partir d'éléments recueillis lors de cette fameuse boum, il a coupé tout contact avec notre ami. On suppose qu'il a reçu des consignes.

par Claire Mar 28 Déc - 18:08

Kassandra88 a écrit:
chris0706 a écrit:
Bjr à tous,

Comme Claire, on aimerait bien avoir des précisions, si c'est possible, concernant ce début avril 87.
A priori, c'est P.Tourancheau qui a fait émerger il y a 2/3 ans le cas de la double agression en fin de boum... La victime Cyril se rappelait vaguement que la R5 parentale, volée par l'auteur des faits, avait été retrouvée peu après "dans un coin de banlieue".
Ce cas de l'agression avortée de Fabienne a-t-il été rapproché du dossier par les investigations en cours ?
Et par ailleurs, sait-on si ces deux dossiers (agression dans le 10ème + tentative d'enlèvement le lendemain avec la voiture volée) ont été reliés à l'époque, avant d'être sans doute classés sans suite ? Avec les moyens informatiques actuels, ils seraient certainement remonté à la BC, surtout avec derrière la silhouette d'un violeur potentiel multirécidiviste...

Bonjour Chris,
Nous connaissions ce que je vais appeler une version simplifiée de l'agression de Cyril via le livre de Carine. Par la suite, grâce à des documents qu'elle a eu la gentillesse de partager avec nous, nous avons connu l'identité de Cyril et un membre du forum a pris contact avec lui. Les échanges ont été très enrichissants. On peut d'ailleurs les retrouver sur wordpress. Je ne me souviens plus si Patricia Tourancheau en parle aussi. Je ne sais pas si la famille de Cyril a été au courant de ce qui s'est passé le lendemain avec leur voiture. Ce que je peux dire, c'est que depuis que l'on sait que l'enquête a en partie été résolue à partir d'éléments recueillis lors de cette fameuse boum, il a coupé tout contact avec notre ami. On suppose qu'il a reçu des consignes.

Merci Kassandra, ce forumactif.org est vraiment au top niveau de l'information et de l'analyse...
Je suis allé sur Wordpress qui a effectivement recueilli les propos de Cyril: Wordpress dit que l'implication du Grêlé n'a pas été établie avec certitude car Cyril ne reconnaissait pas formellement l'agresseur sur les PR. Dans ces conditions, quels sont les éléments qui auraient pu faire basculer les enquêteurs vers la piste d'un gendarme ??
Moi, naivement j'avais cru que l'élément ayant fait basculer l'enquête était que la ferme de Villeras (dont l'existence n'était pas évidente pour
le grand public) était située tout près d'un centre d'entrainement de la gendarmerie et que l'agresseur aurait pu visiter cette ferme lors d'un séjour dans ce centre.. Mais je me trompe peut etre..

par Invité Mar 28 Déc - 18:29

Kassandra88 a écrit:
chris0706 a écrit:
Bjr à tous,

Comme Claire, on aimerait bien avoir des précisions, si c'est possible, concernant ce début avril 87.
A priori, c'est P.Tourancheau qui a fait émerger il y a 2/3 ans le cas de la double agression en fin de boum... La victime Cyril se rappelait vaguement que la R5 parentale, volée par l'auteur des faits, avait été retrouvée peu après "dans un coin de banlieue".
Ce cas de l'agression avortée de Fabienne a-t-il été rapproché du dossier par les investigations en cours ?
Et par ailleurs, sait-on si ces deux dossiers (agression dans le 10ème + tentative d'enlèvement le lendemain avec la voiture volée) ont été reliés à l'époque, avant d'être sans doute classés sans suite ? Avec les moyens informatiques actuels, ils seraient certainement remonté à la BC, surtout avec derrière la silhouette d'un violeur potentiel multirécidiviste...

Bonjour Chris,
Nous connaissions ce que je vais appeler une version simplifiée de l'agression de Cyril via le livre de Carine. Par la suite, grâce à des documents qu'elle a eu la gentillesse de partager avec nous, nous avons connu l'identité de Cyril et un membre du forum a pris contact avec lui. Les échanges ont été très enrichissants. On peut d'ailleurs les retrouver sur wordpress. Je ne me souviens plus si Patricia Tourancheau en parle aussi. Je ne sais pas si la famille de Cyril a été au courant de ce qui s'est passé le lendemain avec leur voiture. Ce que je peux dire, c'est que depuis que l'on sait que l'enquête a en partie été résolue à partir d'éléments recueillis lors de cette fameuse boum, il a coupé tout contact avec notre ami. On suppose qu'il a reçu des consignes.

OK, merci.
J'étais à peu près certain d'avoir lu que, si les "contrôles" de novembre 87 ont été médiatisés par C.Hutsebaut (mon exemplaire du bouquin au garde-meuble), le cas Cyril a en revanche été redécouvert bcp + récemment (2019) par Tourancheau.
Errare humanum est...

Oui, vraisemblable que, pour ce cas sensible, les témoins d'époque aient été chapitrés par qui de droit.

par Invité Mar 28 Déc - 18:46

Claire a écrit:
Kassandra88 a écrit:
chris0706 a écrit:
Bjr à tous,

Comme Claire, on aimerait bien avoir des précisions, si c'est possible, concernant ce début avril 87.
A priori, c'est P.Tourancheau qui a fait émerger il y a 2/3 ans le cas de la double agression en fin de boum... La victime Cyril se rappelait vaguement que la R5 parentale, volée par l'auteur des faits, avait été retrouvée peu après "dans un coin de banlieue".
Ce cas de l'agression avortée de Fabienne a-t-il été rapproché du dossier par les investigations en cours ?
Et par ailleurs, sait-on si ces deux dossiers (agression dans le 10ème + tentative d'enlèvement le lendemain avec la voiture volée) ont été reliés à l'époque, avant d'être sans doute classés sans suite ? Avec les moyens informatiques actuels, ils seraient certainement remonté à la BC, surtout avec derrière la silhouette d'un violeur potentiel multirécidiviste...

Bonjour Chris,
Nous connaissions ce que je vais appeler une version simplifiée de l'agression de Cyril via le livre de Carine. Par la suite, grâce à des documents qu'elle a eu la gentillesse de partager avec nous, nous avons connu l'identité de Cyril et un membre du forum a pris contact avec lui. Les échanges ont été très enrichissants. On peut d'ailleurs les retrouver sur wordpress. Je ne me souviens plus si Patricia Tourancheau en parle aussi. Je ne sais pas si la famille de Cyril a été au courant de ce qui s'est passé le lendemain avec leur voiture. Ce que je peux dire, c'est que depuis que l'on sait que l'enquête a en partie été résolue à partir d'éléments recueillis lors de cette fameuse boum, il a coupé tout contact avec notre ami. On suppose qu'il a reçu des consignes.
Merci Kassandra, ce forumactif.org est vraiment au top niveau de l'information et de l'analyse...
Je suis allé sur Wordpress qui a effectivement recueilli les propos de Cyril: Wordpress dit que l'implication du Grêlé n'a pas été établie avec certitude car Cyril ne reconnaissait pas formellement l'agresseur sur les PR. Dans ces conditions, quels sont les éléments qui auraient pu faire basculer les enquêteurs vers la piste d'un gendarme ??
Moi, naivement j'avais cru que l'élément ayant fait basculer l'enquête était que la ferme de Villeras (dont l'existence n'était pas évidente pour
le grand public) était située tout près d'un centre d'entrainement de la gendarmerie et que l'agresseur aurait pu visiter cette ferme lors d'un séjour dans ce centre.. Mais je me trompe peut etre..

Hello, une témoin de 1987 était formelle quand à la mention "sous-officier" sur la carte qu'il a exhibée.
La ferme de Villeras -et ses alentours- fait partie d'un faisceau de présomptions qui ont finalement orienté juge et PJ vers la piste gendarme: avec aussi ce qu'il a laissé filtrer pendant la boum du 1er avril, ou sa technique de garrotage sur Politi...

Dans les années 90, les enquêteurs ont étudié le cas de qques centaines de flics / gendarmes condamnés + recalés aux concours d'entrée dans ces corps.
Dommage qu'ils n'aient pas poussé la logique jusqu'au bout. Même si à l'époque -outre que c'était très onéreux de financer 750 tests ADN-, il y a eu une forme d'autocensure tacite mais réelle sur le fait que le criminel ne pouvait réellement être dans les FdO.
Résultat: aujourd'hui, ça nourrit, y compris ici, des rumeurs complotistes comme quoi Vérove a sciemment été couvert et protégé pendant des années.

par Invité Mar 28 Déc - 22:46

Bonsoir les amis , salut Chris , dans certains métier quand on est en responsabilité le boulot est de lire les rapports que les agents sur le terrain rédigent ( se font chier à écrire pour des supérieurs qui n ' ont même pas le respect du travail de leurs subordonnés ) , le travail de ces cadres est de prendre les mesures pour régler les questions et problèmes décrits dans ces rapports , il est évident que ces cadres a qui tous les rapports arrivent font la synthèse , ils ont un cerveau et ont été embauché après des études et ont un salaire élevé !
Donc dans le cas des gendarmes sur Paris il aurait été judicieux de tout simplement se faire remettre les photos qui les accréditaient pour accéder aux enceintes aussi bien des Palais Sénat , Chambre des députés , Elysée , et Casernement , Armurerie !
Et au moyens de ces photos de faire un rapprochement avec une ou des victimes de vérove , victimes et témoins très, très nombreux , on serait arrivé certainement sinon au coupable , et sinon si plusieurs hommes auraient été trouvés de faire un filtre avec l ' emplois du temps de ces gendarmes ( si on est de service à l ' Elysée on ne peu pas être au bout de Paris à assassiner ) ! Avec un peu de jugeote et de discrétion l ' affaire était simple encore fallait il le vouloir ! SIMPLE

par Invité Mer 29 Déc - 13:52

peri a écrit:Bonsoir les amis , salut Chris , dans certains métier quand on est en responsabilité le boulot est de lire les rapports que les agents sur le terrain rédigent ( se font chier à écrire pour des supérieurs qui n ' ont même pas le respect du travail de leurs subordonnés ) , le travail de ces cadres est de prendre les mesures pour régler les questions et problèmes décrits dans ces rapports , il est évident que ces cadres a qui tous les rapports arrivent font la synthèse , ils ont un cerveau et ont été embauché après des études et ont un salaire élevé !
Donc dans le cas des gendarmes sur Paris il aurait été judicieux de tout simplement se faire remettre les photos qui les accréditaient pour accéder aux enceintes aussi bien des Palais Sénat , Chambre des députés , Elysée , et Casernement , Armurerie !
Et au moyens de ces photos de faire un rapprochement avec une ou des victimes de vérove , victimes et témoins très, très nombreux , on serait arrivé certainement sinon au coupable , et sinon si plusieurs hommes auraient été trouvés de faire un filtre avec l ' emplois du temps de ces gendarmes ( si on est de service à l ' Elysée on ne peu pas être au bout de Paris à assassiner ) ! Avec un peu de jugeote et de discrétion l ' affaire était simple encore fallait il le vouloir ! SIMPLE

Hello Peri,

Oui, avec le recul ç'aurait été une bonne piste à suivre... sur le papier.
Le problème étant qu'à l'époque, les enquêteurs se sont retrouvés face à bcp de possibilités, quand à la place occupée par "Le Grêlé" dans la société. Et difficile de leur jeter la pierre. Ou de les accuser de complicité avec FV, ce qui est carrément ridicule.
Rien que sur ce forum, ces dernières années, il y a eu pas mal d'hypothèses, et qui semblaient tenir la route: photographe, légionnaire, gardien de nuit / d'espaces verts, agent de sécurité / maitre-chien, fils de bonne famille dévoyé, moniteur de centre équestre, etc etc...
On a souvent pensé -vu son MO 1987- qu'il avait un rapport avec le monde des FdO: mais davantage dans l'optique qu'il venait d'une famille de flics, ou avait lui-même été recalé.
Et les enquêteurs ont lgtps rechigné à accepter le fait qu'il ait été des leurs (à l'examen d'entrée on demande tjrs un extrait de casier judiciaire entre autres). Et qu'il n'avait viré criminel qu'ensuite: il y avait bien eu le cas Lamare, mais on pouvait justement croire que c'était l'exception confirmant la règle...

par Invité Ven 31 Déc - 0:23

Bonsoir Chris, on aurait pu aussi mettre dans l ' équation le véhicule , une Volvo , dont une partie de l ' immatriculation est connue !
ça fait énormément de détails à poser dans l ' équation du tableau je pense , même trop d ' éléments !

par Kassandra88 Jeu 28 Juil - 13:02

2022

Posté par mimi sur le fil principal

Crimes sans couplable (1/5) : Garrottée par la lanière de son sac à main

Par Marc Metdepenningen

Publié le 22/07/2002 à 00:00 Temps de lecture: 10 min
Garrottée par la lanière de son sac à mainCrimes sans coupable (1/5)

MARC METDEPENNINGEN

Quelque 20 % des homicides ne sont pas élucidés en Belgique. Question de pistes, d'indices, de chances, de moyens parfois... « Le Soir » revient sur certaines de ces affaires. Aujourd'hui, le dossier Guenaelle Philippart de Foy, une étudiante de Rhode-Saint-Genèse. Douze ans après le crime, les enquêteurs continuent d'explorer de nouvelles pistes.

Guenaelle Philippart de Foy, 21 ans, étranglée le 30 avril 1990 à Obourg.

Guenaelle Philippart de Foy ne méritait que des éloges. Gaie, pétillante, serviable, cultivée, entreprenante, dynamique, cette jeune fille de 21 ans, demeurant à Rhode-Saint-Genèse, aurait pu récolter sans peine le meilleur de la vie si elle n'avait été fauchée par un assassin qui, depuis 12 ans, jouit de son impunité.

Le jeudi 3 mai 1990 vers 22 h 30, des gosses de la commune d'Obourg pénètrent à pas prudents dans le petit bois qui borde la route industrielle qui dessert les fameuses et massives cimenteries. Ils sont venus là dans l'espoir de retrouver une bicyclette volée à l'un d'eux. C'est que ce petit bois qui borde la nationale 539 qui relie Havré à Obourg a cette fâcheuse réputation: les voleurs de vélos viennent s'y débarrasser des carcasses de bicyclettes dont ils ne savent que faire.

Les gosses escaladent le talus, font quelques pas. Et soudain, ils s'arrêtent, figés par l'horrible découverte. Le corps d'une jeune femme gît là. Elle est vêtue d'une jupe à fleurs, d'une veste bleu marine et d'un chemisier blanc. Seul l'un de ses mocassins noirs lui enserre encore le pied gauche. Sa sacoche de simili cuir bleu et un sac fourre-tout barré de la marque « Aspect » encadrent le corps. La jeune femme ne bouge pas. Elle est morte. Les gosses, en débandade, lancent l'alerte: le petit bois des voleurs de bicyclettes est devenu le repaire d'un sordide meurtrier.

Trois jours plus tôt, le lundi 30 avril, Guenaelle Philippart de Foy avait été déposée par son père au croisement de la chaussée de Waterloo et de la Grande Espinette, à Rhode-Saint-Genèse, à quelques centaines de mètres de la coquette villa familiale.

La jeune fille, étudiante à l'Ihecs (Institut des hautes études de communication sociale), alors basé à Mons, tenait absolument à se rendre à ses cours en stop, comme elle en avait l'habitude. Depuis deux ans, sa technique était immuable : une plaquette portant la mention « Mons » agitée en bordure de chaussée arrêtait rapidement un automobiliste complaisant. Ce jour-là, elle, qui ne " brossait " jamais les cours, avait tenu à rallier l'Institut alors qu'en cette veille du 1er mai, il était probable que nombre de ses condisciples auraient fait choix de s'offrir un pont printanier avant d'affronter la longue période de blocus. Pas Guenaelle. Elle voulait absolument rallier son kot montois de l'avenue du Pont Rouge avant de rejoindre les salles de cours.

Et pourtant, se souvient son papa, elle n'aurait jamais dû faire du stop ce jour-là . Un mois plus tôt, en effet, la seconde épouse de M. Philippart de Foy, substitute au parquet de Bruxelles, était décédée, victime d'une rupture d'anévrisme sur son lieu de travail. Il avait insisté auprès de Guenaelle pour qu'elle utilise la voiture laissée par la défunte, une Peugeot 205. Au cours du week-end précédant les faits, poursuit M. Philippart de Foy, ma fille avait été victime d'un accrochage et la voiture était donc inutilisable. Le radiateur était percé.

Sans ce maudit accident, Guenaelle n'aurait sans doute jamais croisé la route de son meurtrier.

Sur la scène du crime, les enquêteurs de la police judiciaire de Mons ne recueillent que peu d'indices. Guenaelle est morte étranglée. Son meurtrier lui a passé la lanière de son sac à main autour du cou. Il a pris le temps de passer dans ce lien un morceau de bois, puis lui a imposé plusieurs tours, comme à une vis : le garrottage. Cette méthode de mise à mort inhabituelle demande un incroyable sang-froid et traduit une réelle intention de tuer. Elle est cruelle : le garrottage laisse intactes les artères carotides et produit une mort lente, par étouffement. Elle fait inévitablement penser à un meurtrier sadique qui aurait bénéficié d'un entraînement militaire ou qui pratiquerait des arts martiaux.

Dans le talus de terre meuble menant au petit bois, les enquêteurs découvrent l'un des mocassins de Guenaelle, fiché dans le sol, signe probable qu'elle a sans doute été traînée de force jusqu'à l'endroit de sa mise à mort. C'est une certitude : jamais, en suivant volontairement celui qui allait l'occire, elle n'aurait perdu son mocassin sur le talus.

Des morceaux de fougères, identiques à celles qui poussent là, sont retrouvés sous la lanière de cuir qui lui enserre le cou, signe que la mise à mort s'est bien déroulée sur les lieux de la découverte du corps. Maigre consolation pour ses proches : Guenaelle n'a subi aucun sévice sexuel. Il y a probablement eu lutte, comme en témoignent des traces de coups relevées sur la tête de la jeune fille. Des coups qui auraient pu être assénés alors qu'elle se trouvait encore dans la voiture de son agresseur. Etait-elle consciente ou à moitié assommée lorsque le meurtrier l'a entraînée dans les fourrés ? Nul ne le sait, sauf l'assassin.

Dans l'herbe, les policiers retrouvent le parapluie rose de Guenaelle, cassé en deux ; porteur d'une tache de sang, celui de la victime, comme l'établira plus tard l'analyse du laboratoire de police scientifique.

Le vendredi 4 mai au petit matin, des enquêteurs de la police judiciaire de Bruxelles, mandatés par le juge d'instruction montois Van Spitael, alors chargé du dossier, provoquent sur la chaussée de Waterloo l'un des plus fameux embouteillages qu'ait connu cette large artère à quatre bandes par laquelle des dizaines de milliers de navetteurs s'engouffrent chaque jour dans Bruxelles. Ils vont de voiture en voiture, brandissant une photo de Guenaelle Philippart de Foy. Avez-vous vu cette jeune fille le lundi 30 avril vers 8 heures agitant le pouce dans la direction de Mons, demandent-ils aux automobilistes passablement énervés par ces insupportables minutes d'attente dont ils ne comprennent pas immédiatement la nécessité.

Un témoin se manifeste. Il affirme avoir vu Guenaelle monter dans une voiture ressemblant à une Renault 25. Cet homme livre son étonnement : elle n'agitait pas son petit panneau d'auto-stoppeuse sur lequel était écrit Mons et qu'elle utilisait habituellement pour rallier la ville de ses études. Lorsque la voiture est arrivée à sa hauteur, affirme le témoin, elle n'agitait même pas le pouce, comme si elle avait rendez-vous avec cet automobiliste.

Pour le papa de Guenaelle, l'éventualité d'un rendez-vous fixé ce matin-là par sa fille avec quelqu'un qu'elle connaissait est peu vraisemblable. Si cela avait été le cas, dit-il, elle m'en aurait parlé. Guenaelle Philippart de Foy n'avait en outre aucun petit ami attitré. Lors de ses précédents déplacements en stop vers Mons, elle n'avait jamais connu de problème particulier. Ma fille, dit son père, n'était pas d'un tempérament à se laisser faire.

Dans les heures qui suivent la découverte du corps, les enquêteurs de la police judiciaire de Mons procèdent, comme c'est l'usage, à l'enquête classique de voisinage à proximité des lieux du crime. Classique mais combien essentielle. Des études de criminologie portant sur des meurtres d'enfants aux Etats-Unis ont ainsi démontré que dans 78 % des cas examinés, l'auteur des faits résidait à près de 400 mètres des lieux du crime.

C'est bien là la question essentielle à poser aux gens du voisinage, confie un policier : à l'heure présumée des faits, qu'avez-vous constaté d'absolument normal ? On demande d'habitude aux voisins ce qu'ils ont vu d'anormal, mais c'est bien la normalité qui peut révéler des pistes intéressantes. Et dans cette affaire, il faut bien constater que l'assassin semblait connaître parfaitement les lieux. Il a de plus agi en plein jour, en bordure d'une route très fréquentée, notamment par les nombreux camions qui se rendent aux cimenteries toutes proches.

C'est pourtant un fait ressenti comme anormal qu'un témoin signale aux enquêteurs. Au bas du talus, le 30 avril vers 10 heures, était stationnée une voiture utilitaire de type Citroën C15. Sur les flancs de la carrosserie de couleur blanche figuraient les chevrons de la marque Citroën, laissant supposer que ce véhicule appartenait à un garagiste. Les vérifications menées dans les ateliers des environs et, bien au-delà, de la région bruxelloise ne permirent pas d'identifier le propriétaire de ce véhicule. Et rien, encore aujourd'hui, ne permet d'affirmer que cette Citroën était le véhicule du meurtrier.

Dans les enquêtes criminelles, confirment des policiers, les premières 72 heures sont capitales. Les indices découverts, les témoignages recueillis, les tendances décelées à chaud forment l'ossature capitale et presque immuable du dossier. Rien ne doit être laissé au hasard. Et deux événements, survenus à la périphérie de ce crime sans mobile évident, sans suspect déclaré et sans témoin vont rapidement venir alimenter le dossier.

L'annonce du meurtre sauvage de l'étudiante bruxelloise avait rapidement franchi la frontière française. Les policiers du SRPJ (la police judiciaire française) de Lille crurent utile, dès le 6 mai, de transmettre à leurs collègues belges les éléments essentiels d'une dramatique affaire qu'ils venaient de prendre en charge. Une semaine avant l'assassinat de Guenaelle, le corps de la petite Ingrid Khalef, 12 ans, de Marly-les-Valenciennes, avait été retrouvé par un routier, abandonné sur un talus de l'autoroute A2 (Bruxelles-Lille), à quelques kilomètres de Dour.

Ingrid, la fille d'Amar Khalef, un harki retraité, et de Nelly Jouglet, paraissait bien plus que son âge. On lui aurait donné 17 ans. Le 25 avril, elle jouait en compagnie de son amie Brigitte à proximité de l'autoroute. Les deux gamines avaient décidé de se mesurer à la course. Mais Ingrid n'arriva jamais au point de ralliement que Brigitte lui avait fixé. Le lendemain, quatre jours donc avant le meurtre de Guenaelle, le corps d'Ingrid fut retrouvé. Elle aussi étranglée à l'aide d'une lanière de cuir. Elle non plus n'avait subi aucune violence sexuelle. Douze ans après les faits, ce crime sordide demeure, de même impuni. Là aussi un meurtre commis par un « routard du crime » ? A défaut d'indices suffisants dans l'une et l'autre des affaires, l'hypothèse ne put être retenue.

Une deuxième histoire troublante fut communiquée aux enquêteurs montois. Le jour même de la disparition et de la mise à mort de Guenaelle Philippart de Foy, une autre étudiante bruxelloise, demeurant à Wavre, fut enlevée en plein centre de la capitale. Cette jeune fille fut emmenée à bord d'un navire, probablement ancré dans le port d'Anvers.

Selon son témoignage, elle y aurait été séquestrée deux jours durant. Au cours de sa détention, ses ravisseurs auraient tenté de lui faire absorber de la nourriture et des boissons contenant de la drogue. Elle se refusa toutefois à ingurgiter quoi que ce soit. Durant sa détention, il lui fut appliqué un bandeau sur les yeux. Elle put néanmoins apercevoir dans sa sordide geôle une autre jeune fille sous l'emprise de soporifiques. Deux jours après son enlèvement, ses ravisseurs, pour des raisons qu'elle ignore, la libérèrent dans la banlieue de Bruxelles. La victime de cette étrange mésaventure n'était autre qu'une amie de la soeur de Guenaelle Philippart de Foy. Une fois de plus, aucun lien formel ne put être établi avec le meurtre de l'étudiante.

L'arrestation, en août 1996, de Marc Dutroux allait permettre, pour la famille Philippart de Foy, d'entretenir un nouvel espoir : enfin savoir pourquoi Guenaelle avait été mise à mort. Marc Dutroux, explique le père de la jeune fille, était en prison à l'époque des faits. Mais il bénéficiait de congés pénitentiaires. Et, à cette époque, il offrait, disait-on, de fortes sommes d'argent à qui lui ramenait des jeunes filles. Le dossier de Guenaelle fut transmis à Neufchâteau. Mais cela n'a rien donné. Lors de la Commission d'enquête Dutroux, M. Philippart de Foy, comme d'autres parents « d'enfants oubliés » a été auditionné par le président Marc Verwilghen. Pour dire le vide qui subsiste dans l'enquête relative à la mort de sa fille. Mais aussi pour confirmer sa confiance dans le travail des enquêteurs.

A Mons, comme partout ailleurs, on le proclame : Nous ne lâcherons jamais cette affaire. La piste des ferrailleurs et des garagistes a été relancée à la faveur d'un témoignage faisant état de déclarations étranges d'un occasionnel de l'automobile, déjà entendu par les policiers en 1990. Ces dernières semaines encore, de nouveaux devoirs d'instruction ont été prescrits par le juge Pilette, désormais en charge de l'affaire.

Le meurtre sordide de Guenaelle Philippart de Foy n'est pas tombé dans l'oubli, douze ans après la découverte de son corps. Une nouvelle équipe de la police judiciaire de Mons a repris l'examen de toutes les pistes possibles. Il n'est pas exclu qu'aujourd'hui encore, douze ans après les faits, on le retrouve.

A Obourg, face aux cimenteries, à l'endroit où le corps de Guenaelle fut retrouvé, son papa a érigé une croix de pierre qui rend hommage à sa fille et témoigne de sa peine. Les amis de Guenaelle de la troupe internationale « Up With People » avec laquelle elle s'était produite sur les scènes d'Europe et des Etats-Unis au cours de la saison 1987-1988, ont eux aussi conservé le souvenir de leur amie belge. Sur leur site internet est associée à son nom la mention : Qu'elle repose en paix. Cette paix, ses proches n'y auront pleinement droit que le jour où les policiers sonneront à leur porte pour leur annoncer enfin : Nous tenons l'assassin de Guenaelle ". ·

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La façon dont est morte Guénaelle ressemble très fort à celle de Karine Leroy, rattachée à Vérove par le Salvac.
Il n'y a aucun élément permettant de dire que Vérove ait déjà mis les pieds à Mons, même si Mons n'est qu'à une heure de voiture de la région de Lille où il gardait des contacts avec sa famille.

par Kassandra88 Mar 4 Oct - 17:48

Kassandra88 a écrit:
Didier a écrit:Jérôme Cantet ?
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Disparu à la défense en 1991.

par Kassandra88 Mar 4 Oct - 17:56

Son père a été un temps soupçonné:
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par Claire Mar 4 Oct - 20:37

Kassandra88 a écrit:Son père a été un temps soupçonné:
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Salut Kassandra
quelles sont les raisons de suspecter François Vérove d'avoir commis ce crime ?

par Jules Mar 4 Oct - 21:09

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par Jules Mar 4 Oct - 21:14

non résolues en France
14 juin 2022 — 241 dossiers d'affaires non résolues ont été comptabilisés à ce jour, dont 173 crimes non élucidés et 68 procédures de crimes en série

par Jules Mar 4 Oct - 21:15

Jules a écrit:non résolues en France
14 juin 2022 — 241 dossiers d'affaires non résolues ont été comptabilisés à ce jour, dont 173 crimes non élucidés et 68 procédures de crimes en série

on en connais combien ???

par Kassandra88 Lun 7 Nov - 12:03

Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux à terre, le buste sur le matelas, les mains liées dans le dos avec un tissu , une lame de ciseau fichée dans le coeur étranglée avec la jambe d'un collant. Des plaies par arme blanche sont visibles à hauteur du cou et il sera constaté un oedème cérébral intense à la tête.
C’est sa maman qui a découvert son corps le 3 avril 1987 aux alentours de 20H15 dans le studio qu’elle occupait avenue du président Wilson à la Plaine Saint Denis (93).
L’autopsie fixera le décès entre 18 et 20 heures.

Les constatations, l'autopsie, les photos de la scène de crime et l'ensemble des autres actes d'enquête rappellent ceux qui ont été observés lors du double meurtre du Marais.

- Etranglement:
Edith MARTINET: étranglée avec la jambe d'un bas
Cécile BLOCH: étranglée avec une cordelette
Imrgard MULLER: étranglée avec une ceinture
Gilles POLITI: étranglée avec une ceinture (noeud coulant)

- Plaies occasionnées par arme blanche:
Edith MARTINET: poignardée avec un ciseau fiché dans le coeur
Cécile BLOCH: poignardée côté gauche de l'Abdomen
Edith MARTINET: deux plaies au niveau du cou
Imrgard MULLER : deux plaies au niveau du cou
Gilles POLITI présente une plaie sur la partie droite du cou

NEUTRALISATION:
Edith MARTINET a les poignets liés dans le dos tout comme Gilles P., Marianne N. et Ingrid G.

AGRESSION SEXUELLE SUPPOSEE:
Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux au sol, le buste sur le lit.
les victimes BLOCH, MULLER, N., G. ont été sexuellement agressées.

VOL
Comme dans les affaires POLITI/MULLER, N., l'appartement d'Edith MARTINET a été fouillé et des objets dérobés.

Il faut donc espérer que de nouvelles analyses des scellés permettront de savoir si c'est aussi Vérove qui a commis ce meurtre horrible.

par Claire Lun 7 Nov - 13:23

Kassandra88 a écrit:Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux à terre, le buste sur le matelas, les mains liées dans le dos avec un tissu , une lame de ciseau fichée dans le coeur étranglée avec la jambe d'un collant. Des plaies par arme blanche sont visibles à hauteur du cou et il sera constaté un oedème cérébral intense à la tête.
C’est sa maman qui a découvert son corps le 3 avril 1987 aux alentours de 20H15 dans le studio qu’elle occupait avenue du président Wilson à la Plaine Saint Denis (93).
L’autopsie fixera le décès entre 18 et 20 heures.

Les constatations, l'autopsie, les photos de la scène de crime et l'ensemble des autres actes d'enquête rappellent ceux qui ont été observés lors du double meurtre du Marais.

- Etranglement:
Edith MARTINET: étranglée avec la jambe d'un bas
Cécile BLOCH: étranglée avec une cordelette
Imrgard MULLER: étranglée avec une ceinture
Gilles POLITI: étranglée avec une ceinture (noeud coulant)

- Plaies occasionnées par arme blanche:
Edith MARTINET: poignardée avec un ciseau fiché dans le coeur
Cécile BLOCH: poignardée côté gauche de l'Abdomen
Edith MARTINET: deux plaies au niveau du cou
Imrgard MULLER : deux plaies au niveau du cou
Gilles POLITI présente une plaie sur la partie droite du cou

NEUTRALISATION:
Edith MARTINET a les poignets liés dans le dos tout comme Gilles P., Marianne N. et Ingrid G.

AGRESSION SEXUELLE SUPPOSEE:
Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux au sol, le buste sur le lit.
les victimes BLOCH, MULLER, N., G. ont été sexuellement agressées.

VOL
Comme dans les affaires POLITI/MULLER, N., l'appartement d'Edith MARTINET a été fouillé et des objets dérobés.

Il faut donc espérer que de nouvelles analyses des scellés permettront de savoir si c'est aussi Vérove qui a commis ce meurtre horrible.

Bonjour Kassandra,
merci pour les infos.
Est ce que le dossier du meurtre d' E. Martinet a été rentré dans le SALVAC ?
En tout cas il y a beaucoup de similitudes avec d'autres crimes commis par Vérove.
Est ce que d'autres personnes que Vérove ont été suspectées du meurtre d'Edith ??

par Kassandra88 Lun 7 Nov - 13:53

Claire a écrit:
Kassandra88 a écrit:Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux à terre, le buste sur le matelas, les mains liées dans le dos avec un tissu , une lame de ciseau fichée dans le coeur étranglée avec la jambe d'un collant. Des plaies par arme blanche sont visibles à hauteur du cou et il sera constaté un oedème cérébral intense à la tête.
C’est sa maman qui a découvert son corps le 3 avril 1987 aux alentours de 20H15 dans le studio qu’elle occupait avenue du président Wilson à la Plaine Saint Denis (93).
L’autopsie fixera le décès entre 18 et 20 heures.

Les constatations, l'autopsie, les photos de la scène de crime et l'ensemble des autres actes d'enquête rappellent ceux qui ont été observés lors du double meurtre du Marais.

- Etranglement:
Edith MARTINET: étranglée avec la jambe d'un bas
Cécile BLOCH: étranglée avec une cordelette
Imrgard MULLER: étranglée avec une ceinture
Gilles POLITI: étranglée avec une ceinture (noeud coulant)

- Plaies occasionnées par arme blanche:
Edith MARTINET: poignardée avec un ciseau fiché dans le coeur
Cécile BLOCH: poignardée côté gauche de l'Abdomen
Edith MARTINET: deux plaies au niveau du cou
Imrgard MULLER : deux plaies au niveau du cou
Gilles POLITI présente une plaie sur la partie droite du cou

NEUTRALISATION:
Edith MARTINET a les poignets liés dans le dos tout comme Gilles P., Marianne N. et Ingrid G.

AGRESSION SEXUELLE SUPPOSEE:
Edith MARTINET est retrouvée nue, les genoux au sol, le buste sur le lit.
les victimes BLOCH, MULLER, N., G. ont été sexuellement agressées.

VOL
Comme dans les affaires POLITI/MULLER, N., l'appartement d'Edith MARTINET a été fouillé et des objets dérobés.

Il faut donc espérer que de nouvelles analyses des scellés permettront de savoir si c'est aussi Vérove qui a commis ce meurtre horrible.
Bonjour Kassandra,
merci pour les infos.
Est ce que le dossier du meurtre d' E. Martinet a été rentré dans le SALVAC ?
En tout cas il y a beaucoup de similitudes avec d'autres crimes commis par Vérove.
Est ce que d'autres personnes que Vérove ont été suspectées du meurtre d'Edith ??

Bonjour Claire,
Je ne m'en souviens pas ... ou plus.

Voilà ce que dit Patricia Tourancheau dans son livre, elle donne quelques infos sur sa profession:
« Le corps d’Édith Martinet est découvert chez elle, 57 avenue du Président-Wilson à La Plaine Saint-Denis (93), dénudée sur son lit, les mains attachées dans le dos, le cou enserré par un bas, étranglée, un ciseau planté dans le thorax. La prise du téléphone a été arrachée. Le meurtre – prescrit – de cette jeune femme VRP, qui démarchait les clients dans les tours à Paris XIIIe et fréquentait les piscines du XIVe et du Ve, sera joint en 2015 aux dossiers Bloch et Müller en raison de similitudes. Deux mégots de Camel fumées par le tueur n’ont pas été analysés. »

Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.

Et je trouve que "tours du XIIIè" et "piscines" sont de nouveaux indices menant vers Vérove. Maintenant, vu que les faits sont prescrits, va t'on quand même tenter de creuser cette piste?

Va t'on chercher l'ADN sur les mégots?

Son (ex?) compagnon a été soupçonné à l'époque.

par Tivier Ven 25 Nov - 11:27

Je viens de lire la page Wikipedia sur le meurtre de Perrine Vigneron, ainsi que plusieurs articles sur des affaires possiblement liées :

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Toutes ayant eu lieu en Ile de France, en 1987, sur des petites filles (brunes), mortes étranglées et violées.

On a aussi comme dénominateur commun des empreintes génétiques d'une personne de groupe sanguin A+. Or il me semble que FV était de groupe A+.

Est-ce que ça vous parait troublant aussi ?

par Kassandra88 Ven 25 Nov - 12:17

Tivier a écrit:Je viens de lire la page Wikipedia sur le meurtre de Perrine Vigneron, ainsi que plusieurs articles sur des affaires possiblement liées :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Toutes ayant eu lieu en Ile de France, en 1987, sur des petites filles (brunes), mortes étranglées et violées.

On a aussi comme dénominateur commun des empreintes génétiques d'une personne de groupe sanguin A+. Or il me semble que FV était de groupe A+.

Est-ce que ça vous parait troublant aussi ?

Bonjour Tivier,
Bonjour à tous,

Je recopie ici ce que j'avais posté tout au début de l'ouverture du fil "les disparues de Seine et Marne".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Bien sur, pourquoi pas Vérove? Mais il y avait pas mal d'indices qui pointaient vers Guardo.
Maintenant, s'il s'avérait que Vérove a tué Sophie Narme, "chaussures bien posées" pourraient être un indice intéressant vu que le meurtrier de Sophie a bien rangé ses escarpins (à moins que ce ne soit elle qui l'ai fait pour ne pas abimer le parquet).
A+ oui Vérove était A+ mais c'est un GS très fréquent.

Perrine: disparue à Bouleurs (77 Seine-et-Marne) retrouvée près de Chelles (77)
a été étranglée
Violences sexuelles? le corps était dans un état de décomposition tel qu’il n’est pas possible de le constater
Vêtements bien pliés à côté d’elle, ses chaussures bien posées l’une contre l’autre.
Femme? Hypothèse d'enquêteur (hypothèse sexiste lol!)
. Pliage:manie de Guardo
Lunettes jamais retrouvées.
Camionnette blanche vue près du lieu ou Perrine a été retrouvée. Guardo avait une camionnette blanche

par Tivier Ven 25 Nov - 13:21

Salut Kass,

Il y a quand même un hic sur l'hypothèse Guardo. On sait avec certitude que Guardo n'a pas tué Sabine Dumont (l'ADN retrouvé n'est pas le sien).

Par ailleurs si Guardo était un tyran domestique et un violeur incestueux, il n y a aucune affaire externe ou il ait pu réellement être mis en cause. Certes il y a des indices, mais la question de sa culpabilité dans ces affaire a pour origine sa fille qui était aussi sa victime. Mais je ne suis pas sur que les enquêteurs misent beaucoup sur un Guardo (tout monstre qu'il était) tueur en série.

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