Les disparues de Seine et Marne
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Re: Les disparues de Seine et Marne
FALCO a écrit:on parle bien de deux bmw entre 87 et 88 de cylindree diferente une blanche en 87 ET UNE DE COULEURE CLAIRE EN 88 des dire de l'auto stopeur.
PS:une question pour celui qui connaît bien le dossier et celui du grele a ton parler de motocross
Pas que je me souvienne.
Mais tu devrais relire le doc de JP Bloch (une partie est consacrée à Sabine) et le fil NE du forum de France2 (tu peux franchement zapper le baron)
Re: Les disparues de Seine et Marne
Re: Les disparues de Seine et Marne
Bonjour,
Je ne sais pas s'il y a un rapport...mais je met un lien sur un dépeceur de Seine et Marne.
Un an de prison pour les détenus qui ont tabassé le «dépeceur» en Seine-et-Marne
>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Chauconin-Neufmontiers|Alexandre Arlot|14 août 2017, 19h52 | MAJ : 14 août 2017, 19h55|2
Le 30 juin 2017, Frédéric Tribout a été condamné à trente ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Faïza Hassouni, la petite amie de son frère. Trois jours plus tard, il a été violemment frappé par deux autres détenus de la prison de Meaux-Chauconin. Il souffre d’une double fracture à la jambe droite. LP/Christelle Goth
Alexandre Arlot
Chauconin-NeufmontiersFrédéric TriboutFaiza HassouniPrison de Meaux-ChauconinViolences aggravées
Condamné fin juin à 30 ans de réclusion criminelle pour meurtre, Frédéric Tribout a été agressé quelques jours plus tard au sein de la prison de Meaux-Chauconin (Seine-et-Marne).
«Cette personne me fait peur. Je me suis senti en danger.» Bilal S. cherche ses mots. Ce prisonnier du centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin (Seine-et-Marne) et son codétenu étaient jugés ce lundi pour des violences aggravées commises au sein de l’établissement.
Âgés de 19 et 20 ans, les deux hommes sont en détention provisoire pour des affaires de complicité de tentative de meurtre pour l’un et d’assassinat pour l’autre. Debout dans le box, Bilal a expliqué son geste par la crainte que lui inspirait l’identité de sa victime. Le 3 juillet, lui et Ruben M. ont violemment frappé Frédéric Tribout dans la cour de la prison. Ce trentenaire avait été condamné trois jours plus tôt à trente ans de réclusion par la cour d’assises de Seine-Saint-Denis. Il a été reconnu coupable d’avoir tué, démembré et brûlé le corps de la compagne de son frère en octobre 2013.
L’agression a été filmée par les caméras de surveillance de la prison. Elle découlerait en premier lieu d’une histoire de changement de cellule. Selon Bilal, la victime lui aurait donné l’assurance de lui céder la sienne. «Elle est un peu plus grande que la mienne et j’aurais pu parler avec mes potes à la fenêtre», explique-t-il. Las, Frédéric Tribout aurait changé d’avis.
Un refus auquel le prévenu a répondu par des coups de poing, avant que son codétenu accoure et assène un violent croc-en-jambe à la victime. Celle-ci souffre d’une double facture tibia-péroné à la jambe droite. Une incapacité totale de travail de 45 jours lui a été notifiée, l’unité judiciaire qui mesure la gravité de blessures.
Frédéric Tribout était absent lors de l’audience
«Je l’ai mal pris, confirme Bilal en évoquant la discussion avec Frédéric Tribout. J’ai eu peur pour moi parce que son histoire me fait peur. Je n’allais pas attendre le premier coup.» La peur semblait équitablement répartie dans ce procès puisque Frédéric Tribout a invoqué la crainte de représailles pour refuser d’y assister.
Ruben, le codétenu de Bilal, a quant à lui assuré qu’il souhaitait séparer les deux détenus. «Vous vouliez le protéger (NDLR : Frédéric Tribout) mais vous lui avez cassé la jambe», a souligné la présidente. «Je l’ai fait tomber mais je ne voulais pas lui faire du mal», a répondu le prévenu. La substitute de la procureure a appuyé son réquisitoire sur les circonstances aggravantes des faits, en l’occurrence des violences commises en réunion et dans l’enceinte de la prison.
Me Boghossian, le conseil des deux détenus, a d’abord listé les trois coups qui ont été assénés en direction de la victime. «Nous sommes loin du déchaînement de violences, a-t-il plaidé. Il n’y a pas eu de lynchage.» Puis l’avocat a évoqué la surpopulation carcérale à Meaux-Chauconin :
«Tout cela créé des tensions qui n’existaient pas à un tel niveau auparavant.» Les deux prévenus ont été condamnés à un an d’emprisonnement avec maintien en détention, soit la moitié de la peine requise par le ministère public.
leparisien.fr
Je ne sais pas s'il y a un rapport...mais je met un lien sur un dépeceur de Seine et Marne.
Un an de prison pour les détenus qui ont tabassé le «dépeceur» en Seine-et-Marne
>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Chauconin-Neufmontiers|Alexandre Arlot|14 août 2017, 19h52 | MAJ : 14 août 2017, 19h55|2
Le 30 juin 2017, Frédéric Tribout a été condamné à trente ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Faïza Hassouni, la petite amie de son frère. Trois jours plus tard, il a été violemment frappé par deux autres détenus de la prison de Meaux-Chauconin. Il souffre d’une double fracture à la jambe droite. LP/Christelle Goth
Alexandre Arlot
Chauconin-NeufmontiersFrédéric TriboutFaiza HassouniPrison de Meaux-ChauconinViolences aggravées
Condamné fin juin à 30 ans de réclusion criminelle pour meurtre, Frédéric Tribout a été agressé quelques jours plus tard au sein de la prison de Meaux-Chauconin (Seine-et-Marne).
«Cette personne me fait peur. Je me suis senti en danger.» Bilal S. cherche ses mots. Ce prisonnier du centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin (Seine-et-Marne) et son codétenu étaient jugés ce lundi pour des violences aggravées commises au sein de l’établissement.
Âgés de 19 et 20 ans, les deux hommes sont en détention provisoire pour des affaires de complicité de tentative de meurtre pour l’un et d’assassinat pour l’autre. Debout dans le box, Bilal a expliqué son geste par la crainte que lui inspirait l’identité de sa victime. Le 3 juillet, lui et Ruben M. ont violemment frappé Frédéric Tribout dans la cour de la prison. Ce trentenaire avait été condamné trois jours plus tôt à trente ans de réclusion par la cour d’assises de Seine-Saint-Denis. Il a été reconnu coupable d’avoir tué, démembré et brûlé le corps de la compagne de son frère en octobre 2013.
L’agression a été filmée par les caméras de surveillance de la prison. Elle découlerait en premier lieu d’une histoire de changement de cellule. Selon Bilal, la victime lui aurait donné l’assurance de lui céder la sienne. «Elle est un peu plus grande que la mienne et j’aurais pu parler avec mes potes à la fenêtre», explique-t-il. Las, Frédéric Tribout aurait changé d’avis.
Un refus auquel le prévenu a répondu par des coups de poing, avant que son codétenu accoure et assène un violent croc-en-jambe à la victime. Celle-ci souffre d’une double facture tibia-péroné à la jambe droite. Une incapacité totale de travail de 45 jours lui a été notifiée, l’unité judiciaire qui mesure la gravité de blessures.
Frédéric Tribout était absent lors de l’audience
«Je l’ai mal pris, confirme Bilal en évoquant la discussion avec Frédéric Tribout. J’ai eu peur pour moi parce que son histoire me fait peur. Je n’allais pas attendre le premier coup.» La peur semblait équitablement répartie dans ce procès puisque Frédéric Tribout a invoqué la crainte de représailles pour refuser d’y assister.
Ruben, le codétenu de Bilal, a quant à lui assuré qu’il souhaitait séparer les deux détenus. «Vous vouliez le protéger (NDLR : Frédéric Tribout) mais vous lui avez cassé la jambe», a souligné la présidente. «Je l’ai fait tomber mais je ne voulais pas lui faire du mal», a répondu le prévenu. La substitute de la procureure a appuyé son réquisitoire sur les circonstances aggravantes des faits, en l’occurrence des violences commises en réunion et dans l’enceinte de la prison.
Me Boghossian, le conseil des deux détenus, a d’abord listé les trois coups qui ont été assénés en direction de la victime. «Nous sommes loin du déchaînement de violences, a-t-il plaidé. Il n’y a pas eu de lynchage.» Puis l’avocat a évoqué la surpopulation carcérale à Meaux-Chauconin :
«Tout cela créé des tensions qui n’existaient pas à un tel niveau auparavant.» Les deux prévenus ont été condamnés à un an d’emprisonnement avec maintien en détention, soit la moitié de la peine requise par le ministère public.
leparisien.fr
ninaben
Re: Les disparues de Seine et Marne
ninaben a écrit:Bonjour,
Je ne sais pas s'il y a un rapport...mais je met un lien sur un dépeceur de Seine et Marne.
leparisien.fr
Bonjour Nina,
Non, il n'y a en aucun. je cite "Frédéric Tribout, 31 ans, avait été condamné trois jours plus tôt par la cour d’assises de Seine-Saint-Denis,"
Il venait à peine de naitre au moment où les fillettes ont été assassinées.
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Sabine Dumont
Cet article concerne la petite Maëlys, mais elle évoque aussi Sabine et Estelle:
Le commissaire Philippe Guichard évoque le quotidien de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP).
En quoi consiste le travail de l'office que vous dirigez ?
Philippe Guichard. Nous sommes notamment chargés d'enquêter sur les homicides non résolus, les fameux « cold cases », ou les séries de crimes tels que les viols. Mais la part la plus délicate de notre travail concerne les disparitions criminelles, soit une dizaine d'affaires.
Quand on reprend un dossier, chacun le relit de son côté. Les psycho-criminologues, les spécialistes en téléphonie, les analystes criminels, moi-même... Et une réunion de calage a lieu autour de cette table pour décider de l'axe prioritaire.
Quel est le cas plus ancien ?
Celui de la petite Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003, traité avec la police judiciaire de Versailles (Yvelines). Mais, parallèlement, nous enquêtons toujours sur une affaire de meurtre, celui de la petite Sabine Dumont, en 1987, dans l'Essonne. Là, nous disposons de l'ADN de l'auteur, toujours inconnu. En moyenne chaque année en France, on recense de deux à quatre cas de disparition criminelle, chiffre à rapporter aux quelque 1 200 disparitions de mineurs signalées annuellement.
Comment vivre avec un tel poids au quotidien ?
On se dit chaque jour : « A-t-on oublié quelque chose ? Est-on parti sur une mauvaise piste ? Le nom de l'auteur est-il apparu dans le dossier sans avoir éveillé nos soupçons ? » L'incertitude est insupportable. Il faut être passionné, méticuleux, se garder de toute impatience. Mais si je perdais espoir, je ferais un autre métier. J'ai la conviction que tous nos dossiers — tous — peuvent un jour aboutir, quelle que soit l'issue.
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Le commissaire Philippe Guichard évoque le quotidien de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP).
En quoi consiste le travail de l'office que vous dirigez ?
Philippe Guichard. Nous sommes notamment chargés d'enquêter sur les homicides non résolus, les fameux « cold cases », ou les séries de crimes tels que les viols. Mais la part la plus délicate de notre travail concerne les disparitions criminelles, soit une dizaine d'affaires.
Quand on reprend un dossier, chacun le relit de son côté. Les psycho-criminologues, les spécialistes en téléphonie, les analystes criminels, moi-même... Et une réunion de calage a lieu autour de cette table pour décider de l'axe prioritaire.
Quel est le cas plus ancien ?
Celui de la petite Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003, traité avec la police judiciaire de Versailles (Yvelines). Mais, parallèlement, nous enquêtons toujours sur une affaire de meurtre, celui de la petite Sabine Dumont, en 1987, dans l'Essonne. Là, nous disposons de l'ADN de l'auteur, toujours inconnu. En moyenne chaque année en France, on recense de deux à quatre cas de disparition criminelle, chiffre à rapporter aux quelque 1 200 disparitions de mineurs signalées annuellement.
Comment vivre avec un tel poids au quotidien ?
On se dit chaque jour : « A-t-on oublié quelque chose ? Est-on parti sur une mauvaise piste ? Le nom de l'auteur est-il apparu dans le dossier sans avoir éveillé nos soupçons ? » L'incertitude est insupportable. Il faut être passionné, méticuleux, se garder de toute impatience. Mais si je perdais espoir, je ferais un autre métier. J'ai la conviction que tous nos dossiers — tous — peuvent un jour aboutir, quelle que soit l'issue.
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Re: Les disparues de Seine et Marne
limacinaclione a écrit:Bonjour on a retrouver le corp de la petite sabine dans un fosser ou une ricole pour certaint non loing d'une piste cyclable et d'un depot de caravane ou les clubs de cycliste entreposaient leur vehicules.qui dans l'entourage de sabine ou voisins fait du vello ou aime le velo en cherchant j'ais trouver que le maire et la maire de bievres animais un club de velo avait t'il une fille ou un enfant dans l'ecole ou la classe de sabine j'ais trouver
une choses etonante la maire de bievres est bien basaner de qu'elle pays est elle originaire je ne suis pas raciste loing de la je cherche seulement des complices de se meutre il etait trois il sont beaucoup de fumer le jours des recherches.
Bonjour,
Dans la mesure où on ne sait même pas qui a ôté la vie de Sabine, comment peux tu savoir que l'auteur avait des complices?
...Et si vraiment tu veux qu'on ne te reconnaisse pas quand tu changeras à nouveau de pseudo, alors commence par travailler ton orthographe et ta grammaire.
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