Disparition de Léa Petitgas
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Disparition de Léa Petitgas
2018
Cela fait désormais 5 mois que l'on est sans nouvelles de Léa.
Que lui est-il arrivé?
Appel à témoins pour tenter de retrouver Léa: 20 ans, disparue à Nantes depuis le 13 décembre.
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Cela fait désormais 5 mois que l'on est sans nouvelles de Léa.
Que lui est-il arrivé?
Appel à témoins pour tenter de retrouver Léa: 20 ans, disparue à Nantes depuis le 13 décembre.
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Dernière édition par Kassandra88 le Ven 11 Jan - 14:31, édité 2 fois
Re: Disparition de Léa Petitgas
Nantes Disparition de Léa: "L'attente est terrible"
Léa Petitgas, 20 ans, n’a plus donné signe de vie depuis le 13 décembre. Christophe, son père, « garde espoir » et se bat pour la retrouver. Entretien.
Presse Océan : Y a t-il du nouveau dans l’enquête sur la disparition de Léa ?
Christophe Petitgas : « Les policiers m’appellent régulièrement. On n’a toujours aucune nouvelle de Léa. Pas de mouvement sur ses comptes, son téléphone est resté muet. Samedi, avec ses amis, on est venu à Nantes placarder des flyers « avis de recherche » dans la ville. Quand je suis dans l’action, ça va. C’est quand on s’arrête que c’est dur. L’attente est terrible. Noël, dans ces conditions… »
Qu’a fait Léa avant sa disparition le 13 décembre ?
« Elle a passé une soirée chez elle à dessiner, en compagnie d’un ami qui a fait l’école Pivaut. Léa adore dessiner, des mangas ou toute autre chose. Elle a un vrai talent. Quand son ami est parti, elle lui a dit qu’elle allait se coucher. Elle devait travailler le lendemain (Ndlr : Léa travaille en service civique à la maison de quartier de la Halvêque). Elle ne s’est pas rendu à son boulot. La tablette graphique qu’elle possède est restée dans son appartement. »
Votre fille n’est pas du tout dépressive ?
« Non. Elle a parfois des petits soucis comme tout le monde mais elle sait que l’on est là. Je l’ai toujours aidée. J’ai trouvé son appart à Nantes, payé la caution et les premiers mois de loyer. Elle sait qu’elle peut compter sur nous. Ses voisins décrivent une jeune femme sans histoire. Elle est calme, elle ne fait pas de bruit. Aucun détail inquiétant n’a été remarqué. »
Vous gardez espoir ?
« Oui, une information judiciaire est ouverte pour « enlèvement et séquestration » mais les enquêteurs m’ont expliqué que c’était pour dégager le plus de moyens possibles. Les policiers font le maximum, j’ai confiance en eux. Personne ne perd espoir. »
Entretien à retrouver dans son intégralité dans Presse Océan ce mardi 26 décembre.
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Léa Petitgas, 20 ans, n’a plus donné signe de vie depuis le 13 décembre. Christophe, son père, « garde espoir » et se bat pour la retrouver. Entretien.
Presse Océan : Y a t-il du nouveau dans l’enquête sur la disparition de Léa ?
Christophe Petitgas : « Les policiers m’appellent régulièrement. On n’a toujours aucune nouvelle de Léa. Pas de mouvement sur ses comptes, son téléphone est resté muet. Samedi, avec ses amis, on est venu à Nantes placarder des flyers « avis de recherche » dans la ville. Quand je suis dans l’action, ça va. C’est quand on s’arrête que c’est dur. L’attente est terrible. Noël, dans ces conditions… »
Qu’a fait Léa avant sa disparition le 13 décembre ?
« Elle a passé une soirée chez elle à dessiner, en compagnie d’un ami qui a fait l’école Pivaut. Léa adore dessiner, des mangas ou toute autre chose. Elle a un vrai talent. Quand son ami est parti, elle lui a dit qu’elle allait se coucher. Elle devait travailler le lendemain (Ndlr : Léa travaille en service civique à la maison de quartier de la Halvêque). Elle ne s’est pas rendu à son boulot. La tablette graphique qu’elle possède est restée dans son appartement. »
Votre fille n’est pas du tout dépressive ?
« Non. Elle a parfois des petits soucis comme tout le monde mais elle sait que l’on est là. Je l’ai toujours aidée. J’ai trouvé son appart à Nantes, payé la caution et les premiers mois de loyer. Elle sait qu’elle peut compter sur nous. Ses voisins décrivent une jeune femme sans histoire. Elle est calme, elle ne fait pas de bruit. Aucun détail inquiétant n’a été remarqué. »
Vous gardez espoir ?
« Oui, une information judiciaire est ouverte pour « enlèvement et séquestration » mais les enquêteurs m’ont expliqué que c’était pour dégager le plus de moyens possibles. Les policiers font le maximum, j’ai confiance en eux. Personne ne perd espoir. »
Entretien à retrouver dans son intégralité dans Presse Océan ce mardi 26 décembre.
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Re: Disparition de Léa Petitgas
La jeune fille a disparu depuis le 13 décembre.
Où est Léa Petitgas ? Disparue le 13 décembre 2017 à Nantes (Loire-Atlantique), la jeune fille de 20 ans n’a donné aucun signe de vie depuis. Ce dossier est jugé inquiétant par la police judiciaire qui a lancé un nouvel appel à témoins sur les réseaux sociaux de mardi.
Nouvel [#appelàTémoins] suite à la #disparition inquiétante à #Nantes de #LéaPETITGAS âgée de 20 ans. Sans nouvelle depuis le 13 Décembre 2017.
Si vous avez des informations, aidez les enquêteurs de l'antenne de #Police Judiciaire de Nantes - Merci de RT - #RetrouvonsLéapic.twitter.com/72LUEH0cDR
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) February 27, 2018
Elle demande aux internautes de partager l’avis de recherche avec la description de Léa Petitgas, jeune femme brune de corpulence fine qui mesure 1, 47 m. Le jour de sa disparition, elle portait un pantalon bleu, une veste kaki et une écharpe foncée.
Le soir de sa disparition, celle qui effectue son service civique à la maison de quartier de la Halvêque à Nantes avait dîné avec un ami dans son studio. Le lendemain, elle ne s’est pas présentée à son travail. Les enquêteurs, venus à plusieurs reprises dans son appartement, peinent à dégager une piste selon Ouest France.
Si vous avez des renseignements susceptibles d’aider les enquêteurs, vous êtes invités à appeler le 02 53 46 75 00, le 06 13 83 30 97 ou le 06 43 16 18 24.
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Où est Léa Petitgas ? Disparue le 13 décembre 2017 à Nantes (Loire-Atlantique), la jeune fille de 20 ans n’a donné aucun signe de vie depuis. Ce dossier est jugé inquiétant par la police judiciaire qui a lancé un nouvel appel à témoins sur les réseaux sociaux de mardi.
Nouvel [#appelàTémoins] suite à la #disparition inquiétante à #Nantes de #LéaPETITGAS âgée de 20 ans. Sans nouvelle depuis le 13 Décembre 2017.
Si vous avez des informations, aidez les enquêteurs de l'antenne de #Police Judiciaire de Nantes - Merci de RT - #RetrouvonsLéapic.twitter.com/72LUEH0cDR
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) February 27, 2018
Elle demande aux internautes de partager l’avis de recherche avec la description de Léa Petitgas, jeune femme brune de corpulence fine qui mesure 1, 47 m. Le jour de sa disparition, elle portait un pantalon bleu, une veste kaki et une écharpe foncée.
Le soir de sa disparition, celle qui effectue son service civique à la maison de quartier de la Halvêque à Nantes avait dîné avec un ami dans son studio. Le lendemain, elle ne s’est pas présentée à son travail. Les enquêteurs, venus à plusieurs reprises dans son appartement, peinent à dégager une piste selon Ouest France.
Si vous avez des renseignements susceptibles d’aider les enquêteurs, vous êtes invités à appeler le 02 53 46 75 00, le 06 13 83 30 97 ou le 06 43 16 18 24.
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Re: Disparition de Léa Petitgas
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Qu'est-il arrivé à la Nantaise entre le mercredi soir et le jeudi matin ? Départ volontaire ? Suicide ? Homicide ?
Deux appels à témoins
Ce jour-là, elle ne s’est pas présentée pas à son travail, dans une maison de quartier, où elle suivait un service civique depuis septembre. Les policiers ont passé son appartement au peigne fin, où elle a laissé de nombreuses affaires comme sa brosse à dents ou sa tablette graphique. Ils ont effectué de nombreux prélèvements au troisième étage du petit immeuble où elle habitait depuis septembre.
Un premier appel à témoins avait été lancé le 20 décembre, puis un deuxième le 27 février. Une information judiciaire a également été ouverte pour enlèvement et séquestration.
La jeune femme mesure 1,47 m. De type européen et de corpulence fine, elle a les cheveux bruns, raides et longs, les yeux verts et le teint pâle. Elle possède un signe distinctif, une cicatrice sur le bras droit.
Selon les services de police, elle pourrait porter "un pantalon bleu, une veste kaki et une écharpe foncée". Elle lierait facilement le dialogue et serait "capable de faire confiance à des inconnus".
Re: Disparition de Léa Petitgas
La jeune femme de 20 ans a quitté son domicile dans le quartier Canclaux à 8 h 30 pour rejoindre son travail, en prenant un bus et un tram. C’est la dernière fois que son téléphone a borné. Aucun mouvement n’a été constaté sur son compte bancaire. Les proches de Léa ne croient pas à une disparition volontaire. « Ce qui me fait peur, ce sont tous les détraqués, tous les pédophiles, tous les gens attirés par de jeunes filles », confie son père, Christophe Petitgas.
L’appel du procureur de la République
Deux groupes de la Police judiciaire de Nantes épaulée par un service spécialisé dans les disparitions inquiétantes ont été mobilisés pour mener l’enquête, en vain à ce jour.
On veut vraiment que l’appel à témoins soit présent et réactivé et que si possible, on ait des contacts avec des gens qui pourraient la reconnaître », indique le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennes. « On se demande combien de temps ça va durer, ajoute Christophe Petitgas. On espère que l’enquête se déclenchera et qu’on la retrouvera saine et sauve. »
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L'article publié aujourd'hui:
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Malgré les nombreuses recherches entreprises par la police et les multiples appels à témoin diffusés dans la presse, cette jeune femme demeure introuvable depuis cinq mois.
Re: Disparition de Léa Petitgas
Disparition de Léa à Nantes : cinq mois d’énigme
Le 14 décembre, la jeune femme de 20 ans s’est mystérieusement évaporée sur le chemin du travail, à Nantes. Deux services de police judiciaire, dont un spécialisé dans les disparitions inquiétantes, enquêtent. Sans qu’aucune piste ne se dégage.
Le 14 décembre au matin, vêtue d’un bonnet blanc et d’une parka verte, elle quitte son petit studio de Nantes. Son téléphone se connecte au wi-fi de son immeuble à 8h30. Une heure plus tard, il accroche une borne dans son quartier. Mais depuis, c’est le silence absolu. Léa ne se présente pas à la mission locale, où elle travaille depuis peu. Son téléphone – jamais retrouvé — cesse brutalement toute activité et aucun mouvement bancaire n’est décelé.
Ni témoins ni caméras de surveillance n’ont repéré sa fine silhouette dans les rues nantaises. « Il n’y a aucune explication rationnelle à sa disparition », résume le procureur de Nantes, Pierre Sennès. La veille, Léa, passionnée de mangas japonais, avait dîné avec un ami qui lui apprenait à dessiner : cet homme, mis hors de cause, n’a rien remarqué d’inhabituel chez elle…
Mauvaise rencontre ou fugue ?
Une information judiciaire pour « enlèvement et séquestration » a depuis été ouverte. Deux groupes criminels de la police judiciaire de Nantes, épaulés par l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), ont mené de lourdes investigations : auditions, expertises techniques, relevés de traces ADN, signalements à l’étranger… En vain.
Toutes les pistes restent ouvertes. « Aucune n’est privilégiée. Au départ, on était vraiment centré sur l’hypothèse criminelle d’une mauvaise rencontre : prédateur ou affaire crapuleuse. Léa passait beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. Maintenant, on s’interroge », explique une source policière. Des amis de Léa, décrite comme « rêveuse », ont récemment confié, lors d’auditions, que celle-ci avait déjà évoqué l’idée de « tout plaquer ».
Paroles en l’air ou malaise profond ? Impossible à dire. Des vérifications ont été effectuées dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, là encore sans résultat. Le père de Léa, lui, répète que sa fille n’a pas le profil d’une fugueuse, encore moins d’une contestataire : « Elle était pleine de vie et n’aurait jamais passé autant de temps sans envoyer un seul message. Elle n’aurait pas non plus abandonné ses deux chats et autant d’affaires personnelles. Elle n’a pas de ressources. » C’est d’ailleurs les miaulements incessants des deux félins, affamés, qui ont poussé une amie de Léa à donner l’alerte.
Des gardes à vue infructueuses
Les enquêteurs pensaient tenir, il y a deux semaines encore, une piste. Quatre jeunes individus, dont d’anciens flirts et des femmes, ont discrètement été placés en garde à vue. Des contradictions sont apparues dans leurs dépositions initiales. Ils prétendaient n’avoir pas vu Léa depuis longtemps alors que l’enquête a démontré le contraire. « Ils évoluent dans un milieu ésotérique, voire interlope, confie un policier. Ils pratiquaient avec Léa des jeux de rôle, type loups-garous. » Tous ont été finalement relâchés : ils sont certes décrits comme « illuminés » mais n’ont pas le profil de criminels.
L’enquête redémarre à zéro. « Les appels à témoins n’ont pas été un succès. Il faut que les personnes restent vigilantes et se manifestent si elles pensent avoir aperçu Léa », prévient le procureur de Nantes.
Nouvel [#appelàTémoins] suite à la #disparition inquiétante à #Nantes de #LéaPETITGAS âgée de 20 ans. Sans nouvelle depuis le 13 Décembre 2017.
Si vous avez des informations, aidez les enquêteurs de l'antenne de #Police Judiciaire de Nantes - Merci de RT - #RetrouvonsLéapic.twitter.com/72LUEH0cDR
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) 27 février 2018
Les policiers ont réentendu la famille et les amis de Léa, en présence de psychologues de l’OCRVP, pour reconstituer son fil de vie. Objectif : récolter des indices, même minces, et ouvrir de nouvelles pistes.
4500 NOUVELLES DISPARITIONS INQUIÉTANTES PAR AN
C’est environ le nombre de nouvelles personnes inscrites chaque année dans le Fichier des personnes recherchées (FPR), à la catégorie « PJ 22 ». Sont concernés les mineurs ou majeurs disparus et « susceptibles d’avoir été victimes d’un crime ou d’un délit ».
Léa Petitgas a été inscrite dans ce fichier. Ce sont les services de police et de gendarmerie qui, chaque année, ajoutent de nouveaux noms ou en retirent. Les autres catégories concernent, par exemple, les personnes suicidaires ou les fugueurs.
Faits divers
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Le 14 décembre, la jeune femme de 20 ans s’est mystérieusement évaporée sur le chemin du travail, à Nantes. Deux services de police judiciaire, dont un spécialisé dans les disparitions inquiétantes, enquêtent. Sans qu’aucune piste ne se dégage.
Le 14 décembre au matin, vêtue d’un bonnet blanc et d’une parka verte, elle quitte son petit studio de Nantes. Son téléphone se connecte au wi-fi de son immeuble à 8h30. Une heure plus tard, il accroche une borne dans son quartier. Mais depuis, c’est le silence absolu. Léa ne se présente pas à la mission locale, où elle travaille depuis peu. Son téléphone – jamais retrouvé — cesse brutalement toute activité et aucun mouvement bancaire n’est décelé.
Ni témoins ni caméras de surveillance n’ont repéré sa fine silhouette dans les rues nantaises. « Il n’y a aucune explication rationnelle à sa disparition », résume le procureur de Nantes, Pierre Sennès. La veille, Léa, passionnée de mangas japonais, avait dîné avec un ami qui lui apprenait à dessiner : cet homme, mis hors de cause, n’a rien remarqué d’inhabituel chez elle…
Mauvaise rencontre ou fugue ?
Une information judiciaire pour « enlèvement et séquestration » a depuis été ouverte. Deux groupes criminels de la police judiciaire de Nantes, épaulés par l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), ont mené de lourdes investigations : auditions, expertises techniques, relevés de traces ADN, signalements à l’étranger… En vain.
Toutes les pistes restent ouvertes. « Aucune n’est privilégiée. Au départ, on était vraiment centré sur l’hypothèse criminelle d’une mauvaise rencontre : prédateur ou affaire crapuleuse. Léa passait beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. Maintenant, on s’interroge », explique une source policière. Des amis de Léa, décrite comme « rêveuse », ont récemment confié, lors d’auditions, que celle-ci avait déjà évoqué l’idée de « tout plaquer ».
Paroles en l’air ou malaise profond ? Impossible à dire. Des vérifications ont été effectuées dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, là encore sans résultat. Le père de Léa, lui, répète que sa fille n’a pas le profil d’une fugueuse, encore moins d’une contestataire : « Elle était pleine de vie et n’aurait jamais passé autant de temps sans envoyer un seul message. Elle n’aurait pas non plus abandonné ses deux chats et autant d’affaires personnelles. Elle n’a pas de ressources. » C’est d’ailleurs les miaulements incessants des deux félins, affamés, qui ont poussé une amie de Léa à donner l’alerte.
Des gardes à vue infructueuses
Les enquêteurs pensaient tenir, il y a deux semaines encore, une piste. Quatre jeunes individus, dont d’anciens flirts et des femmes, ont discrètement été placés en garde à vue. Des contradictions sont apparues dans leurs dépositions initiales. Ils prétendaient n’avoir pas vu Léa depuis longtemps alors que l’enquête a démontré le contraire. « Ils évoluent dans un milieu ésotérique, voire interlope, confie un policier. Ils pratiquaient avec Léa des jeux de rôle, type loups-garous. » Tous ont été finalement relâchés : ils sont certes décrits comme « illuminés » mais n’ont pas le profil de criminels.
L’enquête redémarre à zéro. « Les appels à témoins n’ont pas été un succès. Il faut que les personnes restent vigilantes et se manifestent si elles pensent avoir aperçu Léa », prévient le procureur de Nantes.
Nouvel [#appelàTémoins] suite à la #disparition inquiétante à #Nantes de #LéaPETITGAS âgée de 20 ans. Sans nouvelle depuis le 13 Décembre 2017.
Si vous avez des informations, aidez les enquêteurs de l'antenne de #Police Judiciaire de Nantes - Merci de RT - #RetrouvonsLéapic.twitter.com/72LUEH0cDR
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) 27 février 2018
Les policiers ont réentendu la famille et les amis de Léa, en présence de psychologues de l’OCRVP, pour reconstituer son fil de vie. Objectif : récolter des indices, même minces, et ouvrir de nouvelles pistes.
4500 NOUVELLES DISPARITIONS INQUIÉTANTES PAR AN
C’est environ le nombre de nouvelles personnes inscrites chaque année dans le Fichier des personnes recherchées (FPR), à la catégorie « PJ 22 ». Sont concernés les mineurs ou majeurs disparus et « susceptibles d’avoir été victimes d’un crime ou d’un délit ».
Léa Petitgas a été inscrite dans ce fichier. Ce sont les services de police et de gendarmerie qui, chaque année, ajoutent de nouveaux noms ou en retirent. Les autres catégories concernent, par exemple, les personnes suicidaires ou les fugueurs.
Faits divers
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Re: Disparition de Léa Petitgas
Disparition de Léa à Nantes : l’analyse d’un enquêteur
Le patron de l’OCRVP, office central co-saisi dans l’affaire Léa Petitgas, livre son analyse du dossier et détaille les critères permettant de qualifier une disparition d’inquiétante.
Le commissaire Philippe Guichard est patron de l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). La structure a été saisie dans le cadre de l’enquête sur la disparition de Léa Petitgas, 20 ans, à Nantes (Loire-Atlantique) le 14 décembre 2017.
En quoi l’affaire Petitgas est-elle particulière ?
PHILIPPE GUICHARD. C’est une affaire qui nous semble très inquiétante car Léa disparaît du jour au lendemain, sans donner de nouvelles. Il y a une brusque coupure qui ne s’explique pas : plus d’activité téléphonique, plus de connexion sur les réseaux sociaux… Et il n’y a aucun témoin. Les investigations menées dans son environnement n’ont pas permis d’avancer sur une piste plutôt qu’une autre, la disparition volontaire ou la mauvaise rencontre, voire l’une suivie de l’autre.
À quel moment une disparition est-elle qualifiée d’inquiétante ?
Quand il s’agit d’un mineur, une disparition est toujours considérée comme inquiétante car c’est une personne vulnérable. Pour un majeur, cela relève d’une appréciation au cas par cas : les services territoriaux analysent l’environnement du disparu, reconstituent son emploi du temps avant la disparition et regardent s’il y a des suspicions de délit ou de crime. Les questions qui se posent sont : y avait-il des signes avant-coureurs, comme des précédents de fugue ? S’agit-il d’une famille à problèmes ? Un majeur a le droit de disparaître, sans prévenir ses proches.
Dans quels cas l’OCRVP est-il saisi ?
Dans les cas les plus complexes. Nous avons une quinzaine de dossiers. Nous sommes sollicités par les services de police ou de gendarmerie territoriaux quand ceux-ci ont besoin d’un renfort humain ou de notre expertise pour dégager de nouveaux axes d’enquête. Nous relisons les auditions pour trouver des pistes peut-être négligées ou procédons à de nouvelles. Nous enquêtons aussi en dehors du territoire du service local. Cela a été le cas dans l’affaire Petitgas : nous avons effectué des vérifications à Paris, dans des gares et auprès d’associations type Les Restos du cœur.
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Le patron de l’OCRVP, office central co-saisi dans l’affaire Léa Petitgas, livre son analyse du dossier et détaille les critères permettant de qualifier une disparition d’inquiétante.
Le commissaire Philippe Guichard est patron de l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). La structure a été saisie dans le cadre de l’enquête sur la disparition de Léa Petitgas, 20 ans, à Nantes (Loire-Atlantique) le 14 décembre 2017.
En quoi l’affaire Petitgas est-elle particulière ?
PHILIPPE GUICHARD. C’est une affaire qui nous semble très inquiétante car Léa disparaît du jour au lendemain, sans donner de nouvelles. Il y a une brusque coupure qui ne s’explique pas : plus d’activité téléphonique, plus de connexion sur les réseaux sociaux… Et il n’y a aucun témoin. Les investigations menées dans son environnement n’ont pas permis d’avancer sur une piste plutôt qu’une autre, la disparition volontaire ou la mauvaise rencontre, voire l’une suivie de l’autre.
À quel moment une disparition est-elle qualifiée d’inquiétante ?
Quand il s’agit d’un mineur, une disparition est toujours considérée comme inquiétante car c’est une personne vulnérable. Pour un majeur, cela relève d’une appréciation au cas par cas : les services territoriaux analysent l’environnement du disparu, reconstituent son emploi du temps avant la disparition et regardent s’il y a des suspicions de délit ou de crime. Les questions qui se posent sont : y avait-il des signes avant-coureurs, comme des précédents de fugue ? S’agit-il d’une famille à problèmes ? Un majeur a le droit de disparaître, sans prévenir ses proches.
Dans quels cas l’OCRVP est-il saisi ?
Dans les cas les plus complexes. Nous avons une quinzaine de dossiers. Nous sommes sollicités par les services de police ou de gendarmerie territoriaux quand ceux-ci ont besoin d’un renfort humain ou de notre expertise pour dégager de nouveaux axes d’enquête. Nous relisons les auditions pour trouver des pistes peut-être négligées ou procédons à de nouvelles. Nous enquêtons aussi en dehors du territoire du service local. Cela a été le cas dans l’affaire Petitgas : nous avons effectué des vérifications à Paris, dans des gares et auprès d’associations type Les Restos du cœur.
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Re: Disparition de Léa Petitgas
Nantes : Disparition de Léa Petitgas, des recherches dans l'Edre
Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition de Léa Petitgas, l'Erdre a été sondée mardi 19 juin par la brigade fluviale de la Préfecture de police de Paris à l'aide d'un sonar de haute technologie. Les recherches doivent se poursuivre toute la semaine.
Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition inquiétante de Léa Petitgas, un sonar appartenant à la brigade fluviale de Paris a sondé l'Erdre mardi 19 juin. Cet appareil permet de procéder à des recherches aquatiques. Il fonctionne sur le principe de l'échographie. Les prospections n'ont pour l'instant rien donné. Elles doivent se poursuivre jusqu' en fin de semaine sur le tracé entre le domicile et le travail de la jeune femme.
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Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition de Léa Petitgas, l'Erdre a été sondée mardi 19 juin par la brigade fluviale de la Préfecture de police de Paris à l'aide d'un sonar de haute technologie. Les recherches doivent se poursuivre toute la semaine.
Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition inquiétante de Léa Petitgas, un sonar appartenant à la brigade fluviale de Paris a sondé l'Erdre mardi 19 juin. Cet appareil permet de procéder à des recherches aquatiques. Il fonctionne sur le principe de l'échographie. Les prospections n'ont pour l'instant rien donné. Elles doivent se poursuivre jusqu' en fin de semaine sur le tracé entre le domicile et le travail de la jeune femme.
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Re: Disparition de Léa Petitgas
Un an déjà:
Christophe Petitgas a cru un temps que Léa avait trouvé refuge sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, la piste n'a pas abouti. Aujourd'hui son idée, c'est que sa fille est séquestrée.
Christophe Petitgas attend depuis un an. Il continue d'envoyer des textos à son enfant. Ils restent sans réponse. Le dernier remonte au 6 août, c'est écrit sobrement : "Joyeux anniversaire, je t'aime et je pense à toi tous les jours."
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Christophe Petitgas a cru un temps que Léa avait trouvé refuge sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, la piste n'a pas abouti. Aujourd'hui son idée, c'est que sa fille est séquestrée.
C'est quelqu'un d'intelligent qui pourrait berner la personne qui la retient ou donner des signes. J'espère que quelqu'un aperçoive quelque chose et prévienne la police."
Christophe Petitgas attend depuis un an. Il continue d'envoyer des textos à son enfant. Ils restent sans réponse. Le dernier remonte au 6 août, c'est écrit sobrement : "Joyeux anniversaire, je t'aime et je pense à toi tous les jours."
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Re: Disparition de Léa Petitgas
Il y'a quand même de forte chance que cette pauvre fille ne soie par partie de son plein gré.. Déjà 2 ans.. À l'approche de Noël.. Espérons un signe de sa part si elle le peut en cas de fugue qui sait..
INCOGNITOO13
Re: Disparition de Léa Petitgas
Elle serait donc partie sans prévenir famille, collègues.. Et de plus ces 2 chats sont restée sans nourriture il paraît.. Elle avait un rendez-vous le lendemain pour un job.. Vraiment le flou total depuis 2 ans.. La thèse de la fugue ne tient pas.. Sans argent.. Hum.. Elle était petite (1m47) donc assez vulnérable malheureusement..
INCOGNITOO13
Re: Disparition de Léa Petitgas
Ça ressemble à un acte malveillant, pour partir en cavale sans logistique solide pour quelqu'un qui débute dans la vie professionnelle chaud..
2020 peut être une bonne nouvelle dans cette “étrange” disparition.
2020 peut être une bonne nouvelle dans cette “étrange” disparition.
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
A mon avis, elle avait rendez-vous (petit copain ou autre)......la suite, malheureusement...
jeanjeand
Re: Disparition de Léa Petitgas
Le problème si on suit ton avis, c'est qu'elle n'en a pas parlé à c'est collègues /famille. Donc si rendez-vous y'a, aucune trace de l'identité du “rendez-vous”. En tout cas la thèse de l'acte de disparaître volontairement et très faible je pense..
Après si elle rentre d'elle-même, c'est temps mieux. Mais dur à croire si on raisonne “logiquement”
Ça fait déjà.. 2 ans..
Après si elle rentre d'elle-même, c'est temps mieux. Mais dur à croire si on raisonne “logiquement”
Ça fait déjà.. 2 ans..
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
2020
Léa Petitgas, disparue il y a 2 ans à Nantes : "Je ne sais plus où chercher pour la retrouver" raconte son père
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C'était le 13 décembre 2017. Les proches de Léa Petitgas signalaient la disparition de cette jeune fille de 20 ans à la joie de vivre communicative. Dans son entourage, personne ne veut croire à une fugue.
Léa Petitgas, disparue il y a 2 ans à Nantes : "Je ne sais plus où chercher pour la retrouver" raconte son père
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C'était le 13 décembre 2017. Les proches de Léa Petitgas signalaient la disparition de cette jeune fille de 20 ans à la joie de vivre communicative. Dans son entourage, personne ne veut croire à une fugue.
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
C'est incroyable le peu d'informations en 2 ans !!
Il y a beaucoup de caméras dans la ville de Nantes ?
Personnes n'a rien vu/entendu.. Mouaissss.
Il y a beaucoup de caméras dans la ville de Nantes ?
Personnes n'a rien vu/entendu.. Mouaissss.
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
« Le 13 décembre 2017, Léa a passé la soirée chez elle en compagnie d’un ami. Le lendemain, elle ne s’est pas présentée à son travail. »
On ne sait même pas si “l'ami” en question, il a été entendu par les enquêteurs..
Les caméras pas exploitées, un manque de moyens financiers ? Des effectifs réduits sur le terrain ? Une enquête qui n'avance pas au final.
On ne sait même pas si “l'ami” en question, il a été entendu par les enquêteurs..
Les caméras pas exploitées, un manque de moyens financiers ? Des effectifs réduits sur le terrain ? Une enquête qui n'avance pas au final.
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
Comment c'est possible de disparaître avec toutes les caméras, de nos jours.. La technologie.. Une ville aussi grande que Nantes, aucun témoin rien bref..
Invité- Invité
Re: Disparition de Léa Petitgas
Toujours silence radio, j'espère ils n'ont pas conclu à une fugue comme souvent.
Invité- Invité
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