qui est il? XVI

Bonjour,

De quel plan parlez-vous ? Bonne journée.

Qui a fait ce plan? Le tueur lui même , car il est très bien fait, sans Sophie Narme .. pour une bonne raison. graphique ,.alors que c 'est le même tueur..

Je ne suis pas sûr de comprendre, et je veux bien un petit éclaircissement...[/quote]

Bonjour.

En ce qui concerne le sujet Elisabeth Carol Fraley (1985), j'ai contacté une amie qui bosse à RCDG qui m'a expliqué ce qui suit :

La porte 12 est celle située au terminal 1. Le terminal 1 est dénommé RCDG 1. Il s'agit, pour ceux qui se procureront un plan, du terminal en forme de rotonde. (Dans le monde de la logistique, ce sont des modèles de 'HUB', ce modèle étant circulaire, pour info marginale).

Sur cette porte 12 (lieu de découverte de la victime), il y a en effet un ascenseur. Ces ascenseurs sont sécurisés. Jusque là, rien de bien nouveau...

Mais ce qui est important, c'est de bien comprendre que tout le personnel n'a pas accès à tout au coeur de l'aéroport, dans son fonctionnement, son organisation. Ainsi, le personnel naviguant n'a pas accès aux bâtiments techniques, pour ce seul exemple. S'agissant d'une entreprise à dimension 'industrielle', les règles, les procédures y sont très nombreuses et doivent être respectées à la lettre.

Par ailleurs, les interventions mécaniques ne se font pas à proximité des terminaux, mais dans une zone bien distincte (on ne fait pas la pression des pneus et la vidange puis le plein de kérosène comme sur un circuit de formule1, en somme). Et ce pour rappeler la profession de GP et le potentiel lien entre RCDG, Elisabeth C Fraley, et la rue SCDB. (que le grelé ait pu connaître GP, et que ce soit là la raison majeure de cette élimination du 29/4/87, en résumé).

On sait que ECF a atterri la veille dans la soirée depuis Vienne. Les faits ont donc été commis dans la soirée ou la nuit. Le trafic aérien, en 1985, est sans commune mesure avec celui d'aujourd'hui. Nous avons donc supposé, ne disposant d'horaires précis de l'époque, que ECF attendait son vol du lendemain matin dans le terminal 1.

Ce facteur 'nuit' donne déjà un aperçu bien différent que s'il était agi de jour. (ça tombe sous le sens, mais ça permet de contextualiser). Les accès à ce type d'ascenseur étant sécurisés (aujourd'hui ce sont des badges qui, je le répète, ne donnent pas accès partout à tout le monde, et sont 'pilotés' par des systèmes d'information sans commune mesure avec ce qui se pratiquait en 85), le niveau minimum de sécurité pour ces ascenseurs à l'époque est l'emploi d'une clé permettant de débloquer la circulation de l'ascenseur. Il est par ailleurs surprenant que l'enquête n'ait pas été creusée dans cette dimension technique... bref.

Par conséquent, l'auteur disposait d'un accès spécifique, dédié à cet ascenseur. En d'autres termes, la probabilité qu'il puisse s'agir d'un acte accompli par un voyageur ou une personne étrangère à cet accès spécifique, est quasi nulle.

Sans réécrire trois tomes sur la problématique de l'ascenseur du 116 rue Petit, la dimension "risque" est analogue pour cet ascenseur situé à RCDG. Il s'agit d'en avoir la parfaite maîtrise et de faire en sorte que les portes ne s'ouvrent pas, le temps de la commission du crime à RCDG, et le temps de sa descente du niveau +3 au niveau -2 au 116 rue Petit.

C'est selon moi une particularité, une 'singularité' dans ces deux dossiers.

Pour le reste; GP, une éventuelle 'connexion', l'hypothèse de la présence de drogue dans l'affaire;

Cette amie me confirme que les contrôles de nos jours n'ont rien à voir avec l'époque; ils étaient quasi inexistants.
--

Sur l'éventuel profil qui s'en dégagerait ;

On aurait alors une explication bien plus tangible, réaliste, pragmatique, de l'absence du grelé dans les journées. Il ne rentrerait pas chez lui ainsi que cela a été par exemple affirmé par F Balland, mais serait tout simplement tenu par des obligations de travail la nuit. De type un mec qui intervient sur des aspects techniques de nuit dans de grosses structures... Ou encore, et c'est bien plus simple, est un agent de sécurité bossant pour une boite de sous traitance... donc par définition dispose des moyens techniques pour prendre le contrôle d'un ascenseur dans un aéroport...et ce, pour le peu qu'il n'y ait bossé que par intermittence, d'une part le rend parfaitement 'invisible' lors de cette enquête (puisque pas inscrit dans le registre du personnel -carbon copy des investigations dans le cas Ingrid-), et de l'autre lui fait monter ses idées au cerveau au point qu'il finisse par se prendre pour le "monsieur sécurité" (comportement qu'il va adopter lors des faits Cécile à l'égard de certains résidents), ou encore et par la suite, pour un flic, stratégie plus élaborée pour se faire ouvrir des portes et bien plus 'sécurisée' pour minimiser le facteur risque.

Élément de détail de la tenue du mec aperçu avec IM le 28/04 dans le parc : pantalon sombre et chemise blanche. C'est typique de l'exigence vestimentaire pour ce job.

Plus simplement, sans pour autant avoir *la* réponse, l'hypothèse que le grelé ait été un employé d'une boîte de sous-traitance de type sécurité pour ADP, donc RCDG et Orly, avec un point de chute en dehors de Paris (pourquoi pas Mitry dès les années 85), peut se poser.

Au plan 'psy', pour conclure;
On voit bien, si toutefois cette affaire devait être de son fait, qu'il n'y a pas de réitération aussi rythmée, aussi 'ritualisée' que chez certains barjots de son calibre.
Il a l'intelligence de ne pas laisser des signaux similaires derrière lui, évidemment si l'on considère que sans adn, son cas serait tombé aux oubliettes.
Sa 'force', son 'intelligence', est donc de ne pas 'revenir sur les lieux du crimes', comme le veut l'expression... ou de ne pas répéter le même schéma trop de fois sur un même périmètre.

le grêlé ne revient pas sur les lieux de ses crimes mais il conserve des trophées

Kassandra88 a écrit:Bonjour,
@mesrine, merci pour ces informations.
J'ose espérer que des recherches pour retrouver l'auteur de ce meurtre ont été menées de façon sérieuse.
Ce que je regrette, c'est qu'on ne sache pas à l'heure actuelle, c'est si cette affaire a été résolue ou pas. Dommage que parmi les présumés internautes américains qui nous lisent, il n'y en aient pas du Kentucky.

Il fallait disposer d'un pass pour accéder à cet ascenseur. Il ne devait pas avoir des milliers de personnes qui en possédait un. Un sous traitant au noir qu'on n'a pas pu retrouver?

Bonjour.
De rien. Merci à mon amie qui m'a bien tuyauté sur le fonctionnement, surtout...
--
Un sous traitant "au noir" à RCDG, je n'y crois pas une seconde. Pour la raison que 'plus encadré que AF, tu meurs'.
J'explique :
S'il s'agit d'un sous traitant, alors prendre le risque d'envoyer un mec embauché 'au black' dans une telle entreprise, c'est de facto se faire rayer de la carte dans la seconde par la société mandante (en l'occurrence AF) si le moindre incident ou accident surgit avec ledit travailleur dissimulé.
Ceci étant, ne pas y croire me concernant n'est pas la vérité absolue. Je dis simplement que s'agissant d'un sous traitant qui par définition aurait eu un marché récurrent de cette ampleur, à la seconde où il serait prouvé que ce sous-traitant a recours à du travail dissimulé, il peut dire au revoir à tous ses contrats.
Ceci étant, il peut s'agir d'un salarié intérimaire, régulièrement déclaré, venu remplir une mission ponctuelle, et qui va disparaître des 'écrans radar', à savoir échapper aux enquêteurs. Car ici encore, on est en 85, donc en comparaison des technologies et des moyens d'investigation actuels, c'est la préhistoire.
Ce crime a eu lieu un vendredi soir (si je ne dis pas de bêtise) et en fin de mois de juillet (idem). (à checker)
Par conséquent, il peut s'agir d'un remplacement de titulaire pour congé d'été, par exemple... (j'extrapole).
En tout état de cause, il fallait en effet un passe.
Donc, ironiquement, j'ai envie de dire que la thèse du sdf ou chien errant qui se serait pointé là un soir d'été 85, ne tient pas la route un millième de seconde.
Sans pouvoir évidemment affirmer que c'est le même gaillard...
Sauf que, en toute logique, s'il s'était agi d'un membre régulier du personnel ou d'un sous traitant, et surtout amené à y revenir, alors il faut avoir une case en moins pour opérer dans une telle configuration. (en terme de risques. Car il faut dans tous les cas avoir une case en moins pour faire ce qui a été fait...).
Etant absolument convaincu que le grelé est un 'joueur', à la 'puissance de calcul' redoutable, j'y 'vois' la similitude avec le cas Cécile, bien sûr.
A ceci près que la cible est une gosse.
Mais, au risque de choquer, ce qui est parfaitement logique dès lors que la priorité de ses actes comporte une gestion du risque parfaitement maîtrisée.
Il ne s'attaque donc dès lors plus à des adultes dans les ascenseurs et ce pour deux raisons ;
1/ car une cible adulte ne se maîtrise pas comme une cible enfant. Disons que dans ce cas de RCDG, le caractère isolé de cet ascenseur permet de 'tenter le diable' d'une part, et que, disposant du passe qui permet de le neutraliser, l'affaire est entendue.
2/ et car, précisément car il dispose de cette maîtrise qui permet de faire passer un ascenseur du +3 au -2 dans le cas Cécile, il ne va pas s'y essayer avec des cibles adultes... cibles qui comprendraient immédiatement qu'il y a un problème avec ce gaillard lorsqu'il manipule le panneau de commande (les boutons). Pour bien comprendre ce que je veux dire, je rappelle que la petite Sarah a déclaré : "Le monsieur a fait semblant de jouer avec les boutons", après qu'elle ait appuyé sur le bouton RDC.

Le tout sans parler du fait que, au regard de la configuration des lieux tant à Vénétie qu'au 116 rue Petit, séquestrer une adulte est une toute autre affaire que séquestrer une gosse. En termes de gestion du risque (et donc de la prise de ce risque), c'est le jour et la nuit.

D'ailleurs, si on étend ce raisonnement à la ruse du faux flic, de la prise d'autorité envers ses victimes, dans ce que je vais appeler la "phase préalable de conditionnement", on peut également observer que les cibles sont choisies pour leur potentiel de crédulité.
A savoir qu'il n'a pas exercé cette ruse -sauf erreur de ma part- sur des femmes adultes, mais a plus volontiers ciblé des ados.
(Je parle uniquement de la 'ruse de flic', donc par définition j'exclus le cas Sylvia P, approchée au motif de l'achat d'un meuble par petites annonces).
Il est d'ailleurs à noter, selon moi, que le seul cas dans lequel il sera confronté à une vérification de son statut de flic, c'est dans l'affaire des filles MArie, Sophie, Ségolène, etc. Et qu'à cette occasion, il va très vite remballer sa carte (et son baratin à deux balles par la même occasion).

Par conséquent, et pour conclure, il a la présence d'esprit, la lucidité, d'abaisser le potentiel de résistance de ses victimes en certaines circonstances, et de le faire monter en d'autres, et selon l'objectif poursuivi.

C'est donc le signe d'une remarquable clairvoyance, d'après moi.

Je poursuis sur le cas ECF de 85 :

Bien évidemment, le mec qui a fait ça, n'a pas supprimé sa victime par volonté *intrinsèque* de tuer, mais par utilité de ne pas se faire gauler post-viol.
Si on se replace mentalement dans les mêmes circonstances et au vu des quelques éléments matériels et chronologiques, alors;
S'il ne la tue pas elle donne immédiatement l'alerte. Donc l'auteur est mal barré.
Car en admettant même que cet auteur ait une cagoule sur la tronche, ce qui peut tracer un auteur d'un tel crime sont tout autant des recoupements chronologiques (des horaires : 'qui faisait quoi pour qui'), qu'un signalement par la victime.
Ensuite, il y a un élément de taille dans cette affaire : le sac à main de ECF.
Ici encore, c'est du pragmatisme;
Le mec qui, alors travaillant dans cette zone de l'aéroport, va se trimballer avec un sac à mains, a juste un peu de souci à se faire, je crois...
Tout cela pour dire que les précisions journalistiques -dans leur rédactionnel emprunt de 'mystère' et de questions-, pour le coup sont assez 'amusantes'... (un peu de cynisme de ma part, j'en conviens...).
--
Si d'aventure ce fait de 85 devait être l'oeuvre du grelé, et en réponse @mimi sur la notion de trophée :

Il n'en est rien. Car si trophée il devait y avoir eu, il aurait embarqué des éléments... Or, dans ce cas précis, on n'en sait rien. (tu me corrigeras si erreur...)

Dans les autres dossiers avérés par adn comme étant en lien certain avec cet animal :

-Sarah, non
-Cécile, non
-IMGP, potentiellement (et je vais y revenir)
-Marianne, potentiellement
-Ingrid, non.

--

IMGP : si ce mec était un adepte des trophées, pourquoi, hormis les appareils photo, laisser autant d'objets derrière lui?

Bonjour Mesrine,

Merci de préciser que l’ascenseur du terminal 1 près de la porte 12 était sécurisé par un système de clefs. Ça tombe sous le sens puisqu’il s’agit d’un ascenseur qui était réservé aux employés. Cependant, je croyais avoir lu, quelques part, que cet ascenseur qui peu fréquemment utilisé l’était par des conducteurs de taxis. Comment est-ce possible?

J’ai un petit anecdote pour vous qui n’est aucunement relié à notre sujet du G.

Elizabeth Carol Fraley a été assasinée le 29 juillet 1988 soit 10 jours avant que Mehran Karimi Nasseri pose ses valises dans le terminal 1, le 8 août 1988. Ce dernier allait passer 18 ans à vivre dans le terminal 1 jusqu’en août 2006. Son histoire allait inspirer le film Le terminal avec Tom Hanks. C’est complètement hors-sujet mais bon voilà pour le petit anecdote.

Est -il possible de voir la liste des passagers qui devaient prendre le même vol
Vers le kentucky? Quel aeroport d'arrivée, Newport?
Elle pourrait avoir sympathisé avec un des passagers, envolé ensuite?

Si liste de passagers il y avait, elle n’existe évidemment plus je crois. Bien sûr si les policiers ont été assez vigilants en cette fin juillet 1988 ils auraient bien plus conservé cette liste dans les dossiers d’enquête.

C’est toujours l’ennui de se faire tuer dans un pays étranger. L’enquête reste dans le pays concerné et il a tres peu de proches pour faire pression sur les autorités pour exiger la résolution d’un enquête. Le genre de cold case qui tombe malheureusement trop vite aux oubliettes. D’autant plus que rien n’a filtré dans les médias concernant le déroulement de cette enquête.

Kassandra88 a écrit:Bonjour,

Je veux bien admettre que relier Sophie N. au grêlé reste au stade des hypothèses, mais je confirme que le site wordpress est très bien fait et correct. Peut-être un peu trop d'ailleurs ...

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Je rappelle que nous n'avions pas attendu le Salvac pour rapprocher les deux.

Je suis allé lire sur ce lien wordpress et c'est une bonne analyse je trouve

Maison a écrit:Bonjour,

De quel plan parlez-vous ? Bonne journée.

Qui a fait ce plan? Le tueur lui même , car il est très bien fait, sans Sophie Narme .. pour une bonne raison. graphique ,.alors que c 'est le même tueur..

Je ne suis pas sûr de comprendre, et je veux bien un petit éclaircissement...

[/quote]
En Mp

Kassandra88 a écrit:Bonjour,

Affaire Chantal le Chillou
"Au bout de l'enquête"  https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/info-medias/au-bout-de-l-enquete-une-emission-de-faits-divers-ni-sordide-ni-voyeuriste-selon-marie-drucker_4275849.html

"Nous avons vérifié un tas de Renault 21 de la région mais ça n'a mené à rien. Logique, après les faits le proprio avait revendu sa voiture".

Voilà une réflexion tout-à-fait applicable au G dont on n'a jamais retrouvé la Volvo.

Je comprends pas c'est encore un rattage des enquêteurs, ils n'ont pas recherché les propriétaires d'une renault 21 au moment du crime, ce qui me semble logique. Quand ils ont recherché la voiture ils sont tombés sur le nouveau propriétaire...
Ils auraient découvert l'assassin car il était de la région.

Kassandra88 a écrit:

chercheur de vérité a écrit:

Kassandra88 a écrit:Bonjour,

Je veux bien admettre que relier Sophie N. au grêlé reste au stade des hypothèses, mais je confirme que le site wordpress est très bien fait et correct. Peut-être un peu trop d'ailleurs ...

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Je rappelle que nous n'avions pas attendu le Salvac pour rapprocher les deux.

Je suis allé lire sur ce lien wordpress et c'est une bonne analyse je trouve

Bonjour chercheur,
Oui, c'est un très bon travail!
As tu vu qu'il y avait aussi une page FB?
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Bonjour

Sur le cas Sophie N de 1991 :

Il manque une info essentielle sur ce site : le RV initial de la visite a été décalé. Il y a eu un premier RV, reporté au jour des faits. (de mémoire. cette info est dans les podcasts de P Tourancheau publiés fin 2019).

Autre commentaire : la blessure au coeur sur SN n'a rien à voir avec celle sur Cécile. La configuration des lieux n'étant pas la même, ainsi que le profil de victime. Dans le cas Cécile il est probable que cette blessure soit le signe de la séquestration sur le trajet ascenseur -> local. Dans le cas SN, la volonté de tuer.

Sur la ceinture et la comparaison avec IM : ce n'est pas du tout la même chose. Dans le cas IM, on a une victime qui a été retrouvée en effet pendue par une ceinture au montant supérieur du lit d'enfant, mais qui avait reçu deux coups de couteau au droit du larynx d'une part, et qui, au moment de la découverte avait les fesses touchant à peine le sol et les jambes en "V" vers l'avant d'autre part.
Ce qui perso me conduit à dire que l'auteur l'a fait penduler sous son propre poids. C'est donc, pour IM, une vérification, une garantie qu'elle est bien morte.
Dans le cas Sophie N, il s'agit d'employer une ceinture (la sienne) pour l'étrangler. Cette 'opération' est bien plus efficace avec l'auteur dans le dos, car cela permet d'ajouter une poussée sur la victime afin d'amplifier l'effet de tension sur la ceinture. C'est ce qui a été recherché sur GP, en termes de 'physique élémentaire', en quelque sorte. L'objectif étant scrupuleusement le même.

Idem pour les violences sexuelles : ce n'est pas la même chose que dans le cas Cécile. Pour faire court, et tout le monde comprendra, ce qui distingue ces deux crimes, outre les profils des victimes, c'est le critère temps. Dans le cas Sophie N, il disposait de bien plus de temps.

Ce qui ne signifie pas, bien sûr, que ça ne puisse pas être le même auteur.

--

Pour le cas Elisabeth CF :

Ok pour 88 et non 85.
Elle a été découverte le vendredi à 23h30 et non le lendemain, par ailleurs.
--
On ignore s'il s'agissait de badges...
Mais plus globalement, on parle quand même de l'aéroport CDG et pas de la piscine municipale du coin... Le niveau de sécurité y est très haut, tout comme l'organisation, donc les droits d'accès à telle ou telle zone, et ce d'ores et déjà en 88, même si ça n'a rien à voir avec aujourd'hui.
Un chauffeur de taxi a par définition la faculté de récupérer un passager en employant les ascenseurs dédiés aux voyageurs et non ceux dédiés au personnel ou sous-traitants. Et je ne suis pas certain, du moins je ne l'ai jamais vu, que les chauffeurs entrent pour aller chercher un passager en particulier... Les taxis, à cette époque, ayant leur file de circulation comme de nos jours, l'usage est qu'ils attendent les passagers dans leur zone de circulation qui leur est dédiée.
Si ECF a atterri dans la soirée et devait reprendre l'avion le lendemain, soit elle avait décidé d'attendre dans le terminal, soit elle avait pris une piaule. Ce qu'on ignore.
Et, dans l'hypothèse d'un chauffeur de taxi ou pas, alors il manque un élément fondamental dans le décor : sa valise. (selon les infos dispos)

Si ce n'est pas le grêlé l'auteur, c'est un copycat ....

Kassandra88 a écrit:@ Mesrine,
attention E-C F, c'est en 88 pas en 85.
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Bonsoir,

Auriez-vous remarqué...
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Commentaire récent datant de janvier 2021.

Il est fort probable qu'elle se soit perdue dans Roissy... et soit "tombée" sur un rôdeur, pourquoi pas sur "un invisible".
A cette heure tardive, qui aurait pu se trouver dans cet ascenseur ?

Maison a écrit:

Bonsoir,

Auriez-vous remarqué...
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Commentaire récent datant de janvier 2021.

Il est fort probable qu'elle se soit perdue dans Roissy... et soit "tombée" sur un rôdeur, pourquoi pas sur "un invisible".
A cette heure tardive, qui aurait pu se trouver dans cet ascenseur ?

Légèrement ambigu et ne ressemblant pas à un commentaire de natif anglophone en plus.

[quote="Manneke"]

Maison a écrit:

Bonsoir,

Auriez-vous remarqué...
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Commentaire récent datant de janvier 2021.

Légèrement ambigu et ne ressemblant pas à un commentaire de natif anglophone en plus.

Oui, j' ai pensé la même chose en lisant.
Commentaire malvenu quand on sait ce qu'elle a subi.
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Manneke a écrit:

Maison a écrit:

Bonsoir,

Auriez-vous remarqué...
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Commentaire récent datant de janvier 2021.

Il est fort probable qu'elle se soit perdue dans Roissy... et soit "tombée" sur un rôdeur, pourquoi pas sur "un invisible".
A cette heure tardive, qui aurait pu se trouver dans cet ascenseur ?

Légèrement ambigu et ne ressemblant pas à un commentaire de natif anglophone en plus.

Bonjour a tou(te)s,
Non, pour le coup cette expres​sion("beautiful inside and out") est tres usitee en Anglais.
Et je pense sincerement que la personne, que j'ai contactee depuis, faisait cette remarque de maniere spontanee et sans equivoque.
J'ai egalement contacte des homonymes originaires de la meme ville.
Kassandra, je reviendrai vers toi si j'arrive a entrer en contact avec des proches qui souhaitent discuter du sujet.

Bonjour a tou(te)s,

Non, pour le coup cette expres​sion("beautiful inside and out") est tres usitee en Anglais. Oui, suis d'accord.
Et je pense sincerement que la personne, que j'ai contactee depuis, faisait cette remarque de maniere spontanee et sans equivoque. Merci de l'avoir précisé.
Ce qui est étonnant, c'est que la mise en ligne de la sépulture et le commentaire dont on parle semblent plutôt récents (assassinée en 1988 !)

Si Beth-Carol avait pu elle-aussi, écrire un journal intime !?