Parcours du grêlé
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Re: Parcours du grêlé
Bonjour à tous,
Il était déjà motard dans la gendarmerie semble t’il, non ? Il attend fin 92 pour faire ce stage dans la police ?
Je ne comprends pas tout …
Il était donc simple gardien de la paix jusque là ?
Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Il était déjà motard dans la gendarmerie semble t’il, non ? Il attend fin 92 pour faire ce stage dans la police ?
Je ne comprends pas tout …
Il était donc simple gardien de la paix jusque là ?
Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Sortcière
Re: Parcours du grêlé
Sortcière a écrit:Bonjour à tous,
Il était déjà motard dans la gendarmerie semble t’il, non ? Il attend fin 92 pour faire ce stage dans la police ?
Je ne comprends pas tout …
Il était donc simple gardien de la paix jusque là ?
Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Dans la chronologie établie par Weltgeist en page un , policier dans les Hauts de Seine entre 88 et 92 . Vous avez raison, ça ressemble à un déclassement ou du moins à une brisure dans sa longue carrière. Et il fait ce stage alors qu'il est tout proche de la limite d'âge ( "c'était le plus vieux ") : pourquoi avoir attendu ?
Lisetoct
Re: Parcours du grêlé
Dans la chronologie établie par Weltgeist en page un , policier dans les Hauts de Seine entre 88 et 92 . Vous avez raison, ça ressemble à un déclassement ou du moins à une brisure dans sa longue carrière. Et il fait ce stage alors qu'il est tout proche de la limite d'âge ( "c'était le plus vieux ") : pourquoi avoir attendu ?
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Maison
Re: Parcours du grêlé
Maison a écrit:Dans la chronologie établie par Weltgeist en page un , policier dans les Hauts de Seine entre 88 et 92 . Vous avez raison, ça ressemble à un déclassement ou du moins à une brisure dans sa longue carrière. Et il fait ce stage alors qu'il est tout proche de la limite d'âge ( "c'était le plus vieux ") : pourquoi avoir attendu ?
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J. Cantet disparaît en décembre 1991 et Vérove effectue ce stage en septembre 92 : pour brouiller les pistes en changeant d'affectation ? Plausible car sa carrière n'est pas linéaire, plutôt en zigzag .
Quand s'est-il inscrit à ce stage ? Les enquêteurs connaissent toutes ces informations ô combien précieuses pour tirer au clair son parcours .
Lisetoct
le grêlé et les sanctions disciplinaires !
Les sanctions disciplinaires applicables aux militaires sont réparties en trois groupes :
1° Les sanctions du premier groupe sont :
a) L'avertissement ;
b) La consigne ;
c) La réprimande ;
d) Le blâme ;
e) Les arrêts ;
f) Le blâme du ministre ;
2° Les sanctions du deuxième groupe sont :
a) L'exclusion temporaire de fonctions pour une durée maximale de cinq jours privative de toute rémunération ;
b) L'abaissement temporaire ou définitif d'échelon ;
c) La radiation du tableau d'avancement ;
3° Les sanctions du troisième groupe sont :
a) Le retrait d'emploi, défini par les dispositions de l'article 59 ;
b) La radiation des cadres ou la résiliation du contrat.
Les sanctions disciplinaires ne peuvent se cumuler entre elles à l'exception des arrêts qui peuvent être appliqués
dans l'attente du prononcé de l'une des sanctions des deuxième et troisième groupes qu'il est envisagé d'infliger.
En cas de nécessité, les arrêts et les consignes sont prononcés avec effet immédiat. Les arrêts avec effet
immédiat peuvent être assortis d'une période d'isolement.
1° Les sanctions du premier groupe sont :
a) L'avertissement ;
b) La consigne ;
c) La réprimande ;
d) Le blâme ;
e) Les arrêts ;
f) Le blâme du ministre ;
2° Les sanctions du deuxième groupe sont :
a) L'exclusion temporaire de fonctions pour une durée maximale de cinq jours privative de toute rémunération ;
b) L'abaissement temporaire ou définitif d'échelon ;
c) La radiation du tableau d'avancement ;
3° Les sanctions du troisième groupe sont :
a) Le retrait d'emploi, défini par les dispositions de l'article 59 ;
b) La radiation des cadres ou la résiliation du contrat.
Les sanctions disciplinaires ne peuvent se cumuler entre elles à l'exception des arrêts qui peuvent être appliqués
dans l'attente du prononcé de l'une des sanctions des deuxième et troisième groupes qu'il est envisagé d'infliger.
En cas de nécessité, les arrêts et les consignes sont prononcés avec effet immédiat. Les arrêts avec effet
immédiat peuvent être assortis d'une période d'isolement.
mimi
Re: Parcours du grêlé
Lisetoct a écrit:Sortcière a écrit:Bonjour à tous,
Il était déjà motard dans la gendarmerie semble t’il, non ? Il attend fin 92 pour faire ce stage dans la police ?
Je ne comprends pas tout …
Il était donc simple gardien de la paix jusque là ?
Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Dans la chronologie établie par Weltgeist en page un , policier dans les Hauts de Seine entre 88 et 92 . Vous avez raison, ça ressemble à un déclassement ou du moins à une brisure dans sa longue carrière. Et il fait ce stage alors qu'il est tout proche de la limite d'âge ( "c'était le plus vieux ") : pourquoi avoir attendu ?
A mon avis il avait des casseroles ( de quels ordres ? ) et ils lui ont dit gentiment de partir.....je suis sur que beaucoup savaient des choses (attouchements, dépassements de la fonction etc...) au sein de la gendarmerie
jeanjeand
Re: Parcours du grêlé
mimi a écrit:Les sanctions disciplinaires applicables aux militaires sont réparties en trois groupes :
1° Les sanctions du premier groupe sont :
a) L'avertissement ;
b) La consigne ;
c) La réprimande ;
d) Le blâme ;
e) Les arrêts ;
f) Le blâme du ministre ;
2° Les sanctions du deuxième groupe sont :
a) L'exclusion temporaire de fonctions pour une durée maximale de cinq jours privative de toute rémunération ;
b) L'abaissement temporaire ou définitif d'échelon ;
c) La radiation du tableau d'avancement ;
3° Les sanctions du troisième groupe sont :
a) Le retrait d'emploi, défini par les dispositions de l'article 59 ;
b) La radiation des cadres ou la résiliation du contrat.
Les sanctions disciplinaires ne peuvent se cumuler entre elles à l'exception des arrêts qui peuvent être appliqués
dans l'attente du prononcé de l'une des sanctions des deuxième et troisième groupes qu'il est envisagé d'infliger.
En cas de nécessité, les arrêts et les consignes sont prononcés avec effet immédiat. Les arrêts avec effet
immédiat peuvent être assortis d'une période d'isolement.
Merci Mimi pour ces infos !
Re: Parcours du grêlé
Sortcière a écrit:Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Je ne comprends pas très bien ces choses de promotion, déclassement etc. puisque je ne connais pas la situation française au regard des forces de l'ordre. Ça marche très différent que dans mon pays. J'ai cru jusqu'ici que ce serait plutôt vu comme une promotion de passer de la gendarmerie à la police. Pourriez-vous m'expliquer svp ?
Invité- Invité
Re: Parcours du grêlé
mimi a écrit:Les sanctions disciplinaires applicables aux militaires sont réparties en trois groupes etc.
Pourriez-vous donner la source de cette information ? Est-ce qu'elles étaient valables dans le temps de ce qu'il s'agit ici ?
Invité- Invité
Re: Parcours du grêlé
Mioche Mannetje a écrit:mimi a écrit:Les sanctions disciplinaires applicables aux militaires sont réparties en trois groupes etc.
Pourriez-vous donner la source de ces informations ? Est-ce qu'elles étaient valables dans le temps de ce qu'il s'agit ici ?
Invité- Invité
Re: Parcours du grêlé
Sortcière a écrit:Bonjour à tous,
Il était déjà motard dans la gendarmerie semble t’il, non ? Il attend fin 92 pour faire ce stage dans la police ?
Je ne comprends pas tout …
Il était donc simple gardien de la paix jusque là ?
Ça ressemble à un déclassement son passage de la gendarmerie à la police, non?
Il a dû faire la passerelle entre les deux forces, mais j'ignore si cela existait comme aujourd'hui.
Quoiqu'il en soit, le grade de simple "gendarme" (sergent) est équivalent à celui de gardien de la paix.
Et en général, quand tu entres dans la police nationale comme GPX, tu commences dans la sécurité publique (police en tenue, celle des commissariats) ou dans les CRS. Les unités spécialisées et souvent plus demandées (BAC, motards, plongeurs, RAID, SPHP, PJ...) demandent souvent quelques années comme policier généraliste avant de pouvoir être intégrées.
MAC85
Re: Parcours du grêlé
Bonjour à tous et toutes,
absente une grosse semaine, je reviens pour réactualiser mon tableau synthétique sur la période présumée des crimes ; je n'ai rien vu de nouveau dans la chrono de @Weltgeist (que je remercie), page 1, j'ai raté des choses?
absente une grosse semaine, je reviens pour réactualiser mon tableau synthétique sur la période présumée des crimes ; je n'ai rien vu de nouveau dans la chrono de @Weltgeist (que je remercie), page 1, j'ai raté des choses?
Hitchcockienne
Re: Parcours du grêlé
Hitchcockienne a écrit:Bonjour à tous et toutes,
absente une grosse semaine, je reviens pour réactualiser mon tableau synthétique sur la période présumée des crimes ; je n'ai rien vu de nouveau dans la chrono de @Weltgeist (que je remercie), page 1, j'ai raté des choses?
Bonjour,
(Je ne suis as Welt , mais je me permets)
-
Six mois seulement après son intégration, il est déjà transféré dans un des deux régiments d’infanterie de la Garde, précise la gendarmerie. D’après nos informations, il pourrait s’agir du 2e, celui chargé de la protection des palais nationaux. Un des voisins de la famille Vérove à Marcq-en-Barœul nous avait confié avoir vu « François » rendre visite à ses proches sur une moto de la Garde républicaine. S’il n’était pas à l’escadron motocycliste, il ne pouvait donc être qu’estafette, ces « coursiers » qui transmettent les plis.
-
Il déménage du quartier des Célestins à la caserne Napoléon qu’il ne quittera qu’à son départ de la gendarmerie. C’est à cette période que François Vérove devient le Grêlé. Parmi tous les crimes dont il est suspecté, l’un d’entre eux, évoqué notamment par les anciens membres du forum de l’émission de télévision « Non élucidé », fait particulièrement écho au métier de gendarme.
En somme, il est viré de la Gendarmerie pour problème de moeurs !
Problème aussi, au début de sa carrière: problème au Bois de Vincennes je crois... Six mois seulement après son intégration,
Revient en 2003, roder du côté de Longperrier ! Quel date ? Parce que pour le coup... c'est l'année de disparition d' Estelle, pas retrouvée à ce jour
Maison
Re: Parcours du grêlé
Pour Estelle Mouzin on a les aveux de Fourniret et on a trouvé l'ADN d'Estelle dans sa camionnette. Cette affaire est résolu, je crois.
Hercule-Poirot
il y a eu au moins une disparition inquiétante dans la période Fos-sur-Mer
regis a écrit:Kassandra88 a écrit:Merci.
Tu peux ajouter:
Il a vécu à Longperrier entre 1993 et 2000, c'est à 14kms de Mitry Mory.
Il a fait construire sa maison. (source le Parisien)
Ces nouveaux éléments nous permettent de dire que FV agit à proximité de son domicile ou de son lieu de travail, que ce soit dans paris ou en seine et marne, il agit dans des lieux qu'il connait, comme la ferme de villeréas, ce qui montre qu'il est téméraire dans ses actions voire limite inconscient quand il est pris de pulsions (quand par exemple il commet des agressions en série), toutefois il a besoin de se sentir un minimum en sécurité pour commettre ses crimes, donc il agit dans un terrain connu ou du moins pas inconnu pour lui.
Quand son plan ne se déroule pas comme prévu ou quand il est surpris dans son action, des témoignages font état d'une certaine fébrilité chez lui, autant il peut être sur de lui avec les enfants autant il peut être perdre ses moyens quand il s'agit d'adultes ou quand il est surpris.
Sur la base de cette constation/hypothèse, il faut chercher les crimes, viols, enlèvements etc qui se sont déroulés à proximité de ses lieux de résidence ou d'affectation professionnelle.
Je sais c'est de la psycho ça vaut ce que ca vaut peut être rien, mais je me base sur les faits que nous connaissons de mieux en mieux et donc FV semble agir dans sa zone de confort.
visiteur
Re: Parcours du grêlé
laméche a écrit:Entre 88 et 91 il vit Bd Kellerman dans le 13 eme ?
Salut Laméche,
Si on se réfère au Parisien, l'info "Kellermann" serait erronée.
Selon le Parisien:
il est affecté en août 1983, à l’âge de 21 ans, au premier escadron, basé au quartier des Célestins à Paris (IVe)..18 Bd Henri IV, 75004 Paris, France à 800 m de la rue de Sévigné et à1,4 km de la rue SCDB
Il y reste 6 mois (moeurs?) puis est affecté à l’ancienne caserne Napoléon rue de Lobau 75004 Paris, derrière l’hôtel de ville de Paris à 900 m de la rue de Sévigné (11 min à pied)
Re: Parcours du grêlé
Rue de Sévigné, n'est ce pas là où habitait Irmgard Mueller ?Kassandra88 a écrit:laméche a écrit:Entre 88 et 91 il vit Bd Kellerman dans le 13 eme ?
Salut Laméche,
Si on se réfère au Parisien, l'info "Kellermann" serait erronée.
Selon le Parisien:
il est affecté en août 1983, à l’âge de 21 ans, au premier escadron, basé au quartier des Célestins à Paris (IVe)..18 Bd Henri IV, 75004 Paris, France à 800 m de la rue de Sévigné et à1,4 km de la rue SCDB
Il y reste 6 mois (moeurs?) puis est affecté à l’ancienne caserne Napoléon rue de Lobau 75004 Paris, derrière l’hôtel de ville de Paris à 900 m de la rue de Sévigné (11 min à pied)
Claire
Re: Parcours du grêlé
Claire a écrit:
Rue de Sévigné, n'est ce pas là où habitait Irmgard Mueller ?
Oui.
Re: Parcours du grêlé
welty a écrit:Bonjour,
Sur l'idée d'un membre du forum et pour remettre un peu d'ordre dans toutes les informations qui sont tombées ces derniers jours, on peut essayer d'établir une chronologie dans le parcours du grêlé en tenant compte de ses mutations et des grands événements intervenus dans sa vie.
On pourra l'étoffer avec les différentes informations récoltées même si c'est difficile voire impossible de tout vérifier sans accès à son dossier.
Certaines informations sont parfois contradictoires, des précisions et corrections seront donc les bienvenues !
J'ai repris certaines données du forumeur, qu'il se manifeste s'il a de nouvelles données à nous communiquer.
22/01/1962 : naissance à Gravelines (Nord)
1972 : décès de sa mère.
Déménagement à Marcq-en-Barœul (Nord)
1972-1974 : réside chez sa grand-mère maternelle.
1974 : emménage chez son père et sa nouvelle compagne déjà mère de 2 filles.
1976 : remariage du père à Lille (Nord).
1983 : Nommé gendarme. Affecté à la Garde Républicaine.
Résidence : Caserne des Célestins, Paris 4e.
1984 : suite à une "affaire de mœurs", transféré probablement dans le 2e Régiment d'Infanterie de la Garde Républicaine en charge de la protection des palais nationaux.
Fonction : Estafette (coursiers qui transmettent les plis)
A CONFIRMER.
1985 : mariage à Bousbecque (Nord)
Début 1988 : naissance du 1er enfant
Août 1988 : quitte la gendarmerie
? : Policier dans les Hauts-de-Seine
1991 : naissance du 2nd enfant
1992 : Résidence à Chatenay-Malabry (Hauts-de-Seine)
Du 14/09/1992 au 18/12/1992 : formation motocycliste à Rungis (Val-de-Marne)
1993-2000 : Résidence à Longperrier (Seine-et-Marne)
1995-1999 : Unité à Direction Territoriale à Nanterre (Hauts-de-Seine)
Conseiller syndical de terrain.
Délégué des motards pour la police nationale.
Episodes dépressifs, plusieurs mois d'arrêt maladie.
Mutation à Asnières (Hauts-de-Seine) ?
1997 : date présumée d'arrêt des crimes
1999 : décès du père à Marcq-en-Baroeul (Nord)
2000 : mutation dans le sud
Brigade motocycliste, Port-Saint-Louis & Martigues (Bouches du Rhône)
Formation Motocycliste Urbaine (FMU)
Résidence à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône)
2007: Arrivée à Montpellier (Hérault).
Chef d'unité de policiers motards.
Résidence à Prades-le-Lez (Hérault)
24/06/2011 : Accident de moto. Nombreux arrêts maladie. Plus en activité professionnelle.
2014 : participe à la campagne municipale du candidat Jean-Marc LUSSERT à Prades-le-Lez (Hérault) en s'occupant de la communication de la liste, notamment sur les réseaux sociaux. Pas en position de siéger au Conseil municipal en 2014.
01/04/ 2014 : création de son entreprise (location de logements)
2019 : Retraite
Conseiller municipal à Prades-le-Lez (Hérault) suite à plusieurs démissions.
Déménage à la Grande Motte (Hérault)
15/12/2020 : entreprise radiée. Il la met au nom de sa femme.
24/09/2021 : convocation par la police judiciaire pour une audition et un prélèvement Adn le 29 septembre.
27/09/2021 : disparition signalée par son épouse
29/09/2021 : suicide au Grau-du-roi (Gard)
Re: Parcours du grêlé
OK Merciwelty a écrit:welty a écrit:Bonjour,
Sur l'idée d'un membre du forum et pour remettre un peu d'ordre dans toutes les informations qui sont tombées ces derniers jours, on peut essayer d'établir une chronologie dans le parcours du grêlé en tenant compte de ses mutations et des grands événements intervenus dans sa vie.
On pourra l'étoffer avec les différentes informations récoltées même si c'est difficile voire impossible de tout vérifier sans accès à son dossier.
Certaines informations sont parfois contradictoires, des précisions et corrections seront donc les bienvenues !
J'ai repris certaines données du forumeur, qu'il se manifeste s'il a de nouvelles données à nous communiquer.
22/01/1962 : naissance à Gravelines (Nord)
1972 : décès de sa mère.
Déménagement à Marcq-en-Barœul (Nord)
1972-1974 : réside chez sa grand-mère maternelle.
1974 : emménage chez son père et sa nouvelle compagne déjà mère de 2 filles.
1976 : remariage du père à Lille (Nord).
1983 : Nommé gendarme. Affecté à la Garde Républicaine.
Résidence : Caserne des Célestins, Paris 4e.
1984 : suite à une "affaire de mœurs", transféré probablement dans le 2e Régiment d'Infanterie de la Garde Républicaine en charge de la protection des palais nationaux.
Fonction : Estafette (coursiers qui transmettent les plis)
A CONFIRMER.
1985 : mariage à Bousbecque (Nord)
Début 1988 : naissance du 1er enfant
Août 1988 : quitte la gendarmerie
? : Policier dans les Hauts-de-Seine
1991 : naissance du 2nd enfant
1992 : Résidence à Chatenay-Malabry (Hauts-de-Seine)
Du 14/09/1992 au 18/12/1992 : formation motocycliste à Rungis (Val-de-Marne)
1993-2000 : Résidence à Longperrier (Seine-et-Marne)
1995-1999 : Unité à Direction Territoriale à Nanterre (Hauts-de-Seine)
Conseiller syndical de terrain.
Délégué des motards pour la police nationale.
Episodes dépressifs, plusieurs mois d'arrêt maladie.
Mutation à Asnières (Hauts-de-Seine) ?
1997 : date présumée d'arrêt des crimes
1999 : décès du père à Marcq-en-Baroeul (Nord)
2000 : mutation dans le sud
Brigade motocycliste, Port-Saint-Louis & Martigues (Bouches du Rhône)
Formation Motocycliste Urbaine (FMU)
Résidence à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône)
2007: Arrivée à Montpellier (Hérault).
Chef d'unité de policiers motards.
Résidence à Prades-le-Lez (Hérault)
24/06/2011 : Accident de moto. Nombreux arrêts maladie. Plus en activité professionnelle.
2014 : participe à la campagne municipale du candidat Jean-Marc LUSSERT à Prades-le-Lez (Hérault) en s'occupant de la communication de la liste, notamment sur les réseaux sociaux. Pas en position de siéger au Conseil municipal en 2014.
01/04/ 2014 : création de son entreprise (location de logements)
2019 : Retraite
Conseiller municipal à Prades-le-Lez (Hérault) suite à plusieurs démissions.
Déménage à la Grande Motte (Hérault)
15/12/2020 : entreprise radiée. Il la met au nom de sa femme.
24/09/2021 : convocation par la police judiciaire pour une audition et un prélèvement Adn le 29 septembre.
27/09/2021 : disparition signalée par son épouse
29/09/2021 : suicide au Grau-du-roi (Gard)
Alain Vasquez (policier en retraite qui avait enquêté sur le Grêlé) a déclaré qu'à chaque temps judiciaire de l'enquête le Grêlé déménageait ou changeait d'affectation. Notamment, Vasquez a dit qu'en 2002, "quand il a a appris que son ADN avait été retrouvé sur la scène de double meurtre du Marais, Vérove avait déménagé."
Tu confirmes ??
Claire
Claire
Re: Parcours du grêlé
Kassandra88 a écrit:Claire a écrit:
Rue de Sévigné, n'est ce pas là où habitait Irmgard Mueller ?
Oui.
Et Carine Hutsebaut avait aussi dit qu'il aurait pu habiter rue de Sevigne. Supputations ou témoignage recueilli ?
En tout cas, ses allers-venues et tenues de la veille et du jour du crime rue Sainte-Croix tendaient à le démontrer.
Maison
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